Vautrin

cu numele de Poiret, celălalt de către | | |un om de vreo patruzeci de ani, care purta o perucă neagră, îşi cănea favoriţii, se da drept fost | | |negustor şi se numea Vautrin. Etajul al treilea avea patru camere, din care două erau închiriate : | | |una de către o fată bătrînâ, numită domnişoara Michonneau, alta de către un fost fabricant de fidea,| |

Joachim Goriot. Celui-ci s’est ruiné pour ses filles, pour qu’elles aient la meilleure vie possible. Rastignac va profiter de cette occasion pour avancer dans son ascension. Vautrin, un autre pensionnaire, lui expose lui aussi sa thèse : tuer le frère de Victorine Taillefer pour récupérer l’héritage, et se marier avec elle. Mais Vautrin se fait arrêter. Le père Goriot meurt après avoir découvert que ses filles étaient ruinées. Celles-là le laissent mourir seul. Résumé en une phrase : Rastignac monte dans

Victor Hugo, un Cromwell en cinq actes et en vers qui est irrémédiablement condamné par les autorités consultées. Après plusieurs tentatives avortées — esquisses inachevées, projets refusés (l'École des ménages, en 1839), ou représentation interdite (Vautrin, en 1840) — les Ressources de Quinola sont enfin créées à l'Odéon, en 1842, échec mémorable qui limite à 19 le nombre des représentations. Suivent néanmoins Paméla Giraud (Théâtre de la Gaîté, 1843, 21 représentations), la Marâtre (Théâtre Historique

c’est accepter sa sècheresse de cœur, son ingratitude filiale, c’est donc la traiter en instrument d’un ambition. Parvenir en exploitant l’amour à des fins mercantiles : voilà Rastignac qui met en pratique les conseils exposés autrefois à Eugène par Vautrin. Conclusion Cette dernière page du roman est le point de rencontre des thèmes importants : une vie s’achève, une autre commence. Le thème fondamental du roman, l’égoïsme préféré et pratiqué au lieu de la générosité, reçoit ici

femme qui travaille à la pension de la maison Vauquer.Poiret est un vieil homme qui habite la pension de la maison Vauquer, et il est amoureux de Mademoiselle Michonneau est une femme qui vit la pension de la maison Vauquer. Elle finit par dénoncer Vautrin à la police pour de l’argent.Christophe travail en tant que serviteur la pension de la maison Vauquer.Madame de Beauséant est une femme fortunée, lointaine parente de Rastignac. Elle lui donne des conseils pour comment s’introduire dans la société

lequel « la fin justifie les moyens ». Balzac l’incarne en Vautrin qui illustre de son cynisme le quatrième acte de l’ouvrage qui amorce la fin : ce personnage exhorte le héros Rastignac à choisir s’il veut faire partie des dominants ou bien des dominés, de ceux qui acceptent que la corruption existe à tous les échelons. Parce que pour Vautrin accepter d’être corrompu peut permettre à Rastignac de réaliser son ascension sociale. Pour Vautrin la corruption va jusque au crime, pour Rastignac elle passe

pensionnaires…………………………77 b) La dimension sociale ………………………………………….…74  Les nobles et la haute bourgeoisie - Eugène de Rastignac……………...………………74 - Victorine Taillefer………………………………...75  Les classes moyennes 6 - Mme Couture………………………………..……76 - Vautrin…………………………………………….76 - Mme Vauquer……….……………………………76  Le peuple…………………………………………………………77 - Poiret et Mlle Michonneau……………………….78 - Jean Joachim Goriot………………………………79 - Sylvie et Christophe………………………………79 c) La pension Vauquer et le monde extérieur………………

Victor Hugo, un Cromwell en cinq actes et en vers qui est irrémédiablement condamné par les autorités consultées. Après plusieurs tentatives avortées — esquisses inachevées, projets refusés (L'École des ménages, en 1839), ou représentation interdite (Vautrin, en 1840) — Les Ressources de Quinola sont enfin créées à l'Odéon, en 1842, échec mémorable qui limite à 19 le nombre des représentations. Suivent néanmoins Paméla Giraud (Théâtre de la Gaîté, 1843, 21 représentations), La Marâtre (Théâtre Historique

Bien souvent considérée comme un synonyme de sincérité, de franchise et d’honnêteté, la vérité et une valeur, et le fait de la dire est une vertu. Elle est d’ailleurs valorisée, encouragée, par la religion et la morale. Egalement, elle profite à celui qui la délivre (soulagement de la conscience). Cependant, elle peut blesser aussi celui qui l’entend. En s’appuyant sur l’étude de la princesse de Clèves par Mme de Lafayette, nous pouvons nous demander si toute vérité est bonne à dire. Nous

malheurs, ceux de mon enfance n'en sont évidemment pas. J'ai connu pourtant, de douze à dix-sept ans, ce qui s'appelait banalement alors la vie d'internat. Je l'ai vécue comme l'expérience du bagne : un Louis Lambert qui aurait connu la chiourme dont Vautrin sort durci. Napoléon semblait encore vivant après plus de deux siècles. On avait accompli son projet de former les enfants dans des casernes à science, chambrées, capo¬raux, réveil au tambour, eau froide, rangs par quatre et le colonel-proviseur au