Une femme douce

Chant d’automne Baudelaire Crise du Spleen lié à approche hivers ms partiellement atténué par image femme = mère. Fuite du temps. I/ Manifestations du Spleen 1) Le Spleen est un mal physique - lexique du froid + oxymore « enfer polaire » - gradation dans l’intensité du froid - Antithèse chaleur / froideur 2) Le spleen est un mal psychologique - lexique des sensations auditives → lourdes, répétitives → all en « ch. », [k] + ass [ou]/ [o] → sons graves et lointains, mais aussi bruits

Dissertation Sujet : homme et femme : identique ? « Homme sans femme, tête sans corps : femme sans homme, corps sans tête. » (Jean-Paul Richter, Blumen, Frucht und dornenstücke 1800) Cela vient à nous demander si les hommes et les femmes sont identiques ? Un homme est une personne morale et physique, tout comme une femme. Ce qui signifie qu’un homme et une femme sont deux êtres humains composés des mêmes organes vitaux, des mêmes parties du corps humain, en effet seulement certains

luisants, Polis par les ans, Décoreraient notre chambre ; Les plus rares fleurs Mêlant leurs odeurs Aux vagues senteurs de l'ambre, Les riches plafonds, Les miroirs profonds, La splendeur orientale, Tout y parlerait À l'âme en secret Sa douce langue natale. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux Dormir ces vaisseaux Dont l'humeur est vagabonde ; C'est pour assouvir Ton moindre désir Qu'ils viennent du bout du monde. - Les soleils couchants

promesse de voyage épanouissant le rêve. Lecture Problématique: En quoi cette invitation au voyage permet-elle d'entrevoir l'idéal? Plan: I) Un voyage idéal II) La femme inspiratrice du voyage Développement: I) Un voyage idéal A) Une invitation à la rêverie • apostrophe et interpellation (v.1) = il s'adresse et invite directement la femme aimée + déterminant possessif = montre l'affection et leur proximité • utilisation de l'impératif: «songe» (v.2) «vois» (v.29) = appel, invitation au voyage • utilisation

Les perdrix 2eme partie Acte 2 : Scène 1 : le paysan et la femme LE PAYSAN : (à travers la porte, en criant) Alors, ma douce, elles sont cuites ? LA FEMME : (assise sur un tabouret, elle est désolée) Hélas, oui, elles l'étaient, mais les chats les ont mangées. Je n'ai pas pu … ( elle se lève) LE PAYSAN : (prend la chaise dans ses mains, furieux) Comment ?... LA FEMME : (arrête la chaise en se protégeant le visage, sur le ton de la plaisanterie) C'était pour rire, voyons ! Arrière, grand diable

composé de 12 chapitres qui sont répartis en deux grandes parties. Cécile est la narratrice de l’histoire, elle raconte ses vacances d’été, elle décrit les événements ainsi que ses sentiments lors de cette période. Cadre spatio-temporel : La jeune femme est à Paris lorsqu’elle parle de ses vacances passées dans une villa de la Côte d’Azur. 2) Fiche auteur : Sa vie : ( Ecrivain français née le 21 juin 1935 à Carjac (Lot). ( Issue d’une famille de la grande bourgeoisie, Françoise Sagan passe

souriant) Ô femme ! femme ! femme! créature ... Diego: Stop, il faudrait que tu insistes sur la tristesse et le tragique. Pablo: Pourquoi de la tristesse? Je croyais qu'il serait préférable de mettre un peu de gaieté dans ce monologue. Diego: Surtout pas, on pourrait plus respecter la logique interne du texte, fait ton monologue fade, avec une tristesse et une haine absolue pour montrer que Figaro est désespéré par les évènements. Pablo: ( en souriant à des moments) Je vais essayer! Ô femme ! [..

On apporta dans la tour à manger et à boire pour sept ans et Méline et sa femme de chambre y furent emmenées et emmurées. Coupées de la terre et du ciel, elles devaient rester là, dans l'obscurité totale. Le prince venait souvent près de la tour et appelait Méline par son nom, mais le mur épais ne laissait pas passer sa voix. Et le temps passa et selon la quantité de nourriture et d'eau qui restait, Méline et sa femme de chambre devinèrent que les sept années touchaient à leur fin. Elles pensaient

moments de soufrance de sa vie. Elle n'avait rien de parfait, ou plutot elle réinventait la perfection, sa perfection. Son corps déssiné de courbes arrondies et harmonieuses parlait d'une femme, bien avec soit même qui ne se souciait que de sa propre vision de la beauté, son visage lui narait l'histoire dune femme fière qui s'était touours battue pour ses droits, ses croyances et ses valeurs mais que la vie n'avait pas épargné. " je suis sencé prendre une position particulière ? " dit-elle rompant

« assourdissante » - Oppression « autour de moi » - Allitération en « r » « s » b) Une apparition brusque mais douce - Véritable choc : « Un éclair» (v. 10) (rapprochement avec la foudre) - v2, énumération, vers « coupé » > ralenti - « une femme passa » = effet de retardement, côté fugitif Baudelaire insiste sur l'allure de la femme en faisant son portrait en mouvement. c) La femme - « longue », « mince », « grand », « majestueuse » - Baudelaire donne une impression, de noblesse « main fastueuse »