Une Fable Est Elle Un Apologue

« Les animaux malades de la peste » Jean de la Fontaine Les Fables – Livre VII INTRODUCTION Cette fable animalière qui ouvre le livre VII a plusieurs sources possibles : l'Oedipe Roi de Sophocle (dramaturge grec) ou le De Natuna rerum de Lucrèce. Elle peut également avoir été inspirée de la satire orientale des courtisans tirée du Panchatantra. Le fabuliste classique imagine une situation tragique : la peste, épidémie très répandue depuis l'antiquité et qui décimait des milliers de personnes

fable = apologue, relevant de l'argumentation indirecte et permettant d'aborder la question de l'homme sous l'angle des rapports sociaux tels qu'ils sont établis sous l'Ancien Régime fable = apologue, relevant de l'argumentation indirecte et permettant d'aborder la question de l'homme sous l'angle des rapports sociaux tels qu'ils sont établis sous l'Ancien Régime fable = apologue, relevant de l'argumentation indirecte et permettant d'aborder la question de l'homme sous l'angle des rapports sociaux

La cour du Lion En quoi cet apologue est il plaisant et en quoi reprensente - t -il une double critique de la societe du XVII ? Intro OK I. Une fable a la forme classique. a. Son organisation OK b. Les personnages OK Transition OK II. Une fable plaisante a. Des rimes et des mètres variés b. Une transition entre les différents types de discours OK III. Une double satire Transition OK a. Une moquerie des courtisans

quatrième fable du livre III. Dans cet apologue, La Fontaine (1621-1695) imite Esope et Phèdre qui avaient écrit une fable ("Ranae Regem petierunt" = " Les Grenouilles qui demandent un Roi ") pour calmer les athéniens lassés de leur tyran. A son époque, cette forme d’argumentation à morale implicite permet à son auteur d’éviter la censure, chose courante au le XVIIème siècle. Cette fable se distingue par une évocation réaliste et fantaisiste de la nature. La portée symbolique en fait un apologue.

Dissertation Tout le monde a déjà lu un apologue, en le sachant ou non, un texte court avec un message qui parait pourtant juste divertissant. Mais est-ce seulement le but de l’apologue ou sert-il aussi à éveiller la réflexion ? Nous allons répondre à cette question en commençant par démontrer que l’apologue est divertissant, puis nous verrons qu’il suscite aussi la réflexion du lecteur. Nous allons tout d’abord aborder le divertissement dans ces apologues, qui est une des bases de ce type de texte

effet le retour aux sources antiques. Cette fable, tirée du livre III, illustre bien cette tendance puisqu'elle s'inspire d'Ésope et de l'historien Tite-Live, en délivrant un double message politique. La Fontaine veut faire réfléchir le lecteur en mettant en scène la relation entre différents éléments sur le sens et la fonction de la royauté. Nous analyserons l'organisation complexe de cette fable et en quoi celle-ci contribue à conférer à cet apologue une grande efficacité argumentative. Problématique(s)

siècle à nos jours », se compose de quatre documents. Les textes 1 et 2 sont tous deux écrits par La Fontaine, et extraits de son recueil de Fables : le premier est la dédicace adressée « A Monseigneur le Dauphin » et date de 1668 ; le second est la fable 21 intitulée « L’Ane vêtu de la peau du lion », tirée du livre V et datée de 1678. Le texte 3 est un extrait du livre II de L’Emile, écrit par Rousseau en 1762. Enfin, le texte 4 est un extrait du dernier chapitre de Candide, composé par Voltaire en

en 1684 malgré les réticences du roi (depuis Fouquet)Le second recueil : (rappel du cours précédent Imitation d’Esope et objectif moral, la querelle)La fontaine est dans une double tradition :Traduction des fables de l’antiquité et visée morale (apologue)2e recueil en 1678 (les livres 7 à 11)  dédicacés à la favorite Mme de Montespan, moins de succès (chgt de favorite ? effet de surprise du 1er ?) Différent du 1er :nouvelle forme : s’éloigne d’Esope, moins brève et didactique

fables de La Fontaine ou les contes de Saint Exupéry. Mais toutes ces œuvres chargées d’émotion, ont-elles traversées les siècles parce qu’elles enseignaient une morale ou parce que leurs personnages et leurs aventures étaient attractives ? Les apologues sont-ils un meilleur moyen d’enseigner que les essais, véritables puits de connaissances écrits sans aucune figure de style? La Fontaine écrit : « une morale nue apporte de l’ennuie/Le conte fait passer le précepte avec lui ». Selon lui l’enseignement

antiques. C’est d'ailleurs ce qu’il fait dans la fable qui nous est proposée. Ce texte constitue la fable 20 du dernier recueil publié en 1694 et dédié au duc de Bourgogne. L’étude de la fable montrera comment le récit met en scène deux conceptions du bonheur et éclaire la morale du texte :​ une leçon de tempérance , une prise de position quant à l’attitude menant au bonheur, tout en réactualisant les références aux philosophies antiques . A travers un apologue plaisant qui présente deux attitudes opposées