Vanité Avec Une Couronne

EXAMEN DU REVET SUPERIEUR BOSSUE ORAISON D'HENRIETTE ÉDITION FUNÈBRE D'ANGLETERRE ANNOTÉE PAR FRÉDÉRIC GODEFROY Auteur ol'Histoire Littérature d dela l française epuiseXVIesiècleusqu'à d j nosjoiirs OUVRAGE PAR L'ACADÉMIE COURONNE FHANÇAISE PARIS GAUME ET Cie, EDITEURS 3, RUE DE L'ABBAYE,3 1882 BOSSUET ORAISON FUNÈBRE DK HENRIETTE D'ANGLETERRE GAUMEet Gie éditeurs, 3, rue de l'Abbbaye,-àParis LE NOUYElU: TESTAMENT CHRIST: nouvelle DE N. S; JÉSUS Traduction

''théâtre à même la peau''. Ainsi, l'âge, la morphologie ou le sexe d'un acteur n'est plus un critère de sélection. Seul son jeu compte, les artifices se chargent du reste. Le chapeau symbolise la supériorité, pouvoir, souveraineté. Il remplace la couronne, beaucoup plus classique et réservée aux souverains. Tantôt en or, tantôt de lauriers, elle représentait la perfection et l'immortalité de son porteur, son pouvoir royal et divin. Le chapeau est quant à lui universel. Il offre une possibilité de

enjoué. Il porte une tunique orange qui laisse voir un corps musclé. Il porte de multiples bijoux de couleurs or, signe de sa vanité : deux boucles d’oreille ronde, un bracelet au bras tenu par son père, et des sandales. De sa main gauche, il tient une branche de laurier non tressé, symbolisant le futur empereur qui doit faire ses preuves avant de pouvoir avoir la couronne de laurier tressée des empereurs. Sur la droite du tableau se trouve un homme, isolé, la tête inclinée vers le bas, en signe

surréaliste, un temple flottant dans les nuages. Mars, le dieu de la guerre, est en train de succomber aux charmes de Vénus. Vénus, la déesse de l’amour et ses acolytes, les Trois Grâces et Cupidon enlèvent l’armement de Mars. Vénus veut placer une couronne de roses sur la tête de Mars. Cupidon délie la sandale de Mars. Mars est représenté nu et David a placé deux colombes devant ses parties génitales pour des raisons de convenance. Vénus à une forme extrêmement délicate et sinueuse et est beaucoup

ou défait des réputations (Scipion : mort décente qui a rétabli sa réputation. Il mentionne trois personnes mauvaises qui ont eu une mort parfaite. La Boétie : mort parfaite.). Seule la « belle mort » peut prouver une « belle vie » en venant la couronner. Jouant sur le mot « essai » il qualifie la mort d’ « essayeuse par excellence ». Ainsi on ne peut dire d’un homme qu’il a une vie heureuse tant qu’il est encore vivant, et la mort révèle aux autres, aux vivants, la nature de la vie qui l’a précédée

ceste orde charongne, et se tient à l'escart,Et laisse un souvenir de nous comme d'un songe ? Ce corps, qui dans la vie en ses grandeurs se plonge,Si soudain dans la mort estouffera sa part,Et sera ce beau Nom, qui tant partout s'espard,Borné de vanité, couronné de mensonge. A quoy ceste Âme, helas ! et ce corps desunis ?Du commerce du monde hors du monde bannis ?A quoy ces nœuds si beaux que le Trespas deslie ? Pour vivre au Ciel il faut mourir plustost icy :Ce n'en est pas pourtant le sentier racourcy

tient une couronne au-dessus de sa tête. En Vierge de sagesse, elle porte L'Enfant sur un genou, où il repose sur un linge blanc ; l'Enfant porte un globe surmonté d'une croix, symbole de l'Univers sur lequel la Vierge Marie porte le regard. La Vierge, à droite, est assise de trois-quarts sur un coussin orné de motifs floraux posé sur un banc de marbre à motifs géométriques. Elle est enveloppée d'un manteau rouge galonné de perles et de joyaux. Un ange la surplombe et tient une couronne au-dessus

notre regard du bas vers le haut. Ensembles Bruegel dégage quatre grands ensembles dans ce tableau. • Le groupe de personnages en gros plan sur la colline. Deux personnages ressortent : le roi, commanditaire de la construction (grand manteau bleu et couronne bien visible) et les architectes. Un personnage porte une tunique jaune. • Le chantier gigantesque de la tour. • La ville et son port. • Le ciel : le ciel bleu et paisible de la partie droite contraste avec le ciel orageux et menaçant de la partie

mes yeux Dessus le bord du grand fleuve de Rome, Qui, m'appelant du nom dont je me nomme, Me commanda regarder vers les cieux : Puis m'écria : Vois, dit-il, et contemple Tout ce qui est compris sous ce grand temple, Vois comme tout n'est rien que vanité. Lors, connaissant la mondaine inconstance, Puisque Dieu seul au temps fait résistance, N'espère rien qu'en la divinité. II Sur la croupe d'un mont je vis une fabrique De cent brasses de haut : cent colonnes d'un rond Toutes de diamant ornaient

mère tiennent dans leur main gauche une grenade, représentation de la passion que semble annoncer la tristesse des traits des différents figurants. La présence divine représentée ici par l’astre solaire irradie l’ensemble de la scène notamment la couronne portée par les deux anges des extrémités et le Magnificat. Il se dégage de cette œuvre une sensation de calme et de sérénité en dépit d’une impression de mouvement due à l’échange des regards, à la convergence des mains vers l’ouvrage et à une certaine