Université de Pise

retour du héros sur son lieu d’origine alors que cette éventualité a été envisagée par l’oncle Mogadem et Idriss lors de la visite de ce dernier, juste avant son départ (« Ils imaginaient Idriss […] revenu enfin à son point de départ sur ce banc de pisé. Extérieurement il serait sans doute semblable aux vieux oasiens dont les yeux ensommeillés […]. Mais, lui, il aurait des yeux pour voir, aiguisés par la mer et la grande ville, et éclairés de sagesse silencieuse ») (p. 59) : Idriss reste à Paris.

Flyvbjerg fera la démonstration qu’historiquement, un seul cas pourra être nécessaire pour infirmer une théorie. Ainsi, il donnera l’exemple, historiquement célèbre, de Galliée qui fera tomber deux roches de grosseur différentes du haut de la tour de Pise. Cette expérience, à elle seule, forcera les scientifiques à re-considérer le modèle d’Aristote qui présupposait que des objets de poids différents allaient choir à des vitesses différentes pour autant qu’ils aient la même forme(Flyvbjerg, 2006). Évidemment

choix, comme dirait Musset. Et en tant que ministre de l’éducation du royaume de Prusse, en 1809-1810, il veut introduire dans le système scolaire les idées novatrices du pédagogue suisse Pestalozzi. Il fonde la nouvelle université de Berlin, en 1810, et autour de cette université, s’est développée une autre branche du romantisme allemand, marqué par la personnalité d’Hoffmann (celui des contes fantastiques) (alors qu’au même moment Napoléon faisait saisir à Paris « De l’Allemagne » de Mme de Staël)

Samouraï : le défi japonais, (1991, Calmann-Lévy/Essai), Prix Albert Costa de Beauregard-Économie 1992 ; et de Les Conquérants du cybermonde (1995, Calmann-Lévy). Roberto Di Cosmo est diplômé de la Scuola Normale Superiore de Pise et a soutenu sa thèse de doctorat à l'université de Pise avant de devenir maître de conférences en informatique à l’École normale supérieure de Paris. Il milite depuis plusieurs années pour le logiciel libre. 7 À Delia, qui m’accompagne et me soutient dans cette nouvelle

aidé dans ses tâches par ses jeunes frères. L'unité, qui s'étale sur une superficie de 7 hectares, ne comporte ni hangar, ni bâtiment de ferme. C'est à la mechta, située à 500 mètres de ces terres, que la famille habite dans une maison en toub (pisé) de deux pièces, recouverte de chaume. Or, M.M. n'est pas de ceux qui rechignent, il est résigné à sa situation qui, pour lui, " n'est pas aussi mauvaise que celle de certains ". M.M. a acquis sa motopompe sur fonds-propres, mais le forage du puits

prélats font tout pour obtenir la faveur d’Erasme : l’Empereur Charles Quint , le maître des deux mondes, lui offre une place dans son Conseil, Henry VIII voudrait l’attirer en Angleterre, Ferdinand d’Autriche à Vienne, François Ier à Paris […] cinq universités se disputent l’honneur de lui offrir une chaire, trois papes lui écrivent des lettres pleines de déférence […], tout l’incite, tout l’invite à venir grandir de sa propre gloire, celle des autres […] Il n’entre au service de personne ; il est le

barons près du royaume consentent à la loi royale pour que cette loi s’applique partout. A partir de ce moment-là, le roi est soutenu par des techniciens, spécialistes du droit = les légistes= conseillers qui ont fait leur études de droit dans les universités et qui ont étudié le droit romain. Du droit romain nos légistes ont tiré une règle romaine qu’ils ont puisé chez l’un des 5 juristes romains, Ulpien «  quod principis placuit ad vigorem » ce qui plait au prince a force de loi, à partir du 14e siècle

effectué à Tolède et dans quatre villes en Italie (Rome, Pise, Venise, Palerme, voir par exemple Al Idrissi dans cette dernière ville), s'appuyant aussi sur les écrits philosophiques grecs (Platon, Aristote), eux aussi transmis par les arabo-musulmans (sauf Platon qui n'avait pas été perdu). La diffusion progressive de ces connaissances au XIIe siècle dans tout l'occident aboutit à leur intégration par Albert le Grand dans les universités alors en création : Bologne, Paris (Sorbonne), Oxford, Salamanque

effectué à Tolède et dans quatre villes en Italie (Rome, Pise, Venise, Palerme, voir par exemple Al Idrissi dans cette dernière ville), s'appuyant aussi sur les écrits philosophiques grecs (Platon, Aristote), eux aussi transmis par les Arabo-musulmans (sauf Platon qui n'avait pas été perdu)12. La diffusion progressive de ces connaissances au xiie siècle dans tout l'Occident aboutit à leur intégration par Albert le Grand dans les universités alors en création : Bologne, Paris (Sorbonne), Oxford, Salamanque

temps. Jusqu’au 11ème siècle l’Italie orientale n’avait connu que quelques manuscrits du Code et des Institutes. La bombe est la redécouverte du Digeste. A partir de la première moitié du 11ème siècle, la ville de Pise a un manuscrit du Digeste. Ce manuscrit sera conservé à Pise. Ce manuscrit s’appelle encore la Florentine pour indiquer qu’il s’agit de la copie du Digeste conservé par la suite à Florence. On sait que ce manuscrit est pratiquement contemporain à la création du Digeste. Il s’agit