Vassalité

les zones d’influence au Maroc. 1904 : position française renforcée : alliances, amis, question marocaine réglée. MAIS affaiblissement Russie. IV. La question d’Extrême-Orient Chine et Japon contraints à s’ouvrir à l’Europe. Chine : vassalité croissante, Japon : réveil = Meiji. A) Le Meiji japonais (1867-1894) 1868-1877 : l’Empereur s’installe à Tokyo, gouverne seul avec ses ministres, soutien des daïmios (seigneurs du Sud) : se débarrasser du Shogoun et détruire de la société

d'une capitale grandiose, Aix-la-Chapelle, et reçoit la couronne impériale des mains du pape en 800. Il gouverne L'Empire à l'ide de Comtes et de Missi dominici («Â envoyés du maître ») et s'appuie sur l'église pour rénover l'état. Il fait de la vassalité l'un des rouages de sa politique. Louis 1er le pieu, qui lui succède, réussit à préserver l'unité de L'Empire. La couronne royale revient à son fils lLothaire 1er, mais ses deux frères, Louis le germanique et Charles le Chauve, n'acceptent pas ses

l'édification d'un pouvoir politique central de plus en plus fort au détriment des différents pouvoirs locaux qui pouvaient préexister. Ce pouvoir politique central va progressivement absorber et dominer tous les autres (ex de la société féodale, lien de vassalité). Elle s'est parfois opérer au profit d'un parti politique. Quelqu'en soit la forme cette centralisation politique s'accompagne nécessairement d'un appareil administratif pour relayer le pouvoir central. 2 – La centralisation administrative

parfaire sa position sociale et sa position politique. Le roi choisit un allié, un grand du royaume, et accepte le fief en échange de sa fidélité, ils organisent alors la cérémonie de la concession. (= foi et l’hommage) Le Grand (=vassal, lien de vassalité) prêtait serment de fidélité sur les évangiles. L’hommage se présentait sans arme, sans casque, doit s’agenouillait devant le roi, mettre ses mains dans les siennes, qui prie de recevoir le roi comme son homme, et le roi le relève et l’embrasse (=

carolingien va laisser de profondes traces aux 10 et 11eme siècles car avec le déclin, la notion d'État s'estompe, et donc les rois carolingiens vont recourir très largement à un mode de gvt, ie le système vassalique. Les rois s'entourent de vassaux. La vassalité reposait sur une relation d'homme à homme, un qui s'engageait à obéir et à servir et l'autre qui s'engageait à protéger et entretenir. Les grands de l'aristocratie le feront aussi, les le système vassalique se diffuse ds la société, et se constituent

(le latin) et se transforme : l’Eglise est la seule structure de l’Empire qui tient encore debout et les évêques deviennent les chefs des cités, la société se « germanise » avec la diffusion des liens de fidélités personnelle (qui va donner la vassalité), avec les alliances entre familles aristocratiques romaines et chefs « barbares » qui, d’ailleurs portent des titres romains… 2 – 987, l’avènement de la dynastie capétienne, la naissance de la France ? • Une date apparue tardivement dans

deuxième croisade, il vint à Saint-Denis prendre le bourdon du pèlerin et l'oriflamme. Guillaume de Nangis décrit alors en détail ce qui se fit à l'abbaye en cette occasion et ne manque pas de remarquer que la remise de l'oriflamme est le signe de la vassalité du roi à l'égard de l'abbaye de Saint-Denis pour le Vexin. Le texte officiel, au contraire, dit tout simplement que le roi « ala à Saint Denis et li pria qu'il li feust en aide, et prist l'escharpe et le bourdon et l'enseigne Saint Denis ». Toutes

Abdul céda une partie de la riche plaine inondable à des Toorobé influents et nomma des imams et des juges au niveau des villages. Le nouveau régime connut un vif revers de fortune entre 1797 et 1807.Le roi du Kayor nouvellement intronisé refusa la vassalité imposée à son prédécesseur et s’attaqua aux communautés islamiques locales. Almamy Abdul mit sur pied une imposante campagne pour punir ce nouveau roi et pour réorganiser le royaume du kayor sur la base d’une nouvelle colonie futanké. Son

Autres forces de dislocation : des pratiques qui étaient conçus pour renforcer l'autorité du pouvoir : le bénéfice et la vassalité. C'est à dire qu'il y a eu deux pratiques pour rénumérer les personnages dont on avait besoin dans certaines fonctions à leur concéder des dotations foncières puisqu'on n'avait pas d'argent. Cette dotation était accompagnée d'un serment de vassalité, qui était une garantie pour l'autorité royale. Ce système de bénéfice a commencé à concerner les vassaux des propres vassaux

grandiose (Aix la Chapelle) et reçoit la couronne impériale des mains du pape en 800. – Charlemagne gouverne l'Empire à l'aide de comtes et de missi dominici (=envoyés du maitre) et s'appuie sur l'Église pour rénover l'État. Il fait de la vassalité un des rouages de sa politique. La renaissance carolingienne s'exprime dans l'art (architecture, orfèvrerie) et dans la production littéraire (histoire et pensée politique). – Louis 1er le Pieux, qui succède à son père Charlemagne, parvient