Un monde meilleur

Après ma lecture de l’Allégorie de la caverne par Platon, et du Meilleur des mondes, d’Aldous Huxley, j’ai réalisé que ces deux textes, malgré leurs dates de parution éloignées, étaient plutôt semblables. En fait, ces deux textes transmettent sensiblement la même chose, soit les mêmes types de système éducatif. Dans l’Allégorie de la caverne, Platon nous décrit une grotte où des gens y sont enchaînés. Ceux-ci n’ont jamais vu la véritable lumière du soleil, mais seulement des ombres projetés par des

« Le meilleur des mondes » D’Aldous HUXLEY. Introduction : «Le Meilleur des mondes » parue en 1932 est l’œuvre la plus connue d’Aldous HUXLEY. Cette contre-utopie est un récit prémonitoire qui décrit une société totalitaire entièrement soumise au pouvoir de la science, et qui a pour but de maîtriser son fonctionnement sociale et économique. Dans l’extrait que nous étudions l’action se déroule dans le Centre d’Incubation et de Conditionnement. Le directeur expose à un groupe d’étudiants

les plaisirs de la vie ne suffirent plus, ceux-là avaient déjà fini de remplir leurs coupes, tandis que d’autres profitèrent paisiblement de ce qui leur était offert, comme débattre pendant des heures sur comment cultiver son champs pour avoir une meilleur récolte, manger et boire jusqu’à en perdre les jambes, partager sa couche avec les plus belles dames du village ou encore donner la vie, à l’image de Dieu, à une nouvelle génération d’Homme, qui devront perpétuer l’incroyable cycle de la vie à la

un personnage naïf, pure, innocent...  "L'optimisme" est un mot d'origine latine, "optimus" signifiant "le meilleur". L'optimisme est une doctrine philosophique selon laquelle le monde est le meilleur possible.  Ces deux termes, qui de plus sont couplés, montrent dore et déjà que l'oeuvre présentée sera très certainement de nature naïve, où un personnage, Candide, va pénétrer dans un monde qui va le guider, le contrôler, puisque celui-ci est trop inconscient pour avoir sa propre opinion. Il va donc

perfection et l'éclat rejoint dans un monde des plus splendides - une utopie, suppose visualiser la beauté absolue , l'harmonie et la tolérance universelle parmi les hommes . Telle perfection ne serait-elle pas désignée le > Comment pourrions-nous concevoir le monde sinistre décrit dans Candide semblable a une «utopie ? " Puisque le meilleur de tous les mondes possibles indique que >, ne serait-t-il pas convenable de tirer la conclusion que, puisque notre monde n'est clairement pas «parfait» , il est

LOUP Dcembre 2D LE MEILLEUR DES MONDES ALDOUS HUXLEY Question 1 Biographie dAldous Huxley (1894-1963)Aldous Huxley est un romancier britannique. Il fit de brillantes tudes Oxford. Il a proclam dans ses romans avec une ironie mprisante la faillite des valeurs chrtiennes et dmocratiques. Il reflte dans ses oeuvres son scepticisme, sa dsillusion et son pessimisme. Huxley signalait de manire prophtique le danger

la comédie héroïque Cyrano de Bergerac (1897), Jean Rostand a consacré sa vie à la biologie et à fait connaître la génétique au grand public. Humaniste, il a laissé un ensemble de textes dans lesquels il réfléchit sur les relations de l'homme et du monde qui l'entoure. Mais, laissant au moraliste le soin de peser les douleurs et les satisfactions individuelles, demandons-nous ce que l'homme, en tant que membre de l'espèce, peut penser de lui-même et de son labeur. Certes, à se souvenir de ses origines

Le meilleur des mondes «Aldous Huxley» 1) Portrait des personnages (Bernard Marx, Helmholtz Watson, John «le sauvage», Lénina Crowne, Linda. Bernard Marx : Petit et gros, son apparence est en décalage avec le physique de la caste des Alphas, il ressemble à un Gamma. La rumeur prétend que lors de sa conception en éprouvette, une erreur aurait causé l’injection d’alcool dans son pseudo-sang, ce qui justifierait son physique difficile De ce physique est née une exclusion des autres : il est d’abord

lorsque l’auteur emploi l’expression “ôta du meilleur des monde” (l.4) qui remplace le mot tuer. De plus, les chiffres sont imprécis, nous ne savons pas exactement le nombre de morts, il nous donne juste une aproximation afin de ne pas choquer le lecteur “environ neuf mille” (l.4), “quelques milliers” (l.5), “une trentaine de mille” (l.6). Les hyperboles telles que “rien n’était” (l.1), “une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer” (l.2-3) et “le meilleur des mondes” (l.4) renforcent cette idée

rôle primordial dans la formation de nos désirs et, donc, de nos rêves. Après avoir étudié les œuvres suivantes « Qu’est-ce que l’acte de création ? », G. Delleuze. « La quadrature du rêve français », R. Pol Droit. « Résister, c’est rêver d’un autre monde qui est possible. », I. Ramonet. « I have a dream. », M. Luther King nous pouvons nous demander si le rêve collectif porte-t-il atteinte au rêve individuel ? Dans une première partie nous aborderons le rêve collectif, une illusion collective puis dans