Une Monarchie Absolue Contestée

pouvoir est passé du roi à l'Etat (1789) pouvoir polit passe d'une personne physique (roi) à une institution (Etat). Sous l'ancien régime, du moyen âge à la révolution, le pouvoir polit appartenait au roi qui était confondu avec l'Etat. Sous la monarchie absolue (Louis XIV), la loi procédait de la seule volonté du roi. I – Les éléments constitutifs de l’état. Il faut 3 éléments cumulatifs pour qu’il y ai état. A – Un pouvoir de contraintes. La contrainte s’exprime par l’édiction de règles

un temps, l'organisation politique des États était régie presque entièrement par la coutume, notamment dans les États monarchiques avec des règles de dévolutions du monarque. La forme coutumière a progressivement disparu en même temps que la monarchie absolue (sauf en Grande Bretagne où la Constitution coutumière est encore en vigueur). La Constitution écrite, quant à elle, est le type de constitution la plus adoptée. C’est un document relativement court ayant été adopté sous la forme d’une loi soit

Référendum et démocratie Alors qu’au XVIIIème siècle la monarchie absolue constituait le régime politique français, un écrivain et philosophe originaire de Genève considérait qu’une loi, pour être valable, devait être impérativement ratifiée par « le peuple en personne ». Pour lui l’autorité du seul Roi n’était pas suffisante pour édicter une règle applicable à tous, celle-ci devant être décidée par le peuple lui-même afin qu’elle soit réellement acceptable. Rousseau soutenait la notion de démocratie

-à-dire que l’Etat a une religion exactement comme les individus. L’Etat a une religion et une seule. L’Etat royal est un Etat catholique. La devise de la monarchie française est « une foi, une loi, un roi ». Cela montre l’unité entre la foi et le royaume. Pourquoi est-il nécessaire d’avoir cette unité entre ces deux entités (l’Eglise et la Monarchie) ?Il y a plusieurs raisons :· Une raison d’ordre théologique : pour les théologiens catholiques, il n’y a qu’une seule vérité dans le domaine spirituel

1922, en contrôlant toutes les nominations et en s'appuyant sur les uns et les autres. Il fait alors exiler Trotski et le fera assassiner au Mexique en 1940. Les autres opposants sont aussi réduits au silence et en 1929, Staline devient le maître absolu de l'URSS. B. Les débuts de Staline * La poursuite de la NEP, nouvelle politique économique jusqu'en 1928. C'est un retour partiel et provisoire au capitalisme décidé en 1921 par Lénine en considération de la situation économique catastrophique

1922, en contrôlant toutes les nominations et en s'appuyant sur les uns et les autres. Il fait alors exiler Trotski et le fera assassiner au Mexique en 1940. Les autres opposants sont aussi réduits au silence et en 1929, Staline devient le maître absolu de l'URSS. 1.2 Les débuts de Staline Le programme de développement En 1928, la production agricole stagne et la croissance industrielle est faible. De plus des paysans riches et des nepmen apparaissent. Staline décide alors la fin de la NEP et s'engage

elles font secouer la monarchie française et l’ensemble de France en général. Les monarchomaques vont contester le fait que le pouvoir soit détenu par un seul, ils veulent une monarchie tempérée, théorie soutenue par John Locke. Des théories du droit vont s’opposer aux monarchomaques, ils veulent préserver l’institution monarchique. Parmi ces penseurs éminents, il en est un, Jean Bodin grand penseur du XVI siècle. En France d’un point de vue historique la monarchie absolue va prévaloir au XVII et

leur perception : c’est la réaction nobiliaire. À la fin des années 1780, les mauvaises récoltes jettent à la rue les membres les plus fragiles des communautés. La contestation de la monarchie absolue Louis XVI en costume de sacre, peinture de Joseph Duplessis En 1788, le pouvoir repose sur la monarchie absolue de droit divin. Le roi tient son pouvoir de Dieu comme le montre la cérémonie du sacre à Reims, marquant le début de son règne ; la tradition monarchique s’inscrit dans le respect des

et que tous leurs biens éventuels se soient intégrés au Domaine. Si l'inaliénabilité du domaine ne fit pas l'objet de controverse, la théorie de la directe royale universelle fut toujours contestée. SOUS-CHAPITRE 2 -LES CORPS, ÉTATS, ORDRES SUBORDONNES MAIS AUTONOMES. Fondée sur la tradition, la monarchie laissait subsister d'anciennes institutions, qui atténuaient son autorité, sans lui faire barrage, ni même amoindrir son prestige. Il s'agissait des privilèges accordés aux corps et communautés

la seule qui puisse le mener vers le salut (mais pour cela doit être pieux et dévoué à la religion, pas comme il le fait) ; * Appel à Dieu, dont les décisions ne peuvent pas être contestées, pour justifier le fait que pouvoir pontifical supérieur au pouvoir royal théocratie de « droit divin »( // « monarchie de droit » divin sous Louis XIV) qui est de fait/ainsi incontestable : le roi est donc « soumis à l’hiérarque supérieur de la hiérarchie ecclésiastique » et cela personne n’est en droit