Vassalité

Chauve, dans un capitulaire de 847, va inciter ces guerriers à entrer dans la vassalité. Au départ ce processus va renforcer la légitimité du pouvoir du roi car il entraine une soumission automatique des hommes à leur prince. Soumission qui s’impose aux liens familiaux, aux liens de sang qui auraient pu se nouer de part et d’autre. La vassalité va permettre au roi d’obliger le seigneur à choisir son camp (lien de vassalité ou lien de sang), si il choisi le lien de sang, il perd ses possessions car

juridique de la vassalité Les grands du royaume seront donc vassaux du seigneurEngagement vassalique imposé à tous les grand du royaume Charlemagne va ordonner, par un grand capitulaire promulgué en 807, aux grands du royaume de se créer à leur tour un groupe de vassaux En 847 Charles le chauve, dans son royaume, par un capitulaire (de Mersen) à tous les hommes libres de devenir le vassal directement du Roi ou de l’un des vassaux du roi afin que tous soient tenus vis à vis de cette vassalité Pour que pendant

ruent vers Constantinople. Par le traité d’Andrinople, armistice imposé au sultan par le tsar et signé le 14 septembre 1829, l’Empire ottoman est vaincu, et obligé par la même occasion de reconnaître « l’indépendance grecque dans le cadre d’une vassalité avec l’Empire ottoman ». Différents facteurs poussant les puissances à intervenir En premier lieu, Le christianisme des insurgés rallie les puissances. En effet, La défense d’un peuple chrétien opprimé par un peuple musulman, qui plus est jugé

Charles très pieu empereur dans un esprit pur sans fraude ni mal engin pour son royaume et pour son droit tout comme par droit doit être un homme à l’égard de son seigneur ». La fidélité vassalique Charlemagne et ces successeurs généralisent la vassalité qui permet à un homme libre d’entrer dans la dépendance d’un plus puissant que lui. L’acte qui marque cet engagement est la commendatio. Devant témoins à genoux au pied de son seigneur, la vassus place ses moins jointes dans les siennes et se recommande

de liens de vassalité. La politique carolingienne va s’appuyer sur cette forme de dépendance personnelle. Elle essaye de s’attacher la fidélité des grands du royaume en en faisant des vassaux en échange de bénéfice. Ces bénéfices sont surtout des dotations en Terre effectuées à titre temporaire. La terre est rendue au Roi lorsque le lien de vassalité est rompu. Les grands à leur tour, encouragé par les carolingiens, créent aussi à l’intérieur de leur domaine des liens de vassalité. Il y a un capitulaire

gallo-romaine, très cultivées. On voit se constituer une élite de gallo-romains, de francs. Ce sont des gens qui vont exercer les fonctions publiques. Des gens qui ont une puissance sociale importante. Le roi a donné des terres à ses fidèles. a) La vassalité Un homme libre s’engage envers un autre et devient vassale. Son protecteur va l’aider matériellement (le nourrir, lui confier une terre). Au 8e siècle, elle s’est étendue jusqu’au roi. Les grands propriétaires sont devenus les vassaux du roi. Le

cette relation est de vassalité : l'État tente de soumettre l'Église catholique à ces nouvelles normes. Cette volonté d'ingérence se traduit d'une part par le financement public de cette institution, et d'autre part par la formation de la Constitution civile du clergé. On voit dès lors que la différenciation entre l'Église et l'État a placé l'État au-dessus de l'Église. La loi de 1905, qui pose les termes de la laïcité, change cette situation : elle rompt le lien de vassalité et donne à l'Église catholique

sonnet dans des « canzionieri » dédiés à une maîtresse. B. Le pétrarquisme. 1. Définition a. Le contenu est constitué par la somme des critères suivants : 1) le pétraquisme pose comme essentielle la vassalité de l’amant, lequel cherche à s’élever au terme d’une entreprise dynamique. Cette vassalité peut aller de pair avec la non réciprocité amoureuse. 2) Le pétrarquisme insiste sur le caractère unique de l’aventure sentimentale. 3) Cette aventure comporte une dimension existentielle, ce qui implique :

procédé du pariage, contrat qui associe les fonctionnaires royaux à ceux du fief. Dans les fiefs importants, le roi fait prévaloir sa volonté : en s'opposant aux mariages qui lui portent ombrage ; en supprimant, à l'occasion des successions, les vassalités intermédiaires, en soumettant les grandes baronnies au droit de « relief » (mutation). Il affirme le principe que « chacun tient du roi, le roi ne tient de personne ». - Avec la bourgeoisie : Philippe Auguste favorise la bourgeoisie, dont il

abattent les Turcs orientaux en 630 grâce au vide politique laissé par la destruction d’un puissant khanat des Turcs orientaux. Ils parviennent à s’assurer l’alliance de diverses tribus turques dont celle des Ouighours qui soulèvent le joug de la vassalité imposé par les khanats turcs orientaux. L’empereur Taizong joue sur la division entre les tribus et khanats pour imposer la puissance chinoise sur l’ensemble des peuples turcs de 632 à 680. Cette soumission ne fut cependant pas exempte de retournements