Vanessa Paradis

utilisé : 1. Une parodie du premier chapitre de la bible (La genèse) dans laquelle le château est le jardin d’Eden, Candide est Adam, Cunégonde est à la fois Eve et le fruit défendu auquel Candide goûte et se fait chasser du paradis. 2. Voltaire met ainsi en place le paradis terrestre qui sera une référence constante au fil de l’aventure de Candide. 3. Le château de Thunder-ten-tronckh est donc le symbole du bonheur, il sera la comparaison qu’utilisera Candide pour l’apprentissage de la vie. Candide

transférera ses cendres au Panthéon pour l’hommage posthume de toute une nation. 2) La structure de l’œuvre Les trois pôles : a) Chapitre 1 : le paradis de Thunder-ten-tronckh. La baronnie est un milieu clos présenté comme « le meilleur des mondes possibles » ; cette société est présentée comme un modèle illusoire. En effet le premier chapitre définit « un paradis terrestre » puisque qu’il servira de référence tout au long du conte où l’on retrouvera les personnages de la baronnie. b) Chapitres 17 et

précepteur. Martin apparaît au chapitre 19, quand Candide s'apprête à revenir en Europe. Il est un savant qui a été marqué par de nombreuses épreuves de la vie. Cunégonde : Fille du baron de Thunder-Ten-Tronckh. Origine exil Candide hors du « paradis terrestre ». Fraîche, grasse, appétissante, haute en couleur, extrêmement belle, très émotive. Elle finit par devenir laide, acariâtre et insupportable. Candide n'éprouve plus aucun sentiment → confondu amour / attirance physique. Talent culinaire

instruments de la Passion). Trois espaces verticaux complètent ce découpage : Au centre : le Jugement divin. L’espace est structuré par l’ovale de la mandorle et surtout la croix qui coupe verticalement l’espace de haut en bas. À gauche : le Paradis, les élus. À droite : l’Enfer, les damnés. L’opposition est renforcée par le contraste entre : L’ordre qui règne du côté des élus : personnages bien alignés (cortège des élus au milieu), rythme régulier des voûtes et colonnes de la maison de Dieu

Et voici ce que j'ai commencé à écrire pour la préface : "La mort comme ultime voyage, celle qui nous emporte sans bruit dans un au-delà inconnu. Pays qui de tout temps a fait rêver les hommes, enfer ou paradis, vie éternelle ou fin définitive. Mourir pour être libre, pour échapper à la vie, à ses affres ; mourir pour ne plus souffrir du manque de l'être aimé, pour être en paix, enfin. Peur de la mort et fascination de cette dernière ont inspiré les poètes de toutes les époques." Et voici

Annette qui vous offrira un spectacle à la hauteur de vos attentes. I. La place de ce passage dans l'œuvre : de l'illusion à la désillusion Candide a été "chassé du paradis terrestre" : référence à Adam de la Genèse. Cette phrase est annonciatrice de la suite de l'œuvre puisque Candide, chassé du château considéré comme le paradis, va connaître la réalité du monde et de ses malheurs (souffrance, douleur, travail). "pleurant, levant les yeux au ciel" : Candide regrette son éviction du château.

vérité une personne exerce deux fonctions => illusion d'un grand nombre de domestique Transition: Le manque d'ouverture donne un monde figé dans lequel les inégalités persistent. Candide représente un véritable intrus maintenu dans cette illusion de paradis terrestre dont il ne distingue pas les limites. III. Satire de la philosophie optimiste 1) L'optimisme • définition de l'optimisme selon Leibniz: Dieu a crée le monde le moins mauvais possible. Les maux de la société ont donc une finalité optimiste

cousin des " jours heureux ", où il découvre " l'amité vraie " dans une campagne qui, dit-il, lui laissera " un goût si vif ". C'est dans ce cadre, à Bossey, que s'inscrit la fameuse histoire du " noyer de la terrasse ". Bossey est un véritable " paradis terrestre " jusqu'au jour où il découvre l'injustice. Curieusement alors, le décor change de couleur: " La campagne même perdit à nos yeux cet attrait...Elle nous semblait déserte et sombre... " Ainsi les états d'âme de Rousseau modifient le paysage

qui fait pendant à la figure féminine du tentateur enroulé autour du tronc… Bien et mal se sont divisés et deviennent une désormais des puissances opposées. Michel-Ange représente simultanément le Péché originel et l’expulsion d’Adam et Eve du Paradis terrestre, deux moments qui sont nettement séparés dans le récit biblique. Il montre ainsi en même temps la cause et l’effet engendré. Les deux épisodes sont séparés par l’arbre du bien et du mal, autour duquel est enroulé le serpent, qui tend le

Vierge portant, sans rompure encourir, Le sacrement qu'on célèbre à la messe : En cette foi je veuil vivre et mourir. Femme je suis pauvrette et ancienne, Qui riens ne sais ; oncques lettres ne lus. Au moutier vois, dont suis paroissienne, Paradis peint, où sont harpes et luths, Et un enfer où damnés sont boullus : L'un me fait peur, l'autre joie et liesse. La joie avoir me fais, haute Déesse, A qui pécheurs doivent tous recourir, Comblés de foi, sans feinte ne paresse : En cette foi