Vautrin

la Parisienne. » Le narrateur, toujours à travers cet autre personnage, Vautrin, associe alors ce désir de réussite du personnage à une vie frauduleuse et malhonnête. Il compare Eugène à tous ces jeunes gens, désirant la même chose que lui, qui ne cessent de s'adonner à des « manigances infernales ». Le narrateur associe alors le désir de réussite du personnage à un pacte avec l'enfer, avec le diable car comme l'expose Vautrin, il n'y a pas d'autre moyen pour arriver aux fins qu'il désire que le « le

nécessairement une victoire sur le monde. La réussite sociale de Rastignac « Le lendemain... à ...d’une façon diabolique. » Pages 204 à 206 Bas du formulaire Situation     Ayant écouté et refusé les moyens de faire fortune que lui proposait Vautrin, Rastignac a choisit une autre voie, celle indiquée en ces termes pas sa cousine de Beauséant : « Voyez-vous, vous ne serez rien ici si vous n’avez pas une femme qui s’intéresse à vous. Il vous la faut jeune, riche, élégante ». Grâce à elle, il a

c’est accepter sa sècheresse de cœur, son ingratitude filiale, c’est donc la traiter en instrument d’un ambition. Parvenir en exploitant l’amour à des fins mercantiles : voilà Rastignac qui met en pratique les conseils exposés autrefois à Eugène par Vautrin. Conclusion : Cette dernière page du roman est le point de rencontre des thèmes importants : une vie s’achève, une autre commence. Le thème fondamental du roman, l’égoïsme préféré et pratiqué au lieu de la générosité, reçoit ici

la richesse et la vie fortunée d’Eugène de Rastignac : « Vous y avez flairé le luxe …vous y avez flairé la parisienne ».Vautrin associe alors ce désir de réussite du personnage à une vie frauduleuse et malhonnête , à un pacte avec le diable .Il le compare à tous ces jeunes gens qui désirent la même chose que lui et qui s’adonne à des « manigances infernales »car comme dit Vautrin il n’y a pas d’autres moyens pour y arriver que le « génie ou par l’adresse de la corruption » . Ainsi le narrateur dans

madame Couture en s'asseyant devant le poêle à la bouche duquel elle présenta ses souliers qui fumèrent. - Chauffez-vous donc, Victorine, dit madame Vauquer - C'est bien, mademoiselle, de prier le bon Dieu d'attendrir le coeur de votre père, dit Vautrin en avançant une chaise à l'orpheline. Mais ça ne suffit pas. Il vous faudrait un ami qui se chargeât de dire son fait à ce marsouin-là, un sauvage qui a, dit-on, trois millions, et qui ne vous donne pas de dot. Une belle fille a besoin de dot dans

nom et Raphaël de Valentin, héros principal de La peau de chagrin, ont entrepris, comme lui, de rédiger un «traité de la volonté». On trouve un peu de Balzac dans la figure de l'ambitieux Rastignac ou dans celle, plus inquiétante, de ce monstre de Vautrin: «Le romancier authentique crée ses personnages avec les directions infinies de sa vie possible» (2).  Lorsqu'en dehors de ses romans il parle de lui-même, Balzac incline à se comparer aux plus grands. Ce tour emphatique lui vient lorsqu'il veut

maléfique dans le roman. Celui-ci met en relief le goût prononcé pour la richesse et la vie fortunée d'Eugène de Rastignac : « vous y avez flairé le luxe […] vous y avez flairé la Parisienne. » Le narrateur, toujours à travers cet autre personnage, Vautrin, associe alors ce désir de réussite du personnage à une vie frauduleuse et malhonnête. Il compare Eugène à tous ces jeunes gens, désirant la même chose que lui, qui ne cessent de s'adonner à des « manigances infernales ». Cette métaphore peut rapprocher

le moyen de son ambition. Il applique les conseils de Mme de Bauséant et de Vautrin. Conclusion : Exipite important car c’est une vie qui s’achève et une autre qui commence. Mais c’est aussi une dernière mais décisive leçon qui marque la fin de l’éducation du jeune homme. Il est livré à lui-même (Mme de Baus éant s’est retirée dans un couvent). Il est seul mais avec des leçons de vie très fortes avec la leçon de Vautrin qui utilisait les femmes à des fins d’enrichissement. Il est le témoin de la

il vit serrer les plus minces productions, la boisson faite pour sa famille avec les marcs du pressoir, enfin une foule de circonstances inutiles à consigner ici décuplèrent son désir de parvenir et lui donnèrent soif des distinctions. VISION DE VAUTRIN comme prélude à sa tentative de corruption A nous deux ! Voici votre compte. jeune homme. Nous avons, Ià bas, papa, maman, grand'tante, deux soeurs (dix-huit et dix-sept ans), deux petits frères (quinze et dix ans), voilà le contrôle de l'équipage

Comment Balzac dépasse-t-il le simple réalisme par le portrait , c’est à dire comme épuise-t-il la peinture du réalisme ? Montrer que Balzac utilise les procédés du réalisme pour entourer son personnage d’une aura mystérieuse ? Le personnage de Vautrin : I) Un portrait réaliste a. Les caractéristiques physiques et psychologiques * Portrait physique très précis : dû aux nombreuses énumérations * l1« 40 ans »,l3 « épaules larges », « buste bien développé », « muscles apparents »