Une femme douce

Fleurs du Mal : un univers poétique contrasté Le recueil propose une poésie du SPLEEN et une poésie de l’IDEAL. Chacune correspond à une représentation du monde et à un style d’écriture particulier SPLEEN Un monde hostile : Le poète : La femme : IDEAL Un monde chaleureux : _« La douceur du foyer et le charme des soirs. » « Le Balcon » _ « Ange plein de Gaïeté, connaissez-vous l’angoisse ? » « Réversibilité » _ « Et l’harmonie est trop exquise » de « tout entière » Le poète :

d’Angleterre, lui dit de se faire enlever prochaine fois (p.73) 14. Jeanne trouve Samuel, mais il nie de l’avoir rencontré Détective privé va aider Jeanne (p.79) 15. Elle comprend pourquoi il y a eu des tentatives d’enlèvement (p.82) 16. La femme de Roland se marie avec un homme riche/ ses enfants disparaissent (p.83) 17. Ressemblance entre l’incendie de Ville juif et de Bombay (p.85) 18. Jeanne écrit une lettre à Roland (p.89) 19. Retrouve pilote et assistante biologiste de Nehru (p.91)

plus intelligente que ses trois autres frères. Elle était là pour aider la pauvre petie soeur. Sa mère Rose passait tout son temps à travailler, elle n'était jamais disponible pour les enfants et ne prenait point le temps de s'amuser avec eux, une femme très occupée depuis le décès de son mari: un très grave accident de voiture. Iris rêvait d'avoir une famille où elle se sentait bien, des frères drôles, gentils, une mère attentionnée, disponible à n'importe quel moment... -" Si seulement ma famille

Smith, un homme âgé de trente-neuf ans, habite à Londres, dans la province de l’Océania, en l’an 1984. Winston, tout comme son entourage, est constamment surveillé par la Police de la Pensée et les télécrans. -L’événement déclencheur : Julia, une femme membre du Parti, lui avoue son amour pour lui. -Les péripéties : Winston et Julia se rencontrent à maintes reprises, mais toujours en cachette. Ils doivent changer de lieu de rencontre de temps à autre pour ne pas être découverts (entre autre,

fine,Que pour mourir, de bouche ne diriezQu'on vous baisât, bien que le désiriez ;Car toute fille, encor' qu'elle ait envieDu jeu d'aimer, désire être ravie.Témoin en est Hélène, qui suivitD'un franc vouloir Pâris, qui la ravit.Je veux user d'une douce main-forte.Hà ! vous tombez, vous faites jà la morte.Hà ! quel plaisir dans le coeur je reçois !Sans vous baiser, vous moqueriez de moiEn votre lit, quand vous seriez seulette.Or sus ! c'est fait, ma gentille brunette.Recommençons afin que nos beaux

cette scène, cachés derrière des buissons.PB  : Comment le piège tendu par les femmes au comte libertin fait-t-il apparaitre des vérités ? (4 vérités  : (1) la rivalité maitre/valet ; (2) la relation homme/femme ; (3) une réflexion de l’amour ; (4) une réflexion sur le mariage) Pour cela, nous étudierons cet extrait selon 4 mouvements  : (1) Le Comte séducteur par l’approche physique

de départ est le regard de la femme qui l’accompagne. Il s’agit de passages descriptifs, très détaillés, d’un => Association traditionnelle de la femme aimée et la nature. C’est un lyrisme plus spirituel. Baudelaire nous invite à un voyage mystique, il permet grâce à appartement et d’un paysage hollandais (Vermeer de Delft). Il ne décrit pas la femme. Poème lyrique (Appel, « je », Nature) il invite la femme aimée à un voyage amoureux ce paysage, qui représente la femme aimée, d’atteindre le monde idéal

vue de sa douce par rapport à cet amour : «Et toi jamais d’autre que toi». 2 En second lieu, une grande partie du vocabulaire fait référence à la nature, mais cette nature prend différentes formes pour distinguée plusieurs réseaux de sens. Tout d’abord, ce réseau de sens est mis au service de Desnos pour témoigner d’une multiplicité infini dont il ne tient même pas compte en raison de cet amour plus grand que les étoiles et les solitudes (vers 1 et 2). Puis, lorsqu’il parle de la femme qu’il aime

Polis par les ans, Décoreraient notre chambre ; Les plus rares fleurs Mêlant leurs odeurs Aux vagues senteurs de l'ambre, Les riches plafonds, Les miroirs profonds, La splendeur orientale, Tout y parlerait À l'âme en secret Sa douce langue natale. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux Dormir ces vaisseaux Dont l'humeur est vagabonde ; C'est pour assouvir Ton moindre désir Qu'ils viennent du bout du monde. Les soleils

peindre avant que d’aller plus loin ». En effet, Diderot excelle dans la description picturale de ce personnage. Le physique de la Mère supérieure nous est décrit de manière extrêmement détaillée, jusqu’à l’aspect de ses yeux. « [C’est] une petite femme toute ronde (…) sa figure est plutôt bien que mal ; ses yeux, dont l’un, c’est le droit, est plus haut et plus grand que l’autre, sont pleins de feu et distraits (…) » De plus, le physique de la Mère Supérieure est si lié au caractère de celle-ci (ou