Une Femme Instruite

parlementaires marocains……………………11 5-1 Istiqlal, mouvement populaire, RNI : des profils panaches…………………………………………………………………………………………………………. 5-2 Le parti le plus instruit……………………………………………………….. 5-3 Des profils en place depuis les années 70……………………….. 5-4 Peu instruits mais très présents au niveau local……………. 6- Elections législatives………………………………………………………………………15 6-1 Etapes du vote………………………………………………………………………. 6-1-1 L’inscription

Peyrehorade par mon ami M. de P. ». Il est parisien « M. Alphonse […] et me regarda comme pour me demander : Et vous, Parisien, comprenez-vous ? » p27-28 et antiquaire  « Vous êtes antiquaire, monsieur, ajouta le marié [….] » p55. C’est un homme instruit : il connait le français et le latin («Quid dicis, doctissime ? me demanda-t-il en se frottant les mains. Voyons si nous nous rencontrerons sur le sens de ce cave amantem ! Mais, répondis-je il y a deux sens. On peut traduire […] ») et comprend assez

venait ; nul ne les éveillait, nul ne les forçait ni à boire, ni à manger, ni à faire aucune autre chose. Ainsi l'avait établi Gargantua. En leur règle il n'y avait que cette clause : FAY CE QUE VOULDRAS, parce que les gens libres, bien nés, bien instruits, conversant en compagnies honnêtes, ont par nature un instinct et aiguillon qu'ils nomment honneur et qui toujours les pousse à des faits vertueux et chasse le vice. Quand, par vile subjection et contrainte, ils sont opprimés et asservis, ceux-ci

Durant, l’époque de la Grèce antique, le monde ont commencé à changer de mentalités. À Athène, où que la vie est totalement différent des autres pays de l’Europe, les gens deviennent plus instruit et plus ouvert, on impose la démocratie. Plusieurs personnes commencent à changer leur façon de penser. L’apparition des philosophes fait en sorte que les gens réfléchissent plus loin et deviennent plus intelligents. Le sage nommé Socrate est une personne sage qui cherche une vérité universelle. Ensuite

« règle »La clause fait la promotion de la liberté pour l’épanouissement, même s’il s’agit d’un ordre (impératif)Pr Rab, l’humain est naturellement vertueux et bon (présent de vérité général l.7)Rythme ternaire + énumération (« libres, bien nés et bien instruits ») -> il faut cependant avoir été bien éduqué pour avoir cette vertu« Aiguillon » : facilité à discerner le bien du mal (antithèse « actions vertueuses » & « vice »)Le vice est rejeté de la société (verbe « écarté » l.10) « Par

d’autres sociétés, ce sont les lois sur le mariage qui permettent l’union de deux personnes et donc la procréation.) En ce sens, les lois nous créent. -Ensuite, ces mêmes lois nous façonnent. C’est grâce aux lois que nous sommes obligatoirement instruits jusqu’à l’âge de seize ans minimalement (Québec). Elles nous permettent l’éducation. Et à Athènes à l’Antiquité, comme le mentionne Socrate, ce sont les lois qui permettaient aux enfants d’avoir une éducation. Les lois nous éduquent et nous façonnent

son entreprise:"Le but de l'Encyclopédie est de rassembler les connaissances éparses sur la surface de la terre (...) afin que les travaux des siècles passés n'aient pas été inutiles pour les siècles qui succéderont; que nos neveux, devenant plus instruits, deviennent en même temps plus vertueux et plus heureux (...)." Ainsi la finalité de ce pojet savant est le bonheur et la vertu, deux grands valeurs au XVIIIème siècle. Dans l'Encyclopédie, les philosophes vont tout soumettre à leur jugement critique:

apprend les travaux domestiques et le catéchisme pour qu'elles puissent ensuite élever leurs enfants chrétiennement. La religion passe par la femme et se transmet de mère en fille. Très peu de femmes sortent de cette éducation religieuse. De plus les filles en général n’allaient pas à l'école mais celles de familles aisées étaient généralement instruites à la maison. Elles ne devaient pas être inoccupées. Elles étaient évidemment autorisées à jouer un certain temps, mais elles étaient censées travailler

débonnaireté? » Cet extrait nous montre que M. De Renâl a peur de ce qu'on pourrait penser de lui. De plus il est faible et n'ose pas passer à l'acte, ce qui fait naître en lui un sentiment de haine. p.194 « ...je puis surprendre ce petit paysan avec ma femme et les tuer tous les deux; dans ce cas, le tragique de l'aventure en ôtera peut-être le ridicule. Cette idée lui sourit ; il la suit dans tous ses détails. Le code pénal est pour moi, et, quoi qu'il arrive, notre congrégation et mes amis du jury

qu’ils veulent (l.4-5) « nul … nul » « parforçait » « désir leur venait » : plus de hiérarchie • Chacun se règle suivant son libre arbitre (l.8) « fais ce que voudras » Seul autrui limite cette règle (l.9)  « gens libères biens nés, bien instruits, conversant en compagnie honnête, ont par nature un instinct et aiguillon qui toujours les pousse à faits vertueux et retire de vice » : phrase optimiste car homme capable d’agir suivant la liberté qu’il respecte Libre arbitre (l.18) « par cette