Valet de cœur

Introduction A Turin, Rousseau devient valet au service du comte de Gouvon. Il est secrètement amoureux de Mlle de Breil, la petite-fille du comte. Mais la distance sociale l’empêche de faire connaître ses sentiments. Or une occasion se présente pour lui, de faire valoir son mérite : c’est au cours d’un grand dîner. Ier axe de lecture : Un moment privilégié pour le valet Rousseau La progression du texte Le 1er § présente les circonstances qui permettront au jeune Rousseau de briller en société

: Alice, le Valet-Poisson, un Valet-Grenouille, la Duchesse, la Cuisinière, le Bébé, le Chat de Chester Lieux de l’action : la maison de la Duchesse Résumé : Alice hésite à s’approcher lorsqu’un valet à tête de poisson frappe à la porte qui est ouverte par un valet à tête de grenouille. Le premier apporte une invitation à une partie de croquet de la part de la Reine à l’attention de la Duchesse. Après le départ du Valet-Poisson, Alice s’enhardit et frappe à la porte. Le Valet-Poisson lui

et explique que pour que chaque carte, d’un jeu de 52, ait pu rentrer dans un carré du tableau, il a fallu en mettre 5 dans la rangé du milieu La fonction symbolique des cartes se retrouve dans les couleurs et dans les figures (dames, rois et valets). Les couleurs : le rouge et le noir. Dans son analyse faite sur Stendhal dans « Fantaisie chromatique à propos de Stendhal » dans Les Cahiers du temps, 21, Michel Butor suggère que ses œuvres sont structurées autour de 2 couleurs principales, le

dernière scène de la pièce. C’est donc le dénouement de cette dernière. La Reine ayant découvert la machination de Don Salluste, pense que Ruy blas la trahit en se faisant passer pour Don César. Elle ne veut en aucun le pardonner ce qui va conduire le valet Ruy Blas à la mort. Tout d’abord, il va être traité l’évolution des sentiments de la Reine pour Ruy Blas puis dans un second temps le caractère pathétique de la scène. En premier lieu, l’évolution des sentiments dans la scène est remarquable. Effectivement

d’accord avec mon coeur»), Don Juan justifie l’hypocrisie : elle «est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour vertus. Le personnage d’homme de bien est le meilleur de tous les personnages qu’on puisse jouer aujourd’hui […] l’hypocrisie est un vice privilégié qui, de sa main, ferme la bouche à tout le monde […]» Il devient alors le porte-parole de Molière, auteur qui, comme dans la comédie antique, s'adresse aux spectateurs, plus qu’il s’adresse à son valet trop simple pour

éléments de la dramaturgie italienne (travestissement, mensonges, parodie...) soutiennent la construction de la plupart des comédies de Marivaux : presque toutes les pièces montrent un ou plusieurs déguisements, soit qu'un état civil s'y cache, soit qu'un cœur s'y dérobe. Marivaux écrit pour les Comédiens-Italiens, et s'adapte aussi bien aux fantaisies d'Arlequin qu'à la poésie un peu irréelle de Silvia. Et il crée pour eux des personnages romanesques comme l'ingénieuse Léonide du Triomphe de l'Amour, la

sociale et un regard de moraliste sur l’homme. Marivaux y renouvelle le canevas et les lazzis de la commedia dell’arte pour faire réfléchir les spectateurs à de nouveaux rapports sociaux au moyen de l’utopie. Réutilisant le couple traditionnel maître-valet, Marivaux se livre à deux exercices concomitants : le laboratoire utopique et la comédie de mœurs. Il joue également sur deux registres, le comique et le pathétique. Ces dualités assumées donnent à la pièce son caractère onirique qui permet de mieux

(1735) et La vie de Marianne (dont la réécriture dure jusqu’en 1741). Tous les deux sont écrits à la première personne et racontent les aventures de jeunesse d’un héros et mêlent au récit une analyse très subtile du cœur humain. En 1742 élection à l’académie française. Il meurt en 1763.Contexte : La première représentation des fausses confidences eut lieu le 16 mars 1737 à l’hôtel de Bourgogne (Théâtre-Italien). Le premier titre était La fausse confidence.

scène 10 de cet acte, une querelle éclate au grand jour entre Dubois le stratège de la pièce et Arlequin, un valet de la même maison au sujet d'un portrait d'Araminte accroché dans les appartements de Dorante. Dubois, en serviteur « zélé » d'Araminte veut le décrocher au prétexte qu'il est indécent mais Arlequin en serviteur zélé de Dorante s'y oppose car : « il le contemple de tout son cœur ». A ce stade de la pièce, la majeure partie des personnages sont au courant de l'amour que porte Dorante

A- Une "leçon" sociale ambiguë: A1 - Le travestissement entre maîtres et valets répond à la volonté de faire coïncider l'identité sociale et ce que dicte l'union des cœurs (1), c'est-à-dire de soumettre l'exigence sociale à l'épreuve de la "nature", sans laquelle rien n'est vrai, ni solide : c'est ici la démarche d'Orgon, véritable ordonnateur de la comédie. Le texte se fonde sur des valeurs qui seront reprises au cours du siècle (cf Diderot, Rousseau, en particulier). Tout se terminera finalement