Valeur Constitutionnelle De La Ddhc

Droit a un Tribunal indépendant et impartial sur le fondement de l'Article 16 de la DDHC. - Délais raisonnable: - Décision 80 - 127 DC du 20 janvier 1981: le Conseil reconnait l'exigence de délais raisonnable sans pour autant le rattacher à un principe constitutionnel propre et autonome. - Décision 98 - 408 DC du 22 janvier 1999 / Traité sur la CPI : Plus tard le Conseil a consacré l'exigence constitutionnelle d'une procédure juste et équitable dans laquelle va précisément s'intégrer le droit

elle est toutefois limitée (II). I. L'EXISTENCE DE LA LIBERTE CONTRACTUELLE DES PERSONNES PUBLIQUES. L'existence de la liberté contractuelle des personnes publiques a souvent été débattue. Toutefois, elle est aujourd'hui reconnue même si sa valeur juridique n'est pas encore clairement identifiée. A. La reconnaissance de la liberté contractuelle des personnes publiques. Il existe de nombreuses théories qui disent que les personnes publiques ne disposent pas de la liberté contractuelle

l’édifice des droits de l’homme. Certains pays fêtent même les anniversaires des grands textes : DDHC 1789, Déclaration Universelle DHC 1948, CEDH 1950… Pour parvenir à ces textes, il a fallu une longue maturation. De l’idée de liberté à sa concrétisation juridique, le passage est long et compliqué. Une organisation juridique doit prévoir un contrôle juridictionnel, doté d’éventuelles sanctions. DDHC, 1ère phrase : « les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits ». A cette époque, ce

permet d’assurer l’État de droit et son maintient. C’est donc un principe qui est encadré, il l’est d’une part par les textes, qui vont poser la suprématie des normes constitutionnelles mais également délimité le domaine de la loi et du règlement (art 34 et 37) mais également encadré par le juge, en l’occurrence le juge constitutionnel mais parfois le juge administratif ordinaire. Cependant malgré la mise en place théorique de cette hiérarchie, la pratique sera différente, et les entorses seront nombreuses

DROIT CONSTITUTIONNEL Introduction : Droit = ens de normes, d’acte juridique,( droit et lois pas synonyme) ; droit=concept connoter, non neutre/loi=œuvre de parlement. Une loi n’est pas l’œuvre du gouvernement, mais le gouvernement, l’exécutif est à l’origine des lois contemporain, il propose des textes qui vont être discutés et amender par le Parlement. L’exécutif = acteur essentielle pour la loi, il va exécuter la loi, l’appliquer. Le gouvernement n’est pas législateur mais le Parlement est le

QPC doit être connue de lui, rentre dans cette obligation au même titre que le droit européen. Déf : possibilité pr tout justiciable de contester dans un procès la conformité d’une loi à la constitution mais uniquement aux droits et libertés constitutionnelles. Ce contrôle ne doit pas être confondue avec le contrôle de conventionalité des lois (cf Nicolo et Jacques Vabres : contrôle de la loi par rapport aux traités) Ce contrôle est une révolution juridique, car depuis entrée en vigueur, un juge

Droit constitutionnel 2010 ­­­­­­­­­ Corrigé de la première colle ­ «   Vous croisez alors le parlementaire George Prêche, en plein échange avec le ministre Brice  Portefeux, au sujet de sa proposition de loi » ( ­bonus­ ) Différence entre les projets qui émane de l'exécutif et les propositions d'initiative parlementaire ­ « Ainsi Prêche soutient qu'il n'existe pas de principes, dans le corps même de la Constitution de  1958, seul texte invocable dans le cadre du contrôle de constitutionnalité

cette année . En lance les grand principes fondateur de l’État moderne Chapitre 1/ La révolution et les principes fondateur de l’État moderne Ces principes son divisé en deux étapes : 17 juin 1789 :création de l'assemblé 26 août 1789:DDHC Section 1 / La proclamation de l'assemblé national Cette proclamation va consacré la naissance politique de la nation, car les état généraux se qualifie assemblé national hors que sous l'ancien régime ils s’étaient une assemblé de conseil

existe un conseil constitutionnel qui contrôle la conformité des lois à la constitution. Le contrôle est facultatif pour les ordinaires mais obligatoires pour les lois organiques, mais depuis que la saisine du conseil a été ouverte par de simples parlementaires en 1974, il s’exerce de manière fréquente. La loi est toujours censée exprimer la volonté générale mais seulement dans la mesure où elle respecte la constitution. Pour appliquer la constitution, le conseil constitutionnel doit d’abord s’en

le droit administratif et le droit constitutionnel est floue. Le droit administratif parait en dessous du droit constitutionnel MAIS il existe des zones d’interaction comme le Gvt : il est une autorité de droit constitutionnel car il a le pouvoir exécutif mais aussi une autorité de droit administratif in article 20 de la constitution. Le doyen Vedel a créé la théorie des bases constitutionnelles du droit administratif qui n’est pas autonome / droit constitutionnel mais plutôt en découle. Exemples :