Une Femme Instruite

lui intervient sa femme, pour raconter à son amie Lalla, à deux occasions, deux histoires, fruit du papotage. La première à propos des voisines, l'autre concernant la blessure de Zineb au grand doigt de pied. Le narrateur se trouve émerveillé par la description de sa mère. Mais il manifeste parfois son opposition, lorsque Lalla Zoubida raconte les scènes du bain maure. Une autre personne l'a fasciné, c'est Rahma. Celle-ci a raconté l'histoire du vieux Si Ottman, et sa jeune femme, Lalla Khadija.

facilité du crime, elle commence à régulièrement empoisonner son mari, jusqu'à ce que l'apothicaire et le médecin de la famille se rendent compte de l'effroyable geste de Thérèse. La famille parvient à étouffer l'affaire. Le sacrifice de Thérèse… Cette femme de bonne famille est subitement sortie des rails, elle a elle-même saboté sa calme existence de bourgeoise. Qu'est-ce que sa tentative d'assassinat contre son mari sinon un dernier sursaut, désespéré, pour échapper à la pesanteur de son milieu social 

bain de comment le narrateur va nous conter l'histoire de ce dramaturge de renommé tout au long de ce livre. Dans ce passage, il est question de la naissance de Molière, au sens propre du terme. Du narrateur, Mikhaïl Boulgakov conversant avec la sage-femme, lui disant tel un devin toutes les prouesses qu'allait accomplir l'enfant qu'elle tenait en ses mains. Ebahie, elle lui retorqua «  J'ai tenu dans mes mains des enfants plus illustres » ce qu'elle ne se doutait pas c'est que des siècles après cet

« Antigone est la fille d'un roi maudit, Œdipe, et de la femme qu'il épousa sans savoir qu'elle était sa mère, Jocaste. La pièce qui porte son nom fut sans doute écrite vers 440 avant J.- Chr., avant Œdipe-roi. À l'aube où commence le drame, Thèbes est sortie d'une guerre très dure qui a vu s'affronter et mourir les deux frères d'Antigone, Étéocle et Polynice. Ils se sont tués l'un l'autre dans un combat singulier. Le premier défendait la ville sur laquelle il régnait, le second, Polynice, était

forme C`est un passage de la nouvelle. Le but du passage est le chant de la beauté farouche et dérision des vices. 3) Le sujet La narration est à la première personne. Un soir le narrateur a rencontré une belle femme. Ils ont fait la connaissance. Il s`averait que cette femme était bohémienne, mais le narrateur n`avait pas peur et même a consenti l`accompagner jusqu`à son abrit. Là, Carmen lui a fait une bonne aventure. Tout à coup un homme est entré dans la chambre et il s`est avansé vers

loi. 2) Les arguments et les exemples. Argument 1 : La nature (ligne 3-9) . exemple : hommes et femmes sont égaux chez les animaux et chez les végétaux. Argument 2 : La femme est aussi intelligente que l'homme (ligne 12) = il y'a donc une égalité au niveau des facultés intellectuelles Argument 3 : La femme est supèrieure à l'homme en beauté et en courage (ligne 23-24) . car elle subit l'accouchement et qu'elle est coquette. On observe une gradation, les arguments sont crescendo

LE DESIR (p70) Intro. Molière : Vanité du désir de toute-puissance. D’après Molière l’homme est prêt à accomplir des actes immoraux envers d’autres hommes afin de satisfaire leurs désirs. (L’école des femmes, femme idéale => femme instruite succinctement et naïve). 1-Le désir est l’essence de l’homme. Texte 1 : Spinoza. L’homme, un être de désir Baruch Spinoza (1632-1677) Informé des sciences de son temps et fortement influencé par Hobbes et Descartes, Spinoza est l'un des plus influents

sont également caractéristiques d’un texte épistolaire : « le présent d’énonciation qui sert à faire coïncider le temps de l’écriture et le temps de l’action et les passé composé qui permet un rappel des faits. Enfin on voit que Roxane est une femme instruite car elle utilise le subjonctif imparfait « que je ne fusse ». Ce texte épistolaire permet à Montesquieu d’évoquer les femmes de la société du XVIIIème siècle en général. II- Il y a également une importante dimension philosophique dans ce

| |1 |Cadre |Femme |20-40 | |2 |Cadre |Homme |20-40 | |3 |Employé |Femme |41-60 | |4 |Employé |Homme |41-60 | |5 |Etudiant |Femme |61-80 | |6 |Etudiant

Tristesse majestueuse de ces dernières phrases qui récapitulent la destinée de la jeune femme. On sent la condamnation dans l’irréel du passé (« eussent conduit ») et dans le cruel constat du manque de « vertu » et de « prudence », mais l’oraison funèbre garde une certaine ambiguïté : le jugement du narrateur est- il totalement dépourvu de pitié ? N’y a- t-il aucune compassion dans l’évocation de la jeune femme morte de douleur et de honte ? dans les allusions à sa beauté, à sa jeunesse (« dans la