Une Longue Tirade Lyrique

personnage appelées répliques. 2- La parole des personnages • • Répliques : parole des personnages • • Stichomythie : échange très rapide, vers à vers, de répliques. • • Tirade : réplique longue et qui a une unité, elle forme un tout cohérent • • Monologue : tirade d’un personnage seul sur scène, correspond à un moment important de la pièce. • • Aparté : un personnage se parle à lui-même alors que d’autres personnages sont sur scène. B) La double

; – une fonction épique : récit d’événements que le spectateur ne peut voir sur scène ; – une fonction lyrique : expression des sentiments. Les fonctions délibératrice et lyrique peuvent se rejoindre dans l’expression du dilemme. • L’aparté est une réplique qu’un personnage prononce à l’insu des autres personnages. En général, l’aparté est court et sert le comique. • La tirade est une longue réplique. Elle peut servir le récit ou s’inscrire dans une argumentation : reproches, déclaration, justifications

le fait sortir de la scène. Scène 4 Scène extrêmement longue et de grande ampleur. Scène théâtrale et dynamique. Cyrano, irritable fascine. Provocateur. Cette scène complète l'exposition. (apparition de Cyrano, élément clé et haut en couleur). Il se donne en spectacle, mais derrière son arrogance il a un complexe, une faiblesse. La scène toute entière tourne autour de Cyrano. 1 le mouvement 2 étude méthodique de deux passages Tirade et ballade. 1ère partie : affrontement entre Cyrano et

une fière attitude qui s’indique, c’est un amour qui passe, c’est une pensée immortelle qui s’envole ». La subtilité des sentiments est dépeinte judicieusement, tout en conservant parfois de grandes envolées lyriques propres au style romantique. La tirade de Ruy Blas à l’acte III scène 2 (longue de 100 vers !), en est un exemple qui m’a particulièrement marquée : c’est un véritable discours politique transposé sur le plan poétique, dans lequel Ruy Blas, devenu porte-parole de l’auteur, montre la corruption

faiblesse serait-elle blâmable ? […] Et pourquoi cet enfant n'aurait-il pas le droit que nous avons toutes, nous autres femmes ? ». En outre, le texte est très construit : par la présence de beaucoup de ponctuation, l'alternance de phrases plus ou moins longues, c'est-à-dire par une syntaxe très recherchée, Musset présente un texte structuré qui favorise la perception des différents effets de style qu'il souhaite produire. Enfin, on peut mentionner la multitude de figures de style, comme dans la scène I

bravé l’interdit rencontre la fatalité et est sacrifié ce qui le conduit à la mort, ceci est habituel dans les pièces théâtrales dramatiques. Ensuite, le mélange des registres, passant du pathétique, notamment dans les deux premières tirades de Ruy Blas puis au lyrique quand le valet demande le pardon et que celle-ci le lui donne puis enfin au tragique en fin de scène car l’amour y était réciproque. Cette scène est bien contraire aux règles des autres genres théâtrales. En effet, elle ne respecte pas

vie 1- 40 : parcours de toute son existence et des aléas 40 – 49 : réflexion philosophique qui mène à la mélancolie, bilan d’échec 49- fin : reprise de l’intrigue 1- Une fonction informative • Le lecteur découvre l’histoire , le « roman » de Figaro Longue accumulation de métiers, peu de connecteurs (temporels ou logiques) : parataxe Emploi du présent de narration (récit au présent de fait antérieur) : actualisation des faits , Figaro semble revivre les différents épisodes Omniprésence du « je » : sujet

Juste la fin du monde , Jean-Luc LAGARCE (1990) Texte 8  : Le dénouement, deuxième partie, scène 3 SYNTHESELe passage étudié se situe à la fin de la pièce : il conclut une longue tirade d’Antoine adressée à Louis tout au long de la scène 3 de la deuxième partie.Suite au denier échange, Louis partira : les 24h que dure la pièce, dans la maison de la Mère, s’achèvent. Une dernière scène suit, mais il s’agit d’un épilogue coupé du

l’apparence des comportements. 2. (Lignes 6-13 / Lignes 948-955) : LE PLAIDOYER DE MANON A la différence de la première rencontre (TEXTE 1), c’est Manon qui prend l’initiative du dialogue (antithèse « mon silence » / « elle me dit »), à travers une tirade argumentative. Il s’agit d’un véritable plaidoyer qui prétend justifier son retour. - Son discours est rapporté au style indirect en une seule phrase complexe déployant une série de subordonnées coordonnées => précipitation de la parole et accumulation

l’affrontement d’un individu isolé contre la société : les conflits sociaux et politiques entre des groupes ou des types d’individu Chacune de ces formes de combat trouvent une expression privilégiée à travers des prises de parole spécifiques : monologue lyrique ou délibératif pour les conflits intérieurs, vif échange de répliques pour les affrontements entre individus ... L'expression du conflit au théâtre reste avant tout possible grâce à l'utilisation de « mots », comme dis plus haut tout d'abord le conflit