Vassalité

de guerre. Fin 9ème s : on va parler de rois carolingiens affaiblis avec diminutifs comme pour les rois Mérovingiens. Donc, on suit un roi surtout parce qu’il est chef, auquel on prêté serment de fidélité : deux types-> général de fidélité et vassalité §1 fidélité de tous les hommes libres : Chaque homme libre doit le prêter à partir de 12 ans, ce qui est comparable au leudesamium Mérovingien. Ce serment est renouvelé en 802 parce que charlemagne est devenu empereur entre tps. Ici, on prête

chevalerie. Féelon : Le noble en sera considéré lorsqu’il n’obéira pas à son seigneur. Dérogeance : Le noble en sera coupable lorsqu’il se livrera au commerce, activité servile par excellence. Hommage : Première étape de la cérémonie de vassalité au cours de laquelle le vassal se remet personnellement comme « homme du seigneur ». Serment de foi ou de fidélité : Il suit l’hommage, est destiné à consolider le contrat vassalique; le vassal prête serment sur lae Bible ou sur des reliques

chevalerie. Féelon : Le noble en sera considéré lorsqu’il n’obéira pas à son seigneur. Dérogeance : Le noble en sera coupable lorsqu’il se livrera au commerce, activité servile par excellence. Hommage : Première étape de la cérémonie de vassalité au cours de laquelle le vassal se remet personnellement comme « homme du seigneur ». Serment de foi ou de fidélité : Il suit l’hommage, est destiné à consolider le contrat vassalique; le vassal prête serment sur lae Bible ou sur des reliques

sonnet dans des « canzionieri » dédiés à une maîtresse. B. Le pétrarquisme. 1. Définition a. Le contenu est constitué par la somme des critères suivants : 1) le pétraquisme pose comme essentielle la vassalité de l’amant, lequel cherche à s’élever au terme d’une entreprise dynamique. Cette vassalité peut aller de pair avec la non réciprocité amoureuse. 2) Le pétrarquisme insiste sur le caractère unique de l’aventure sentimentale. 3) Cette aventure comporte une dimension existentielle, ce qui implique :

qu’il est existé ou pas, s’est le serment échangé entre les frères en garantie de son application qui a retenu principalement l’attention des chroniqueurs, ce qui souligne l’importance de la foi jurée dans une société fondée sur la fidélité et la vassalité.     Conclusion : Un traité fondateur, mais dont les contemporains n’ont peut-être pas eu tant que ça conscience de l’importance (traités suivants, qui organisent les rapports entre les frères et créent la fiction d’une unité de l’empire divisée :

de vente) plus ou moins librement. Sa condition de servage pouvait elle-même faire l'objet d'un contrat. Le christianisme s'opposait à ce que des chrétiens appartiennent à d'autres chrétiens. Ce qui lie le serf à son seigneur tient plutôt de la vassalité : il lui doit fidélité, comme dernier étage de la pyramide féodale. Cette fidélité, comme tout lien féodal, a une contrepartie : le seigneur lui doit protection. Lorsque les serfs parviennent à avoir une certaine autonomie de production, ils supportent

qui vont donc négocier, ils vont peu à peu obtenir des statuts juridiques, spécifiques propre a chaque villages. Villages se rapprochent des villes politiquement. On a donc des villes, qui sont toutes soumise à des règles différentes. La Vassalité est le fief ou les liens féodaux vassaliques. Cette période est caractérisé de manière différente, la première caractéristique est lien personnel, c a dire que tout les individus sont pris dans un réseau inter-individuel. Le vassal, c'est un seigneur

partie du tableau, durant le dialogue entre Don Juan et Catherinon. Le comique de la scène semble naître de la complicité des deux personnages. En effet, la relation entre Don Juan et Catherinon n’apparaît pas sous l’angle traditionnel du système de vassalité. Ici, Catherinon n’hésite pas à critiquer les faits de son maître, notamment par le biais de l’ironie « Catherinon : Le beau paiement que tu réserves à son accueil ! », « Catherinon : Femme infortunée ! Nous payons vraiment bien ton accueil ! ».

mis en place la vassalité, mais le passage de la vassalité à la féodalité semble s'effectuer entre le milieu du IXe et l'an mil. La vassalité est plus ancienne. La terre demeure la base du pouvoir et la source de puissance. Plutôt que d'opposer riche et pauvre, jusqu'au XIe il vaut mieux opposer les propriétaires terriens des non-propriétaires. Les relations féodo-vassalique sont le propre de l'aristocratie. Ces relation s s'articulent autour d'un élément personnel : la vassalité ou fidélité, et

secours (cf. p88) la division du pouvoir politique entre les grandes principautés ne s’arrête pas la puisque les principautés se divisent elles même en territoire plus petits avec à leur tête des seigneurs. Chapitre 1 : l’ordre seigneurial et la vassalité Les chefs politiques qui s’étaient affirmés au sein des principautés au moment du déclin Carolingien éprouvent au cours du Xème siècle un certain déclin. Pour confirmer leur autorité sur les territoires qu’ils compromettent, ces principautés