Vanessa Paradis

À mon avis, vous devriez envisager de démissionner. -Vocabulaire connotatif : - Péjoratif : Cette ville est une véritable jungle. - Mélioratif : Cette ville est le paradis terrestre -Verbes  : Il faut que vous révisiez votre fameux projet de loi! ( ironie) -Verbes (doute) : Il semble que Yasser ait été empoisonné

Monde fermé sur lui-même, donc disposé à être remis en cause TRANSITION : Le manque d’ouverture donne l’image d’un monde fermé, figé, où les inégalités persistent. Candide est un véritable intrus qui va être maintenu dans cette image de « Paradis Terrestre », dont il ne voit pas les limites. Ce monde traduit des fondements non-acceptables que l’on retrouvera dans la satyre de l’optimisme. III. La dénonciation de l’optimisme et des philosophes optimistes A. L’optimisme Référence

l’Homme du Moyen Âge, considère que le corps humain est un matériel périssable et que l’âme est immatérielle et immortelle. Au niveau de leurs différences, la conception de l’Homme du Moyen Âge considère que le but ultime de la vie est d’aller au paradis après la mort, car Dieu existe certainement et la remise en question de son existence est un grand péché. Néanmoins, selon la conception de Pascal, l’existence du Dieu est remise en question tout en essayant de démontrer qu’il y a des chances que

Marguerite=passeur=Charon (passeur des âmes vers le séjour des morts) Marguerite= aide Béranger à passer la passerelle vers la mort Marguerite = parodie de Virgile (permet au Héros de descendre aux enfers)= fait monter Béranger Cette monté n’est pas une monté au paradis = pas de mort consolatrice La mort = le néant b) Un guide autoritaire Utilisation de l’impératif Anaphore : « renonce aussi », « ne crains pas », « monte,  monte » Reprise et variations de certains termes = effacement de Béranger c) Une protectrice

séjour des morts, il leva les yeux ; et, tandis qu’il était en proie aux tourments, il vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein. » Autre exemple : au brigand qui L’a accepté alors qu’il était sur la croix, Jésus a dit : « tu seras avec moi dans le paradis ». Nous ne sommes pas comme les animaux, qui ont une âme (siège de leur volonté) mais qui n’ont pas d’esprit (ce qui nous permet d’avoir conscience de Dieu et d’être en communion avec Dieu). Lorsque les animaux meurent, pour eux c’est fini ! Mais

ceux-ci prient, s'inclinent, se taisent et abaissent leur visage devant eux; que les évêques, dépouillés de tout bien, en soient réduits à suivre la charrue, un aiguillon à la main, et à chanter la triste complainte de notre premier père, chassé du paradis terrestre[3] ; et s'il vient à vaquer quelque siège épiscopal, qu'on y élève des gardeurs de troupeaux ou des mariniers, quels qu'ils soient d'ailleurs. Ayons soin cependant de couvrir de tels choix de quelque prétexte adroit et plausible. Ne souffrons

Lecture analytique : Chapitre 3 de Candide, du début jusqu'à « n’oubliant jamais Mlle Cunégonde » Introduction 1) L’auteur (Cf. Texte Bac 1) 2) L’œuvre Candide (Cf. Texte Bac 1) 3) Le texte – Situation Après avoir été chassé du paradis de Thunder-Ten-Tronckh, Candide est enrôlé de force dans l’armée bulgare. Il se trouve confronté, de manière inévitable à l’expérience de la guerre. C’est l’occasion pour voltaire de concilier les impératifs narratifs du comte (une succession d’épisodes auxquels

cannibale, par exemple André Thevet dans Les Singularités de la France Antarctique.   En fait, Rousseau nous décrit avant tout un mythe, le mythe du « Bon sauvage ». En fait, le philosophe dresse un tableau idyllique de l’homme qui vivrait dans un paradis terrestre, une sorte de jardin d’Eden où les humains sont bons et suivent les règles de la nature. C’est dans une certaine mesure une « pureté originelle ». En somme l’hypothèse de Rousseau reste cependant difficile à vérifier puisqu’on ne peut pas

pitié de ma longue misère! Toi qui sais tout, grand roi des choses souterraines,Guérisseur familier des angoisses humaines, Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi qui, même aux lépreux, aux parias maudits,Enseignes par l'amour le goût du Paradis, Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Ô toi qui de la Mort, ta vieille et forte amante,Engendras l'Espérance, — une folle charmante! Ô Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi qui fais au proscrit ce regard calme et hautQui damne tout

Satan, celui qui a introduit le mal sur Terre. Souvent, le Diable est apparenté au serpent. Son origine est orientale. Un siècle avant notre ère, le Livre de la Sagesse des intellectuels juifs met au jour la liaison entre Satan et le serpent du paradis dans l’épisode où Eve est tentée dans le jardin d’Eden. Ils définissent le serpent comme une émanation de Satan ou bien le personnage de Satan lui-même. A partir de ce moment là, Satan devient le « responsable originel du malheur des hommes ». Anne-Cécile