Une femme douce

manquant au devoir, J'allai voir la proscrite en pleine forfaiture, Et lui glissai dans l'ombre un pot de confiture Contraire aux lois. Tous ceux sur qui, dans ma cité, Repose le salut de la société, S'indignèrent, et Jeanne a dit d'une voix douce : - Je ne toucherai plus mon nez avec mon pouce ; Je ne me ferai plus griffer par le minet. Mais on s'est récrié : - Cette enfant vous connaît ; Elle sait à quel point vous êtes faible et lâche. Elle vous voit toujours rire quand on se fâche.

Rose Boyer Chronique de la dérive douce La plupart de ses œuvres font partie de l’écriture migrante. Dans le monde de la littérature québécoise, cette dernière est perçue comme étant un courant en soi. En outre, certains écrivains immigrés se disent des auteurs d’ici, ainsi leur écriture devient une façon d’exprimer leur culture et leur société. C’est le cas du roman La chronique de la dérive douce de Dany Laferrière. Cet auteur, d’origine

déborde plaisir :  • Expressions hyperboliques ('rien de si doux') montrent appétit intense, fascination envers la femme • Cette vie se ressent, verbes perception : 'voir, goûter, je me sens, frappé les yeux' : évoque émotions 'larme, soupir, j'aime, ravir', .philosophie humaine qui suit nature ('nature nous oblige') • Terme douceur évoque toucher, contact • CL amour ('douce, amour, âme, cœur, aimable, charmes, plaisir...) Séducteur justicier : Opposition singulier/pluriel entre 1ère qu'on

faire.  A une passante est le récit d’une rencontre amoureuse, d’un « coup de foudre » à la manière des romans. Quelle vision de la femme se dégage de ce poème ? Nous montrerons ce que cette version de la rencontre amoureuse a de très particulier : nous analyserons l’image originale de la femme contenue dans le poème.   A - Une image ambivalente de la passante : une femme à la fois attirante et effrayante. * portrait physique : élégance et beauté sculpturale. * Description insistant

Invitation a un lieu privilégé, d'élection sensé apporté un remède, réconfort au poète qui est au prise avec le spleen. Il est représentatif de l'Idéal mais prend ses racines dans le Spleen. La quête de ces lieux passent tj par l'évocation de la femme aimée, il s'adresse avec celle-ci qui en principe partage sa vision. Le pt de départ c'est des tableaux de Vermeer, en effet ce lieu pourrait être la Hollande (Vermeer hollandais) "Pays singulier noyé dans les brumes de notre Nord et qu'on pourrait

vas-tu Margot ? -Bien et toi ? -J’ai vu des jours meilleurs… -Seung, que se passe-t-il ?, demanda-t-elle de sa voix douce, avec une pointe d’inquiétude dans sa voix. TOP ferma les yeux. Il aurait pu lui répondre qu’en réalité, tout allait bien, ça n’aurait pas été un mensonge : juste entendre la voix de Margot l’apaisait, d’autant que l’accent étranger de la jeune femme ajoutait à son charme un petit quelque chose d’irrésistible. -Tu me manques, lui répondit l’idole d’une petite voix.

d’hypocrite. Nous sommes à n’en pas douter devant le chef-d’œuvre de Molière en tant qu’auteur « politique ». Mais en racontant comment un vaurien se fait passer pour un dévot afin d’être héberger dans une riche maison, comment il tente de coucher avec la femme de son hôte et finalement comment il élabore un plan, déjoué in-extremis, pour chasser ce dernier de sa propre maison, le privant de ses biens, en racontant tout cela il se faisait, malgré lui, de nouveaux et très puissants ennemis. 2.3- Molière auteur

dispute,les deux amis se fâcheront et s'opposeront en duel , duel au cours duquel Legrand sortira perdant (mort). La mère de Jaque Vingtras : La mère de Jaque Vingtras est une femme issue de conditions modestes . Elle travaille dans les champs ,et s'occupe de l'éducation de son fils . C'est une femme très tendre , douce , et très affectueuse . Elle subit les nombreuses colères de son mari . Elle ne se remettra jamais de son divorce ,qui est lié a l'infidélité de son mari , cela sera pour elle un

Sujet d'invention:Rencontre amoureuse C'était un beau jour de printemps, Chandler jeune étudiant de 21 ans se promenait dans le parc Molière accompagné par une douce brise matinale et par le chant des tourterelles. Ce fut comme une apparition, il vit cette jeune femme au teint pâle allongée dans l'herbe verte, recouverte des gouttes de rosée que l'aube déposait chaques matins. Tous les petites fleurs cachées dans les buissons près d'elle scintillaient de leurs couleurs éclatantes. Il se rapprochait

champs lexical de l'amour: « mon amour », « ce cœur », « aime » mais il utilise aussi beaucoup de métaphores et d'images qui montrent les sentiments qu'il a pour cette femme. Il admire tout chez elle: ses « cheveux », « sa bouche », « sa voix ». La présence de « tu » dans la deuxième strophe montre un rapprochement plus intime avec la femme aimée. Ainsi, il la nomme, « Elsa », faisant d'elle une réalité à part entière. Il arrive même à la vénérer en utilisant « Ô » dans la troisième strophe. Elsa est