Utilité Du Beau

Même si dans les faits il s'avère qu'une œuvre est utile, ce n'est pas cette utilité qui fait d'elle une œuvre d'art.- Selon Kant, est utile ce qui est « bon pour quelque chose, ce qui plaît seulement comme moyen »; l'originalité de l'œuvre d'art est qu'elle plaît en elle-même indépendamment de l'utilité (ou de l'inutilité) qui est par ailleurs la sienne.- Je peux, par exemple, face à un palais, considérer que son utilité est fort discutable et pester « à la manière de Rousseau contre la vanité des

l'art sort de la banalité. Néanmoins un objet quelconque n'est pas forcément dépourvu d'originalité. Dans notre société l'œuvre d'art est perçue comme inutile. Est-ce là le propre de celle-ci? L'objet quelconque et l'œuvre d'art n'ont pas la même utilité mais cela veut-il dire que l'œuvre d'art n'en a pas? Néanmoins certaines oeuvres atteignent des prix exorbitants. Pour quelles raisons? Qu'est ce qui rend l'œuvre d'art plus précieuse qu'un simple objet? Pourquoi l'œuvre d'art semble inutile mais

que dans le domaine des arts ou de la nature. Cependant doit-on penser que le beau n’est pas nécessairement utile ? Ou, à l’instar de l’auteur penser que l’utile et le beau vont de pair ? Ou bien, la beauté et l’utilité étant deux notions relatives ne pouvons-nous pas penser que chacun peut avoir une opinion différente sur le sujet ? En premier lieu, il est certain que la beauté n’est pas nécessairement une utilité.

suivante : la beauté est définie selon les intérêts de chacun. C'est le plaisir qu'il procure qui rend un objet beau ou au contraire ce qu'il évoque de douloureux qui le rend laid.L'auteur va plus loin en citant plusieurs exemples pris à partir d'objets courants, et même utilitaires (maison,cheval,vaisseau,champs) On se demande alors si selon D.Hume, un objet doit être utile pour être beau et si c'est l'intérêt que son propriétaire à pour lui qui lui confère sa beauté Après avoir repris la thèse de

contexte, la poésie fait rêver. Cette étude se compose d'une introduction, d'une partie qui démontre une certaine utilité à la poésie et une partie qui montre que ce n'est pas son but profond. Théophile Gautier,écrivain faisant partie du courant Le Parnasse est un adepte des poèmes sans évocations des sentiments et de ''lart pour l'art ''.Il pense ''qu'il n'y a de vraiment beau ce qui ne peux servir à rien '',en outre, nous allons voir si une poésie peut être belle et servir à quelque chose.dans

Français : Dissertation Sujet : « Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ! » Théophile Gauthier affirme dans la préface d'un de ses roman « Mademoiselle de Maupin » que l'art est beau mais que celui-ci ne sert à rien mais, ensuite, il dit que le superflu lui est nécessaire. C'est donc là qu'il brouille les pistes. Si ce superflu est nécessaire, il est donc utile et répond à un besoin. Le besoin auquel il répond n'est pas matériel et physique, mais imaginaire et spirituel

l’art, d’abord l’art fait appelle au beau, le beau on le retrouve de voire une œuvre mais aussi bien d’entendre la beauté d’un vers de poésie. Comme nous dits Kant «  Est beau ce qui plait universellement sans concept ». Mais dès que l’art trouve une utilité cela devint du design comme les bijoux technologique qui sont les Smartphones qui sont présenté comme une œuvre d’art mais or cela on une utilité donc c’est du design. L’importance de l’art à trouver son utilité tout d’abord par sa beauté esthétique

Finalité = Alors que l'objet technique a pour finalité d'être utile et vaut d'abord par son utilité (il a sa fin hors de soi) au contraire, l'objet beau a pour finalité de plaire par sa forme, il a sa fin en soi. (L'art exclut le désir) Génie = C'est un don de la nature qui procure la possibilité de produire une oeuvre belle. On insiste actuellement sur l'originalité: c'est une certaine  manière de voir, nouvelle, accompagnée d'une capacité de réalisation. C'est plus vécu que connu, au point que

désignait de nombreuses choses comme l’art de la médecine ou encore l’art du potier. Mais au XVIIIe siècle, on sépare le beau (artiste) de l’utile (artisan) grâce à la création des Beaux-Arts qui sont : la sculpture, la peinture, la poésie, la musique, la danse, l’architecture et le cinéma. Cette institution a pour but de différencier l’art qui vise le beau de l’art qui vise l’utile. Le beau, c’est ce qui provoque un sentiment esthétique, ce qui correspond à la perfection en son genre et qui obéit à certaines

l'expression de l'absolu. Enjeu polémique. On a tendance à ne voir dans les œuvres d'art qu'un objet de divertissement, devant lesquelles on se délasse, ou de contemplation muette, de plaisir sensible pur duquel il n'y a rien d'autre à dire que « c'est beau ! ». C'est contre ces deux préjugés, l'un utilitariste, l'autre esthétique, que s'insurge Hegel dans notre extrait. Enjeu philosophique. En redonnant sa dignité à l'art, Hegel constitue le domaine de la culture (art, religion, histoire) qui, d'un