Une femme douce

décidé autrement...Shannara, la mère d'Andréa, était une femme aux charmes sans prétentions. Jeune fille issus de la noblesse humaine, elle côtoya rapidement la cour du Roi, s'enivrant de sa richesse et de ses avantages. Jouant de son assurance, et frayant avec les plus grand, elle gagna rapidement le cercle intime de son Roi qui la pris, comme de nombreuses autres avant elle, pour maitresse.S'en suivit plusieurs années de bonheur, la jeune femme était logé au palais, et si elle n'était pas la Reine

ailes , les cris laissaient entendre : « Où est mon mari ? Où est mon mari ? » , c’était une voix de femme . Je courus après l’ombre , ce qui me fit aller jusqu’à une chambre , là , la femme aux ailes s’assis sur le lustre , elle avait les cheveux longs , assez fine , de grande taille , on aurait dit une fée. Je braquais ma lampe sur les meubles et vis des photos , c’était belle et bien cette femme qui était dans la même pièce que moi que je reconnus sur les photos. Elle ne cessait de répeter : « Où

de s'adresser à la femme aimée pour la mettre en garde sur le temps qui passe et sur la tragique destinée de celle-ci. Il est intéressant de relever la métaphore dans la deuxième strophe « Sur un lit semé de cailloux ». Dans ce quatrième vers, le « lit », qui est le noyau de cette métaphore et qui renvoie au lit de mort de la charogne, amène une dimension plus douce, plus sensible, voire même érotique, qu'on pourrait sans crainte relier aux termes « jambes en l'air », « femme lubrique »et « brûlante

Clair de Terre, 1923) Ma femme à la chevelure de feu de bois Aux pensées d'éclairs de chaleur A la taille de sablier Ma femme à la taille de loutre entre les dents du tigre Ma femme à la bouche de cocarde et de bouquet d'étoiles de dernière grandeur Aux dents d'empreintes de souris blanche sur la terre blanche A la langue d'ambre et de verre frottés Ma femme à la langue d'hostie poignardée A la langue de poupée qui ouvre et ferme les yeux A la langue de pierre incroyable Ma femme aux cils de bâtons d'écriture

recevoir dans notre artillerie ne par jour au moins une au moins je t'en prie entement la nuit noire est tombée à présent n va rentrer après avoir acquis du zan ne deux trois... À toi ma vie ! À toi mon sang ! a nuit mon cœur la nuit est très douce et très blonde Lou le ciel est pur aujourd'hui comme une onde n cœur le mien te suit jusques au bout du monde 'heure est venue, Adieu ! l'heure de ton départ n va rentrer. Il est neuf heures moins le quart ne… deux… trois… Adieu de Nîmes dans

ville II.Un voyage magique 1.Sa compagne - «mon enfant» : à qui il doit apprendre → il veut l'éveiller - «ma sœur» : elle est douce et c'est son âme sœur - «vivre ensemble» → projet de vie - «aimer et mourir» : aimer jusqu'à la mort → fait penser au mariage 2.Sortir de la tristesse - [t] : difficultés amoureuse - «mystérieux, traitre, larmes» : femme triste Voyage pour la sortir de ce spleen - conditionnel (2ème strophe) : voyage rêvé, imaginé → ce qui se passerait si on répondait

Chloé : elle incarne la beauté et la féminité. Elle est la femme parfaite pour Colin, jeune, jolie, douce et attirante, mais fragile. Elle meurt d’un nénuphar dans les poumons. Chick : il est le meilleur ami de Colin, c’est un passionné et fou de la philosophie de Jean-Sol Partre même si il n’y comprend rien. Il est le petit ami d’Alise. Dans le roman c’est le double inversé de Colin. Alise : elle est une jeune femme sentimentale et aimable. Elle est passionnément amoureuse de Chick

Décoreraient notre chambre ; Les plus rares fleurs Mêlant leurs odeurs Aux vagues senteurs de l'ambre, Les riches plafonds, Les miroirs profonds, La splendeur orientale, Tout y parlerait À l'âme en secret Sa douce langue natale. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux Dormir ces vaisseaux Dont l'humeur est vagabonde ; C'est pour assouvir Ton moindre désir Qu'ils viennent du bout

Sally Thabet 511 Le vendredi 6 novembre 2009 Français 504 ¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯ Le personnage et la situation initiale Il était une fois, une femme nommée Lorena Rodriguez qui vivait dans le sud d’un pays si pauvre qu’on n’en connait même pas le nom. Par contre, on sait qu’elle était d’origine hispanique. Faisant partie de la classe ouvrière, elle travaillait dans une usine minimalement hygiénique. Elle était veuve, car son ex-mari était décédé. Il l’avait mariée par

Une femme pas comme les autres ! Partie I Il est dix huit heure environ, je pense à ce que je vais faire ! J'écris comme à mes habitudes un de mes derniers poèmes avant d'aller me coucher. Je me sent seul comme tous les soirs, mais je pense à ma femme qui a encore eu un rendez vous de dernière minute avec un de ses clients. Cela fait déjà trois ans que ma tendre et douce femme est avocate, et je m'y suis fait par l'habitude. Le lendemain matin aucun signe de ma femme Stéphanie, je suis perdu