Union des démocrates et indépendants - Union centriste

parti de France (en même pas un an). Comment faire en sorte de diminuer le pouvoir/poids (?) des extrêmes, et augmenter le poids des partis centristes : SFIO, UDSR (union démocratique et socialiste de la résistance, parti de Mitterrand, membre gouvernement jusque 1958, longévité politique extraordinaire), MRP, les radicaux, le CNI (Centre National des Indépendants). Hommes politiques IVe République ont inquiets avec le PCF qui s'appuie sur un syndicat anti-système, révolutionnaire, il y a dans les mines

freiner pour éviter qu’il se présente aux élections. Au sein du PS on va donc privilégier un MRP à un socialiste. Dans le MRP a la tête du conseil de Robert Schuman. Il nomme essentiellement des ministres du MRP ; 8 socialiste ; 6 radicaux ; 2 indépendants. Le gouvernement bascule sur le centre droit. Guy Mollet = faire tomber Schuman. Cet objectif doit faire tomber le gouvernement. Donc Schuman sait qu’il va être attaqué par le PS car sa politique pas assez à gauche et va (grâce au grève) nommé

contre-pouvoir actif I) Qu'est-ce que l'UMP ? 1) L'histoire de l'UMP : entre unité politique et déclin électoral « L'UMP répond à une exigence d'unité entre les familles de la droite et du centre : gaulliste, démocrate-chrétienne, libérale, radicale, sociale et indépendante. Ce qui rassemble ces sensibilités est plus fort que ce qui les distingue. »Extrait de du site officiel de l'UMP : http://www.u-m-p.org/notre-parti/nos-valeurs Conçue à l'origine – sous les noms d'Union en mouvement puis

des Anciens, supposé en raison de l’âge d’éligibilité plus raisonnable, donc naturellement modérateur des choix de l’autre conseil. L’exécutif est confié à 5 Directeurs, qui désignent les ministres. Quant au pouvoir judiciaire, il est tout à fait indépendant. Après une période de fêtes et de dévoiement pour oublier les tragédies proches, le Directoire doit affronter une réalité complexe. Les nations européennes ne désarment pas, la guerre se poursuit ; à l’intérieur, Jacobins comme Royalistes complotent

vote pour lui, il n’y a alors pas d’indépendance du vote. On note la différence entre la pratique du vote et le droit de vote. B. La construction du vote de conviction = vote d’opinion : 1)Les caractéristiques : Correspond à un vote indépendant. Il n’est pas déterminé par la recherche d’un intérêt particulier. L’électeur recherche l’intérêt général, on dépasse les intérêts catégoriels. Il se fonde aussi sur des idées, doit se détacher des allégeances. Ce vote s’applique en conscience.

Dans le referendum, les Français rejettent massivement la IIIe République et souhaitent que l’Assemblée Nationale élue soit constituante (96% des voix). ➢ Législatives : victoire de la gauche (PCF, SFIO ont la majorité absolue) et du MRP démocrate chrétien juste créé (en 44) : tripartisme. (doc 1 p. 268) Dans l’union : Le GPRF issu de la Résistance extérieure et dirigé par de Gaulle unissait des hommes de diverses tendances. Après les élections de 45, il poursuit en ce sens en admettant

adhère52. En 1949, il est élu conseiller général de la Nièvre dans le canton de Montsauche-les-Settons. Il est réélu en 1955, 1961, 1967, 1973 et 1979. En 1950, René Pleven le nomme ministre de l'outre-mer. Il est partisan de l'instauration d'une union franco-africaine où les territoires d'outre-mer jouiraient d'une autonomie négociée et librement consentie et s'efforce d'améliorer le sort des Africains, encore soumis à un régime très dur. Il est alors traité de « bradeur d'empire » : il s'attire

française de Bizerte et en appelle à l'ONU. Le gouvernement de Félix Gaillard suggère de faire appel à une mission de bons offices anglo-américaine. L'Assemblée désavoue son initiative et le renverse le 15 avril. Pierre Pflimlin, député MRP (chrétien-démocrate) de Strasbourg, est pressenti pour remplacer Félix Gaillard à la présidence du Conseil. Mais il est soupçonné de vouloir négocier un cessez-le-feu avec les rebelles du FLN qui luttent pour l'indépendance de l'Algérie. L'armée française d'Algérie

personnalités importantes de la SFIO. Le programme du parti à la sortie de la guerre est proche de celui du CNR, il est marqué par l'anticommunisme, l'anti-capitalisme et l'anticléricalisme. La SFIO n'arrive pas à s'imposer en parti social-démocrate car il y a un héritage marxiste, d'où une position ambiguë et marquée par les débats de la IIIème République. Il y a des difficultés à accroître. C'est un parti qui contient des collaborateurs, donc il y a épuration nécessaire, car c'est nuisible

La déclaration finale appelait à mettre en place une construction extraordinaire de l'Europe qui prendrait des mesures communes pour redresser l'économie et pour la défense et le maintient des libertés démocratiques, pour la préparation d'une vraie union politique et économique. Cette proposition n'est pas sans évoquer la formation d'un gouvernement de l'Europe, elle appelait à instituer une association européenne délibérante qui serait issue dans un premier temps des parlements nationaux . C'est