Une Oeuvre D Art Nous Parle

Nathalie Piégay-Gros, Introduction à l’intertextualité, Dunod, 1996. 1Les critiques qui ont retracé l’historique du concept d’intertextualité1 ont toujours souligné le flou terminologique et la multiplicité des termes du métalangage en concurrence ; on parle ainsi de dialogisme, d’intertextualité, d’hypertextualité ou de récriture. Ce qui est plus grave, c’est que ce flou terminologique traduit une véritable confusion entre des pratiques différentes, et entraîne un manque de rigueur dans les études ou

sujet pour bien envisager la portée de ce qui nous est demandé dans le sujeot. Premièrement on bute sur le mot « art » mais qu'est ce que l'art? Dans le language courant est considéré comme art tout ce qui est crée par un artiste dans le but de plaire ou d'être critiqué. On dit par exemple de quelqu'un qu'il a l'art de plaire. Ici l'art est une habilité au sens large le mot « art » désigne d'ailleurs la façon de faire quelque chose. Au sens étroit il désigne la façon de faire quelque chose de

La poésie est un genre ancien qui a changé depuis l’Antiquité. Petit à petit elle a laissé place à de nouvelles formes ainsi qu’à de nouveaux genres. Dans notre monde moderne y a-t-il encore une place pour celle-ci ? Quelle importance peut avoir un art ancien dans notre société actuelle ? Aussi nous pouvons nous demander si ce genre littéraire n’est pas démodé. Nous allons donc voir si la poésie à bel et bien disparu en nous attardant sur les caractéristiques linguistiques de notre époque et sur la

de l’artiste est de représenter, alors il sera considéré comme un génie s’il le fait à la perfection. En effet lorsque l’œuvre est bien faite, on peut alors sentir une certaine satisfaction ; sensation semblable si je suis l’auteur même de cette œuvre ou simplement son spectateur. Il y aurait un plaisir du beau face à l’œuvre bien faite techniquement et ce serait donc cette satisfaction qui serait tout le travail du peintre. Ainsi, l’artiste mettrait tout son talent au profit du travail de l’imitation

Introduction: Dans l'étymologie art (= savoir faire) est considéré par les grecs comme une technique c'est-à-dire une façon habile de si prendre dans un domaine particulier. Les mots artiste et artisan on la même racine. Il est important de mettre en avant que dans l'antiquité on ne fessait pas la différence entre un artisan et un artiste. Par exemple un potier et un poète étaient considérer comme des hommes exerçant un art. Cela était du au faite que l'art était vu comme une habiliter qui a était

préoccupations philosophiques qu’à son tour, Charles V a suivies de près et organisées, grâce ou à cause du mécénat. Des orientations précises pouvaient être insufflées aux différentes manifestations de la vie culturelle et artistique. Et si l’on parle « d’humanisme médiéval », il apparaît comme une réalité culturelle et civilisationnelle dont l’humanisme de la Renaissance n’est que le prolongement naturel, que les influences venues d’ailleurs étoffent et transforment. Les historiens évoquent souvent

de Boileau devient pour longtemps l’autorité en France : il préconise la distinction des genres, la soumission à la raison, les unités. Il constitue la doctrine des Anciens, dans la querelle des Anciens et des Modernes à la fin du XVIIe siècle. Un art poétique a pour ambition d’instaurer une norme destinée à ceux qui ont l’intention d’écrire des poèmes. Il relève donc du registre didactique. Ces ouvrages sont généralement rédigés par des auteurs ou des théoriciens reconnus. Dans ce cas leurs préceptes

extrêmement classique. Tableau moderne. Polyclète : Sculpteur du Vè siècle av JC. Doryphore, le porteur de lance, sa position le suggère. Dès la Grèce classique, œuvre érigée en modèle. A travers les siècles inspire les artistes. Plusieurs œuvres s’inspirent du Doryphore -> Ex : Mario Bismarck, Sem Titulo Quand on parle d’Art Antique on parle d’Art Grec. Influence au cours des siècles. On accède à l’art Grec grâce à la culture romaine. Les textes antiques qui parlent de l’art sont des textes majoritairement

vérité dans la narration, c’est comme par hasard. On peut en trouver dans le récit de narration, mais ce n’est pas son objet principal de dire le vrai. Quand on dit la vérité, il faut obligatoirement donner des preuves attestant que le réel dont on parle est bien comme on dit qu’il est, comme la vérité scientifique. S'il ne doit pas dire la vérité, le romancier doit tout de même avoir le souci de toucher, d'intéresser et de passionner son lecteur car tous les auteurs écrivent dans le but d'être lu

est introduite par le mode, les niveaux supérieur ou inférieur, et une différence d’énonciation, la narration pouvant être faite à la troisième ou à la première personne. Rappelons que dans son traité Aristote prend seulement en considération les œuvres en vers et, parmi elles, uniquement celles qui représentent des actions humaines ou des êtres humains. Ce qui nous place assez loin des formes narratives modernes mais nous permet néanmoins de dégager quelques premiers principes directeurs concernant