Vanité Ou Allégorie De La Vie Humaine

qui englobe le monde et ses vices. Ainsi, il se développe, dans cette scène, une certaine vision du monde où, Shakespeare de part son héros, décrit la vie serait comme une comédie et l’homme comme un acteur sur la scène du monde. Hamlet se fait le porte-parole de Shakespeare qui veut traverser l’illusion c’est-à-dire les mensonges du monde, la vanité, les hypocrisies qui incombent aux hommes pour accéder à la vérité et montrer le monde tel qu’il est vraiment, une terre où tout est faux, où tout se

(auteur grecque du IVème siècle) mais il enrichie et dépasse les textes sources. L’ouvrage est constitué d’une succession de portraits et de remarques. Derrière chaque portrait, tantôt comique, tantôt acerbe, se cache la peinture d’un type humain : vanité, hypocrisie, flatterie... Il met ainsi en lumière la comédie sociale qui se joue à la cour du roi et critique ses contemporains. I / Les différents caractères Les livres V à X suivent une progression ascendante rappelant la hiérarchie de

rejette la scolastique qui constituait le modèle médiéval pour mettre en avant le libre accomplissement de l’Homme dans toute son universalité. Relevés I.1) -enseignement à l’envers annoncé : citat° de la Bible parodiée « Quelle vanité (…)» -voc. religieux (« vanité ») face à des propos incohérents -contre éducation : gourmandise excessive : « belles tranches » (répétition) saleté : « le bréviaire » (l. 27), « graisse », « se laver, se nettoyer.. » manque de savoir vivre :

irrégulière”. Marqués par les guerres de religion, convaincus de l’incertitude du devenir de l’homme, ils défendent l’exubérance des formes. Ils témoignent de la fantaisie et de la virtuosité de l’artiste. XVII LE CLASSICISME Idéal esthétique et humain (« l’honnête homme ») représenté par les écrivains de la seconde moitié du XVIIe : Les «Classiques». En réaction contre l’exubérance du Baroque, le classicisme cherche à créer des modèles, en fondant chaque genre littéraire sur des règles de construction

-Métaphore de vie et d’enfer - Description et des ténèbres = “qui puent” → Il compare avec “Satan Trismégiste” dans le but de décrire quelque chose de mauvais et de novice. Trismégiste : trois fois grand. → L’esprit est donne/ doté des caractéristiques d’un humain, plus précisément un bébé. → Il utilise le mot “riche métal"

réponses, soit par des propos laconiques (« oui, oui je sais cela ») ou par des déclarations emphatiques (« je suis rongé d’une tristesse auprès de laquelle la nuit la plus sombre est une lumière éblouissante »). Les appels de Philipe sonnent dans le vie : chaque réplique entraîne de l’incompréhension puis de l’agressivité. Lorenzo est surpasse Philipe, et cette supériorité est ressentie comme hostile et abusive. Ils finissent par se tutoyer. Lorenzo s’adresse à Philipe comme à son père, mais le tutoiement

et se révèle à lui-même dans son amour pour Isabelle. * D’où l’intérêt de se demander [+ Problématique] * Pour répondre à cette question ………………………… I- Un héros tragique, humain et impuissant vainquant son angoisse de la mort par l’affirmation de son amour pour Isabelle a) Un héros tragique, humain et impuissant proche du spectateur * « infâmes » (l.1238), « horreur » (l.1239), « les plus noirs » (l.1243) :; perte totale de confiance, pessimisme puissant, grande souffrance

poétique d'une philosophie de l'existence. 3. Le cadre spatio-temporel • Comme les contes, les fables sont généralement situées dans une époque vague et dans des lieux peu déterminés (la ville, les champs). • On y trouve pourtant certains détails de la vie du XVIIe siècle : allusion au roi, aux courtisans et à l'Église. La Fontaine se moque du pape Innocent XI, qui n'était pas le fils d'un « planteur de choux », mais d'un banquier (VII, 11). Ami du ministre Fouquet, il ne perd pas une occasion d'attaquer

doivent s’attendre à une revanche des trompés. Analyse de la fable : La Grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le Bœuf Cette fable est la troisième fable du livre 1) .Dans sa fable, La Fontaine met en scène une Grenouille symbole de la vanité des hommes, car l’histoire est celle d’une grenouille qui voit un bœuf et voulant devenir aussi grosse car la grosseur de ce bœuf est pour elle synonyme de puissance, et pour elle cela va devenir une obsession de devenir tel le bœuf, elle va tout

« prodige » au sens latin : une catastrophe naturelle, un déluge, un déferlement de « fureur » partagé par les courtisans. [Problématique :] Nous nous demanderons comment La Bruyère, dans ce texte qui oscille entre l’humour et le sérieux, dénonce la vanité des réputations qui se font et se défont à la cour. [Mouvements :] Nous étudierons dans un premier temps la partie du texte consacrée au succès, en montrant comment l’auteur pointe les différents excès de la louange (l. 1 à 11) ; nous en viendrons