Une Parodie Du Procès

le diable Hystérie collective qui se répand (adv. : partout) 2) Une diatribe contre le pouvoir et le clergé (diatribe : critique violente) Une piètre image du pouvoir La justice est mise à mal car l’affaire est présentée comme une parodie de procès (champ lexical du théâtre) Le pouvoir est présenté comme omnipotent : dramatique le portrait de Lombardemon : champ lexical du pouvoir écrasé, métaphore qui souligne l’idée de toute puissance Pouvoir manipulateur et corrompu (payé x2) Il manipule

étranger à son propre procès III - L'émotion et le lyrisme Lecture analytique : La plaidoirie de son avocat précède celle du procureur, qui a eu lieu le matin. La première phrase du chapitre suggère déjà une mise à distance, du fait que d'autres parlent de lui. Pour Meursault, les deux plaidoiries ne sont pas très différentes, les deux plaidoiries sont proches mais sont tranchées par l'avis du procureur, l'avocat général. On a l'impression qu'il se sent étranger à son procès (« taisez-vous .

21-23). 2. La critique du monarque Dénonciation de la vanité royale : « nous » de majesté ; tutoiement méprisant à l’égard du cerf ; usage de l’alexandrin dans le discours du roi. Dénonciation de la tyrannie royale : usage de l’impératif ; parodie de procès. B. Un personnage habile : le cerf 1. L’erreur initiale Franchise excessive (v. 25-28) : ne maîtrise pas les codes du comportement à la Cour. Erreur le condamne à mort. 2. Le cerf, ou comment apprendre de ses erreurs Le cerf adopte le

Opposition entre « moi »/ »je »/ « les nobles » = emploi du pluriel Avarice : enrichissement perso Tyran qui prend toutes les décisions « je » + se fait justice lui-même =parodie de cour de justice royale Nobles ne sont accusables de rien mais n’ont pas le temps de se défendre Ubu avait décidé de l’exécution collective dès le départ (l1) = procès expéditif Politique stupide car suppression de potentiels alliés + appauvrissement royaume → aspect critique de la pièce Conclusion : Il s’agit d’un roi burlesque

la comédie -image des courtisans en pantins b-La critique du monarque vanité royale: -«nous» de majesté -tutoiement méprisant à l’égard du cerf -usage de l’alexandrin dans le discours du roi tyrannie royale: -usage de l’impératif -parodie de procès B-Un personnage habile: le cerf a-L’erreur initiale -franchise excessive -ne maîtrise pas les codes du comportement à la Cour (erreur le condamne à mort) b-Comment apprendre de ses erreurs -il adopte le langage des courtisans: fait

Meursault et la première partie se termine par le meurtre de l'Arabe commis par Meursault. Les 4 premiers chapitres de la seconde partie sont consacrés aux 11 mois qui séparent son arrestation et sa condamnation à mort. Les chapitres 3 et 4 relatent le procès : l'audition des témoins, le réquisitoire du procureur, le plaidoyer de l'avocat de meursault et la sentence. L'avocat de Meursault répond au réquisitoire de l'avocat général qui voit en meursault un monstre d'insensibilité, dangereux pour la société

ZIDAT Gena 1°5 Parcours de lecture « Sur les aventures que je n’ai pas eues », Lucien de Samosate1 / Lire avant le roman la page sur la vie de Lucien et se renseigner de façon plus complète. Lucien de Samosate, né en Syrie, vers 120 apr. J.-C, était un sophiste et ironique philosophe et comme le spécialiste de la rhétorique. Destiné à devenir sculpteur comme son oncle, il a été envoyé dans l'atelier de ce dernier pour faire son apprentissage, il fut vite dégoûté, il commit des maladresses et

consacre plus de quatre scènes au procès qui oppose Figaro à Marceline (scènes 12,13,14,15, et une partie de la scène 16), ce qui peut paraître disproportionné par rapport à son enjeu. Certes, ce procès nous est annoncé dés le début de l'acte I et nous savons combien il importe à Marceline de le gagner pour pouvoir épouser Figaro. Par ailleurs, il devient un moyen pour le comte de ruiner les espoirs de mariage entre Figaro et Suzanne. Mais le déroulement même du procès et sa mise en scène cachent mal

Kragler, artilleur porté disparu, revient pour trouver sa fiancée enceinte, il songe à écouter l’appel des tambours de la révolution mais reste finalement au chaud, dans le lit, « porc parmi les porcs ». Avec « Homme pour homme », Brecht passe à la parodie : un paisible commissionnaire, Galy Gay, rencontre son destin incarné par l’armée des Indes. En vingt-quatre heures, cet homme tranquille se métamorphose en soldat colonisateur et en brute sanguinaire. La transformation a lieu dans le bar de la veuve

Açokas et autres fleurs exotiques, v.45 ; etc. Comme Rimbaud dans la lettre à Demeny du 15 mai 1871, mais sans les nommer, en se contentant de les dénoncer au lecteur par le jeu des allusions impertinentes, de la parodie, de la dérision scatologique (v. 39-40, 48, 79, 96), il fait le procès des "premiers romantiques" (Lamartine, par exemple, aux v.1, 96) et même des "seconds" (Leconte de Lisle, et surtout Banville). Mais si Rimbaud et Bava ne font qu'un, on s'en doute, lorsqu'il s'agit de porter