Vallon

cosmopolite, ses belles plages et ses vastes espaces de verdure qui ont inspiré de nombreuses réalisations artistiques internationales. Son territoire abrite des sites touristiques, des paysages variés alternés de baie et de criques, de vallées et vallons, de plaines, de dépressions, de sommets, de falaises favorisant, à partir de certains endroits, des panoramas imprenables sur le détroit, les plages sur la ville elle-même. En plus d'une infrastructure touriistique non négligeable (hôtels classés

passion pour la nature, il est attaché à cette fleur comme il est attaché à ses souvenirs en compagnie de Mme de Warens. Les termes appartenant au vocabulaire de la nature sont également très présents, « soleil », « les bois, les coteaux », »les vallons », « les fruits », ils montrent que l'environnement est harmonieux, mais que les moments sont éphémères et que seule la mémoire les détient et leur donne à nouveau une existence. De plus, le bonheur selon Rousseau réside dans le passé et dans

et, comme si vous évitiez les yeux De l'horizon vaste et superbe, Chercher l'obscur asile et le taillis profond Où passent des rayons qui tremblent et qui font Des taches de soleil sur l'herbe ! Villequier, Caudebec, et tous ces frais vallons, Ne vous entendront plus vous écrier : «Allons, Le vent est bon, la Seine est belle !» Comme ces lieux charmants vont être pleins d'ennui ! Les hardis goëlands ne diront plus : C'est lui! Les fleurs ne diront plus : C'est elle ! Dieu

Pastel / flamboyant Coloré / bigarré Uni / multicolore Rayé / craquelé / dentelé Mat / brillant Poussiéreux Lisse / doux / rugueux Sec / humide Gigantesque / démesuré / envahissant / énorme / proéminent Minuscule / miniature / imperceptible Plat / vallonné Etrange / sublime / magique / enchanteur / terrifiant Carré / rond / triangulaire / ovale / rectangulaire Luxuriant / dense / parsemé Fin / épais Français CCF 1ère situation :

car il est abrité des pluies et des vents d’ouest par l’Ungersberg, une butte-témoin de grès vosgien qui culmine à 901 m, le Muenchberg épouse les courbes d’un croissant pour mieux accueillir et retenir le soleil. Installé de part et d’autre d’un vallon orienté au sud, il bénéficie sur ses 17,70 ha d’un microclimat unique. Le sol et le sous-sol sont formés de sédiments vieux de 250 millions d’années, Ce sont des poudingues, conglomérats et brèches aux éléments souvent altérés : dépôts volcano-détritiques

chrétien et la sorcellerie. Ouvrage général : ARNOULD Colette, Histoire de la sorcellerie, Tallandier, Paris, 2009 Ouvrages spécialisés : LEVACK Brian P., La grande chasse aux sorcières en Europe aux débuts des temps modernes, Époques Champ Vallon, Seyssel, 1991 MUCHEMBLED Robert, « Une minorité produite par la justice : les sorcières des temps modernes », dans AUDISIO Gabriel (Ed.), Religion et exclusion : XIIe-XVIIIe siècle, Presses Universitaires de Provence, 2017, en ligne. Article

67Ciel, air et vents, plains et monts découverts, Tertres vineux et forêts verdoyantes, Rivages torts et sources ondoyantes, Taillis rasés et vous bocages verts, Antres moussus à demi-front ouverts, Prés, boutons, fleurs et herbes roussoyantes, Vallons bossus et plages blondoyantes, Et vous rochers, les hôtes de mes vers, Puis qu'au partir, rongé de soin et d'ire, A ce bel oeil Adieu je n'ai su dire, Qui près et loin me détient en émoi, Je vous supplie, Ciel, air, vents, monts et plaines, Taillis

faire ressentir, partager et vivre avec le lecteur ses propres sentiments. le poète considère les composants de la nature comme les membres de sa famille. Avant de mourir, il fait ses adieux à tous les éléments de la nature « terre + soleil + vallons …etc. » Mais malgré tout cela, le poète est attaché à la vie pour une seule et unique raison c’est son amour à une jeune femme « une âme que j'ignore » une fois qu’il pense à cette belle femme, il ressent de la satisfaction, du bonheur, du ravissement

Baudelaire publie le recueil, les Fleurs du mal en 1885, travail de l’auteur depuis 1840. Il meurt le 31 août 1867 à Paris. [pic] Charles Baudelaire L’isolement |Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, |Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, | |Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ; |Vains objets dont pour moi le charme est envolé ? | |Je promène au hasard mes regards sur la plaine,

vivants n'échauffe plus les morts. De colline en colline en vain portant ma vue, Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant, Je parcours tous les points de l'immense étendue, Et je dis : " Nulle part le bonheur ne m'attend. " Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé ? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé ! Que le tour du soleil ou commence ou s'achève, D'un oeil indifférent