Un Recit Plaisant

dialogue est aussi montré par l’usage de la 2ème personne, mais avec une 1ère personne également très présente : « je conclus… je l’apercois » Enfin, le dialogue est rendu vivant par les récits plaisants que le poète mêle à son discours, ainsi que par la vivacité de l’expression des points de vue. Ces récits plaisants appartiennent au genre de la fable et de l’anecdote. 2 Une satire structurée Boileau tient à suivre un raisonnnement logique : il alterne les expressions des points de vue par la simulation

narrateur est l’enfant qui est devenu grand, on parle d’un souvenir marquant ce RDV chez le coiffeur lui a permis de grandir mais aussi de passer de fillette a garçonnet. En quoi cette anecdote plaisante est -elle riche pour l’autobiographe ? dans un premier temps nous allons étudier une anecdote plaisante et dynamique puis dans un second temps nous

fabuliste. On est d’emblée frappé par l’inversion de l’ordre traditionnel récit, puis morale. C’est ici la morale qui précède le récit. L'âme de la fable est posée d’emblée, sans récit préalable. Le récit a ensuite pour fonction de justifier et d'illustrer la morale qui le précède. Le corps de la fable est comme déduit de son âme. Nous constatons que le corps est constituée en son milieu par un long dialogue emboîté dans le récit qui le précède et le clôt. La transition entre l'âme et le corps de la

regroupe plusieurs centaines de textes courts mettant souvent en scène des animaux ; les récits sont, sauf rares exceptions, suivis d’une morale qui indique la portée critique à apporter au texte. L’auteur lui-même se plaisait à dire : « Je me sers d’animaux pour instruire les hommes ». La fable, et l’apologue en général, est un genre argumentatif original puisqu’elle utilise le discours narratif et le récit pour convaincre ou persuader. La fable 19 du livre IX, Le Berger et son troupeau, est située

but d’instruction « La Laitière et le pot au lait » = histoire d’une jeune paysanne qui rêve de s’enrichir mais retour brutal à la réalité. En quoi cette fable illustre-t-elle le principe « plaire et instruire » cher à La Fontaine ? I – Un récit plaisant Le conte a une valeur éducative : - Texte vivace (rythme) → Vers bref (ex : « Perrette sur sa tête ayant un pot au lait » (v 1) → présente le pers. princ. → rimes : ville/agile → musicalité, entrain - Impression de simplification pour

Histoire des Oracles,l’auteur feint en réalité ce qu’il dénonce c’est la crédulité des contemporains et des impostures de l’esprit religieux. Il raconte une anectote qu’il va longtemps développer d’une maniére amusante. I Structures persuasives du récit. 1. Ce texte est construit avec beaucoup de clarté On a tout d’abord une entrée en matière qui expose la thése à défendre. On a une anecdote qui vient illustrer la thèse. On a une conclusion qui reprend la thèse et la généralité. 2. Le ton de

plus célèbre reste « le Corbeau et le Renard » Si dans ses fables, la Fontaine utilise essentiellement des animaux c’est pour deux point très importants qui sont éviter la censure et aussi éduquer les enfants qui les lises. Une fable est un cours récit possédant un point de vue moraliste et dénonciateur envers un défaut du genre humain mais celle-ci peuvent être aussi révélateur d’une qualité humaine. Les conditions de vie des êtres humains telles qu'elles apparaissent dans les fables se caractérisent

le doter d’une immense ardeur plaisante – dimension théâtrale, représentation de la vie de province. Puis nous nous pencherons plus précisément sur la question de la focalisation et sur le miroitement des points de vue dans l'extrait pour comprendre qu'il jette le soupçon sur le personnage de Jacquotte. Pour enfin nous pencher plus précisément sur la figure de Jacquotte et de sa volonté de puissance quasi « picrocholienne. » I. Une mise en scène réaliste et plaisante Le lecteur découvre avant tout

exprimer des idées philosophiques. Ainsi, à travers une fiction courte et plaisante, Voltaire retrace les tribulations d’un jeune héros, Candide, et les étapes de son éducation intellectuelle et morale. (Développement) (I. Un conte qui tient du roman) Il est aisé de remarquer que Candide tient avant tout du conte traditionnel et du roman. Voltaire, pour attirer son lecteur, lui propose une histoire plaisante se présentant comme un divertissement. Ainsi, le conte relate l’histoire

lyriques « Amour tu perdis Troie » (3) +hyperboles « ou du sang des Dieux on vit le Xanthe teint » (5) * L’hétéromère =>utilisation des alexandrins, vers nobles et solennel par excellence 2) L’humour du fabuliste= un anthropomorphisme plaisant Fable rendue savoureuse par l’anthropomorphisme [attitudes humaine a des animaux] des animaux qui se conduit comme des hommes = mise en scène d’une rivalité amoureuse * Utilisation du vocabulaire galant [XVII SIECLE, galanterie très en