Une Parodie Du Procès

les copies qui ont mérité des notes excellentes (ou presque), deux ont fait preuve d’une hardiesse qu’il faut saluer. L’une a examiné le texte sous la forme d’un dialogue philosophique tout en nuances. L’autre, dans le cadre d’un pastiche, d’une parodie des rapports de jury des années précédentes, a fustigé les erreurs d’interprétation – savoureuse anticipation du présent rapport. Mais que les candidats n’aillent surtout pas se méprendre ! Nous n’attendons pas d’eux d’acrobatiques exploits mais

maintien ; puis, soutenu par Clark, il harangue les marchands de choux-fleurs de Chicago, dans un discours qui conjugue démagogie et intimidations. Un marchand qui tente de contester les affirmations d’Arturo voit ses entrepôts brûlés. Au terme d’une parodie de procès, dominé par la violence des hommes de Ui, c’est un innocent, drogué par un médecin comparse, qui sera condamné. Hindsborough est mourant. Gori et Gobbola, lieutenants de Ui, rédigent un faux testament au terme duquel le pouvoir sur Chicago sera

Vaubricourt. « C’est la nuit dehors. » « On aperçoit les femmes à contre-jour. » Par déduction, l’action se déroule du soir tard jusqu’à l’aube. Les anciennes victimes de Don Juan, cinq femmes que tout opposes, se réunissent pour instruire son procès et veulent l’obliger à épouser la dernière de ses conquêtes Angélique. L’auteur remet en question la règle des trois unités car il fait des retours en arrières. L’effet de théâtre dans le théâtre s’appelle une mise en abyme. B) Les personnages

convention a artifice = non naturel, être culture qui doit inventer sa vie social (langue, coutume, fiction juridique…) c) Paroles et intérêts communs Capacité à discuter/échanger des signes PB : qu’est ce qui garantit le respect des conventions ? (procès, contrat…) CSQ : un pouvoir est NECESSAIRE s’il y a des convention. BUT : tenir le respect, PUNIR , CHATIER II) Personne naturel / Personne artificielle • NATURELLE = immédiatement responsable des ces fait et geste Elle parle en son

Introduction :· “Animaux malades de la peste” · Jean de la Fontaine· 1678· dénoncer l’hypocrisie et l’injustice dans la société du XVIIème siècle· 1er mouvement (l.1-14) mise en scène du récit, présentation· 2ème mouvement (l.15-48) "expiation" des péchés des prédateurs· 3ème mouvement (l.49-62) condamnation de l'Âne· 4ème mouvement (l.63-64) morale 1er mouvement :· proposition subordonnée relative en que (l.2–3), “que le ciel en sa fureur inventa pour punir les crimes de la Terre”, ici la subordonnée

dans « le curé et la mort » de La fontaine. Le fabuliste reprend Jean Chouart (qui désigne chez Rabelais le sexe de Panurge) pour désigner le curé. La limite de l’intertextualité, c’est le plagiat, notion relativement récente (une romancière fait un procès à une autre pour reprise du thème, elle a été déboutée). Jusqu’au XIXème la littérature est considéré comme un immense réservoir, cela ne choque personne du moment où l’on adapte et l’on retransforme (idem en musique, Mozart reprend dans un concerto

(Problématique) Cette scène du procès ouvre le 4ème chapitre de la 2nd partie, Nous verrons comment Meursault incarne le personnage de l’absurde à travers son indifférence à son propre procès et son comportement en rupture avec la morale conventionnelle, Nous examinerons ensuite, en quoi le personnage sert la philosophie camusienne permettant ainsi à l’auteur de dresser une critique de la justice. I- Meursault, étranger à son propre procès Tout l’extrait du procès est raconté au point de vu interne

corrigés. Les auteurs, pressés par le temps, se contentaient d’écrire à la hâte les changements dans les interlignes, dans la marge, ou sur une feuille blanche qu’ils venaient glisser par-dessus le texte original. Après la lecture de la pièce, un procès verbal était rédiger par le censeur et cosigné par un de ses collègues. D’un point de vue politique, le premier souci des censeurs de se trop nouveau régime était de défendre « la nouvelle monarchie, le personne du roi, et le respect qui leur était

l’œil du cyclone de Vichy. Philippe Henriot, ministre de l'Information, réclame la condamnation à mort du "Juif Jean Zay". Le tribunal militaire le condamne pour "désertion" à la déportation perpétuelle et à la dégradation militaire, après une parodie de procès. Il croupit près de quatre ans en prison à Marseille puis à Riom, continuant à travailler sur les réformes qui lui tiennent à cœur, confiant dans la résurrection de la France. "Je n'ai jamais été si sûr de mon destin et de ma route. J'ai le

Condamnation injuste. Hyperbole + point d’exclamation v60 - Allitération en ca v59. Les courtisans déforment la réalité et transforment une faute mineure en un terrible crime. « une pécadille fut jugée un cas pendable » - La Fontaine met en scène une parodie de procès. - Les deux derniers vers sont la morale. Blanc =innocent =puissant =/= noir = misérable = coupable double antithèse « blanc noir innocent ou coupable » -Satire ironique de la cour dont La Fontaine donne une mauvaise image : la force règne sur