Valeur Et Répartition Chez Les Néoclassique

d'étude : l'économie du travail d'une part, la gestion des ressources humaines d'autre part. Cette partie des sciences économiques que l'on appelle économie du travail est essentiellement constituée par l'application de la théorie microéconomique néoclassique au fonctionnement des marchés du travail. Les comportements des agents sur ces marchés sont donc supposés être des comportements de maximisation, du profit pour les entreprises, de l'utilité pour les travailleurs et le prix du travail, c’est-à-dire

remettre à sa façon de gérer les diverses facettes de son existence (individuelle, familiale et sociale…). Le principe du savoir vrai est le gage d’un esprit sain, éclairé et d’une liberté assumée. Le développement, l'épanouissement ne sont pas innés chez l'homme. Ils s'acquièrent par l'éducation et l'intégration sociale. Tout progrès en ce sens a des répercussions positives sur les domaines économique et social, ainsi que sur la qualité de la citoyenneté responsable. En effet, le chemin à faire est

Le débat sur la répartition du revenu dispo’ entre la conso’ et l’épargne, ce débat oppose traditionnellement les éco’ néoclassiques qui insistent sur la primauté de l’épargne, le rôle fondamental du taux d’intérêt comme prix d’arbitrage entre conso’ et épargne. Et puis les éco’ Keynésien qui sont beaucoup plus sensibles au rôle de la conso’ dans le soutien à l’activité économique. Mercredi 29 Septembre 2010. Première partie : Les précurseurs. 1.1 Les néoclassiques, les économistes

L’entreprise est une combinaison de ressources (capital, travail, matières…). * L’entreprise répond à une demande solvable sur le marché. * L’entreprise satisfait des besoins conscients ou non chez l’acheteur ( analyse des besoins du marché). * L’entreprise crée de la richesse, de la valeur ajoutée. * L’entreprise répartie pour redistribuer aux agents économiques : -aux salariés = salaires - aux propriétaires = actions et rémunérations - à l’Etat = taxes, impôts * L’entreprise

cela en demande et en offre agrégée. Il faut favoriser la circulation, le commerce. Dans une économie de troc, la circulation est la réponse. Dans l’économie de monnaie, celle-ci n’est qu’un voile. Le déséquilibre vient de la quantité et non de la valeur. Comme réponse, il faut que le coût agrégée des productions soit égal aux revenus des facteurs de productions (salaire w = p x y). Pour qu’une économie fonctionne il faut que l’offre = la demande. Double conditions, les bonnes finances de l’entreprise

Chapitre I : Les différentes approches de l’entreprise Section 1 : Les approches traditionnelles : apports et limites L’école classique I. L’école des relations humaines L’école néoclassique ou empirique L’école de la gestion par les systèmes Les approches sociologiques Section 2 : Les approche les plus récentes de l’entreprise La théorie des coûts de transaction

de la mondialisation », Poitiers 14-15 mai 2009. RESUME Ce travail analyse la pensée de François Perroux, l’économiste français le plus original et le plus fécond du XXème siècle, en matière de développement. Partant d’une critique des théories néoclassique, keynésienne et marxiste, Perroux propose sa vision dynamique de l’équilibre général des unités actives. Cette vision est particulièrement bien adaptée à l’analyse des pays sous-développés qu’il entame dans les années cinquante avec ses « Trois

sur la nature fondamentalement rythmée du capitalisme. Schumpeter définit le capitalisme par trois aspects : - propriété privée des moyens de production (comme chez Marx) - mise en œuvre d’innovations par des entrepreneurs qui prennent des risques - possibilité d’emprunter le capital (économie d’endettement, comme chez Keynes). L’évolution résulte de ce qui s’oppose à la routine : l’innovation, définie comme « l’exécution de nouvelles combinaisons ». Par innovation, Schumpeter entend

ressources ressources besoins Il n’y a pas assez de ressource sur terre pour satisfaire les besoins L’Economie est la sciences de gestion des ressources rares (l’air n’est pas une ressource rare) De la quantité de ressource disponible dépend la valeur des choses, = leur « utilité » les biens (services ou produits) susceptibles de satisfaire ces besoins sont rares ou relativement rares; on ne les trouve pas gratuitement il faut travailler pour produire des biens; Arnaud Pêtre - 2010 10 5

d’efficacité. Car il s’agit d’une démarche avant tout politique et philosophique. Pourtant, nombre de penseurs se sont efforcés avec plus ou moins de bonheur de montrer que la recherche de l’efficacité en termes d’affectation des ressources et la répartition de celles-ci étaient étroitement liées, l’une influençant l’autre et réciproquement. (voir encadré) Les inégalités observées dans la société peuvent-elles être expliquées par les mérites de chacun, le riche et puissant étant récompensé de son travail