Un Homme Avare

son peuple depuis dix ans, était un homme cruel et avare. Il terrorisait tous les villages de son Royaume. Il était aussi possessif, malsain, sans pitié envers les gens car il pouvait emprisonner n'importe qui pour quelconques raisons. Il était aussi obsédé par sa puissance et son argent. Personne n'osait s'opposer à ses idées. Dans son château, plusieurs salles étaient remplies de trésors que lui et ses ancêtres avaient malhonnêtement amassés. Jean était un homme de grande taille, robuste, assez beau

montrent bien. Troisièmement, le père Goriot reçoit une rente assez conséquente chaque mois (« un revenu d'environ huit à dix mille francs » ligne 559 page 79, « donnait douze francs de pension » ligne 515 page 77) et c'est un homme qui n'est aucunement avare (« homme pour qui cinq louis de plus ou de moins étaient une bagatelle » lignes 516-517 page 77). Il est aussi vu comme « un négociant qui ne se refuse rien en sortant des affaires » (lignes 527-528 page 78). On le représente ici comme une

On ne voit, en passant par les Landes désertes, Vrai Sahara français, poudré de sable blanc, Surgir de l’herbe sèche et des flaques d’eaux vertes D’autre arbre que le pin avec sa plaie au flanc ; Car pour lui dérober ses larmes de résine, L’homme, avare bourreau de la création, Qui ne vit qu’aux dépens de ceux qu’il assassine, Dans son tronc douloureux ouvre un large sillon ! Sans regretter son sang qui coule goutte à goutte, Le pin verse son baume et sa sève qui bout, Et se tient toujours droit sur

elle s'aventure dans des situations parfois désagréables dans lesquelles elle risque sa vie, son honneur ou sa liberté. Sur le plan sentimental, elle ne trouve pas non plus entière satisfaction avec son mari et recherche alors l'amour d'un autre homme. Cet amant se trouve être D'Artagnan, vaillant mousquetaire à qui Monsieur Bonacieux donne la tâche de retrouver sa femme. Pour Madame Bonacieux, se savoir aimée d'un mousquetaire, lui donne le sentiment d'être protégée. Pour satisfaire les volontés

que le libertin porte à cet homme n’est autre que sa réclamation malvenue et douteuse. Ainsi le protagoniste s’intéresse et commence à jouer avec ce pauvre en l’interrogeant dans le but de le piéger ; de ce fait il reprend textuellement ses réponses tout en le mettant en porta faux. Par exemple quand le pauvre explique « je ne manquerai pas de prière le Ciel qu’il vous donne toute sorte de biens et Dom Juan rétorque « prie-le qu’il te donne un habit ». Ainsi « un homme qui prie le Ciel toute la journée

Voltaire retrace les mésaventures d’un jeune homme victime d'injustice nommé Zadig qui fait l’expérience du monde dans un Orient de fantaisie. Tour à tour favorable et cruelle, toujours changeante, la fortune du héros passe par des hauts et des bas qui rythment le texte : Zadig échappe de nombreuses fois à la prison et aux amendes car il a été accusé à tort. En fin de compte, Zadig est nommé Premier ministre du roi de Babylone, il s’avère être un très bon homme, finalement très apprécié du roi, jugeant

Béjart, de vingt ans plus jeune que lui (fille ou soeur de Madeleine Béjart). Le couple aura trois enfants, dont une fille qui survivra. Il écrit l’Ecole des femmes : un homme d’âge mûr a fait élever dans l’ignorance une fillette pour en faire plus tard son épouse docile et naïve ; mais ses projets sont déjoués et un jeune homme la lui ravit (dans L’Avare, aussi, les mariages entre personnes d’âge trop différent échouent). 1664 Tartuffe : le goût de l’argent prend le masque hypocrite de la piété

Hugo, à travers les strophes de Booz endormi nous dépeint le personnage d’un homme, cultivateur aisé qui se singularise par sa générosité, sa bienveillance et sa droiture d’esprit. Par ces qualités, Booz attire d’avantage l’admiration qu’un homme qui aurait pour lui la jeunesse mais pas cet altruisme que le vieillard prodigue en toute modestie. Le premier écart de langage sur lequel nous nous pencherons est celui qu’on retrouve au deuxième vers de la troisième strophe. Écart de langage intéressant

bouleverser ce contexte banal. À la fin de chaque histoire, le lecteur en ressort soit dans le tragédie, soit dans le comique. 
 12 nouvelles sur les 17 font intervenir la mort. Il peut y avoir des morts tragiques, comme dans Menuet” : “Jean, un vieil homme, rencontre un amis à Paris. Il est danseur avec sa femme, qui vont lui faire une démonstration émouvante. Jean quitte Paris et y revient 2 ans plus tard, mais la pépinière a été détruite. Il ne sait pas s’il sont mort et leur souvenir le hante. “ Cette

demande alors sa main à son père qui accepte. La nuit nuptiale nous fait découvrir Julien sous un autre aspect que celui de vicomte aux belles manières pour nous apparaître sous celui d’un homme à la sexualité brutale. Ils partent en Corse pour leur voyage de noces et, très vite, Julien se montre irascible et avare. De retour à la résidence familiale, la vie de Jeanne est monotone, elle s’ennuie. Julien abandonne le lit conjugal, se montre perfide et vaniteux, Jeanne ne le considère plus que comme un