Vanité Ou Allégorie De La Vie Humaine

libératrice, es-ce un laisser allé de l'esprit ou témoigne-elle d'une passvité de l'esprit ? i ne serait p-e que rien d'autre qu'un certain auto renoncement de l'esprit a lui-même ( Descartes ), cela est du a l'emprise du corps sur l'âme. non : allégorie de la caverne, les hommes s'imagine l'exterieur négativement car il ne connaisse pas la vérité, imagination leur joue un tour l'imagination : c'est une pensée qui se donne libre cours, elle est non concerté car nous ne prevoyons pas les effets

PASSANTE » : CHARLES BAUDELAIRE (LES FLEURS DU MAL) INTRODUCTION Il s’agit d’un sonnet de Baudelaire extrait des Fleurs du Mal parues en 1857. Dans cette partie du recueil, intitulée « Tableaux parisiens » (1861), le poète peint des scènes de la vie quotidienne, scènes prises sur le vif et d’autant plus fortes que Baudelaire en saisit la soudaineté. Un sonnet est constitué par deux quatrains à rimes embrassées (ABBA-ABBA) et par deux tercets qui peuvent rimer selon deux schémas différents :

1752 , phrases interrogatives « En est-ce assez ô Ciel… » v.1693, « Au lieu de châtiments trouvent des récompenses » v.1730. On trouve aussi de nombreuses apostrophes « ô ». On peut noter aussi l’importance des enjeux: la vie et la mort « Comme à mon ennemi je t’ai donné la vie / Et malgré la fureur de ton lâche destin / Je te la donne encor comme à mon assassin » v.1703-1705, et l’Etat « le Consulat » v.1710, « Puisqu’il change mon cœur, qu’il veut changer l’Etat » v. 1724. 3. Résolution des

cherche à trouver dans un dialogue intérieur des réponses incertaines à des questions pressantes ; le sous genre délibératif de ce monologue implique une incertitude qui confronte des points de vue opposés chez un même sujet. Exemple : le dégoût de la vie pousse à la tendance suicidaire mais l’amour du père et la révolte contre le remariage de la mère engendre une colère qui stimule la volonté de vivre. Désaccord plus tard approfondit déjà présent : alternative : vivre ou mourir ?). - La tonalité du

l’art baroque : Les arts devaient communiquer sur des thèmes religieux et avoir une implication directe et émotionnelle. Dès le milieu du XVIe siècle, des artistes de premier rang, tels Michel-Ange mettent en scène la gloire de Dieu et l’amour de la vie dans la peinture comme dans l’architecture. Le baroque vient ensuite remplace la stabilité et l’objectivité de la Renaissance par le mouvement. En réaction à la ligne droite, la courbe domine, et maîtrise la technique du trompe-l’œil (illusions d’optiques)

Parodie de la recherche du Graal par les chevaliers du roi Arthur. Le vin exprime la volonté de rire de tout.ET – N°2 – La Guerre PicrocholineFiche de RévisionGargantua – RabelaisIntroduction :Rabelais dénonce très souvent des conflits historiques : allégorie Charles V - François Ier → Picrochole - Grandgousier. Ecrit au XVIème siècle. Roman et œuvre argumentative indirecte. Humaniste. Le roman débute par un objectif éducatif qui est interrompu par la guerre Picrocholine. Problématique : En

+ comique de caractère : Pierrot est infantile (jeter des mottes de tarre) humour balourd , vanité naïve) + comique de mœurs : mœurs amoureuses des paysans (Regarde la grosse Thomasse, comme elle est assotée du jeune Robain : alle est toujou autour de li à l'agacer, et ne le laisse jamais en repos; toujou al li fait queuque niche ou li baille queuque taloche en passant ) + comique de situation : la vanité de Pierrot contraste avec l’indifférence de charlotte qui s’intéresse surtout au naufragé "

scène 1 : itinérance baroque et considérations sur le monde – Sganarelle : un médecin malgré lui ? 4 - Acte V scènes 5 et 6 : le dénouement – une dramatisation surprenante des vanités ou une fin attendue ? Documents complémentaires - une œuvre picturale choisie personnellement par les élèves sur le thème de la vanité. - une œuvre picturale sur Sardanapale – Eugène de Lacroix - une œuvre picturale sur la tradition du Pierrot de la Lune, en relation avec la mise en scène de D. Mesguish - les

transformer  «la boue en or » 1. La cruauté de la vie mise en scène par l’écrivain 2. Omniprésence de la beauté au sein de chaque œuvre 3. De la cruauté de la réalité à la pureté du style II- Beauté et puissance du langage 1. Les mots, par leur force dépassent la banalité de ce qu’ils expriment 2. Atteindre l’âme humaine dans toute sa richesse 3. La critique et le travail

de l'enfant comme s'il n'était que malade. Cette volonté de réchauffer ses pieds, geste désespéré et vain, permet au narrateur, aux vers 22 et 23, une nouvelle intrusion pour déplorer l’inexorabilité de la mort (qui est personnifiée) et signaler la vanité pathétique des efforts de l'aïeule. Il faut remarquer qu’avec «roides» et «froides» la rime n'est satisfaisante que pour l'oeil car, si le mot «raide» s'est longtemps écrit «roide», il était prononcé «rouède» et non «rouade». Quant à la mention des