Union syndicale des journalistes CFDT

auxquelles les Royalistes obtiennent la Majorité à l'Assemblée Nationale. L’ECRASEMENT SANGLANT D’UNE POTENTIELLE REVOLUTION SOCIAL Le 28 mars 1871 la Commune de Paris est proclamée. Elle est formée d'ouvriers, de journaliers, d'artisans, de journalistes: c'est un Gouvernement local provisoire qui a un programme Républicain et un programme Socialiste. Le 21 mai, les troupes venues de Versailles entrent dans Paris, pendant que les Communards mettent le feu aux Monuments Publics. → semaine sanglante

les changements qui ont eu lieu dans le mouvement syndical international au niveau de ses structures, son action et ses stratégies en réponse aux changements économiques et politiques qui sont intervenus dans les deux dernières décennies et à l’importance croissante des entreprises multinationales. La réflexion de l’auteur se focalise notamment sur l’émergence d’accords-cadres internationaux (ACI) en tant que nouveaux instruments de l’action syndicale au plan international. Le document contient ainsi

ouvriers. Le développement des mouvements ouvriers Les mouvements de revendication sont à lire à l’intérieur d’une tendance de fond de l’économie: du libéralisme à la concentration (fin XIX°). I) Angleterre Il existait des organisations syndicales bien avant la Révolution Industrielle. Il existait même des systèmes de protection qu’une loi en 1815 a supprimés. Les premières organisations débutèrent 50 ans avant le système manufacturier, elles regroupaient les travailleurs à la main (pas les

joue un grand rôle Ambroise Croizat ministre du Travail déclare que la sécurité sociale est née de la terrible épreuve que nous venons de traverser Con ue dans le cadre du pro gramme du Conseil national de la Résistance initiée par un gouvernement union nationale la sécurité sociale se trouve investie des valeurs attachées historique et les graphiques de Walter Korpi retracent cette évolution Pour une analyse des étapes législatives et conventionnelles de cette extension dans la diversité voir par

être exacte. C'est-à-dire qu’elle ne doit pas dissimuler une autre cause qui serait illégale. Par exemple, un employeur licencie un salarié pour ses mauvais résultats, alors qu’en réalité il s’avère qu’il le licencie en raison de son appartenance syndicale par exemple. b. La cause doit être sérieuse Une cause sérieuse est une cause revêtant une certaine gravité qui rend impossible sans dommage pour l’entreprise la continuation du travail et qui rend nécessaire le licenciement. Il y a deux types

représentants. Ces représentants doivent être des représentants directs c'est-à-dire qu’ils sont élus par les salariés pour une période de 4 ans (délégué du personnel, CE, CHSCT). Cela peut être aussi des représentants indirects notamment les représentants syndicaux (représentation des salariés, négociation des conventions et accords collectifs). Le droit des relations collectives tend vers 2 objectifs : La défense des droits collectifs et individuels des salariés c’est le cas des représentants élus et non

analysant les aléas d’une étude de terrain et les réactions des élus syndicaux à la base. Ce syndicat a organisé en 1997 un colloque sur les discriminations à l’emploi et souhaite monter un observatoire national sur la discrimination ethnique dans le monde du travail. De son côté, la CFDT a commandité une étude qui a donné lieu a un rapport et un livre dont les médias se sont faits largement l’écho 3. D’autres organisations syndicales prennent en compte cette question en tant que telle. Il semble que

sociales sont prises parce qu'à l'époque le climat politique était favorable. En Europe, on a un certain nombre d'auteurs reconnus qui ont des idées sociales et qui n'hésitent à se faire entendre (Marx, Proudhon, etc.). On a également une pression syndicale qui existe, malgré l'interdiction de coalition. Les personnes se sont regroupées pour former des syndicats en secret. Enfin, c'est également à cette époque que l'on passe au suffrage universel. Ce climat sociologique, productif, littéraire, facilitent

première fois : la liberté syndicale. I. La liberté syndicale : Alinéa 6 du préambule de la constitution de 1946, qui garantie la liberté syndicale de la façon suivante : « tout homme peut défendre ses droits et ses intérêts, par l’action syndicale et adhérer au syndicat de son choix ». La liberté syndical est donc un droit fondamental, un droit humain, on ne parle par de tout travailleur mais bien de tout homme. De plus il a le droit d’adhérer positivement à la liberté syndical : on ne peut pas y être

éthique pour le monde des affaires?, entretien avec Philip Jennings 33 La RSE en Europe: une chance pour le dialogue social?, par Anne Renaut 37 Force et faiblesses du label social belge, par Bruno Melckmans 43 Audit social, liberté syndicale et droit de négociation collective, par Philip Hunter et Michael Urminsky 49 Rapports publics d’entreprises sur l’impact social de leurs activités, par Michael Urminsky 57 Les conventions de l’OIT, «référence majeure» pour la notation