Véganisme

inopérant. Au-delà d’une simple doctrine morale, l’antispécisme demande l’adoption d’un mode de vie différent de celui dit traditionnel : l’exclusion de toute consommation ou utilisation animale à des fins de satisfaction de l’humain (se rapproche du véganisme). Aucune transgression ni dérogation de ces principes ne sont tolérés. Ces impératifs font échos à la conception abolitionniste de l’antispécisme, porté par Tom Reagan4 (pionner du droit animal). D’autres courant antispéciste, comme l’antispécisme

empêche de manger certains aliments par acquis de conscience. Cela dépend de beaucoup de facteurs, tels que la culture, l’éducation, le vécu personnel, la religion ou même parfois un effet de mode. Ces individus adoptent alors des régimes tel que le véganisme, le végétalisme, le fléxitarisme et bien d’autres encore. Mais pour beaucoup c’est devenu un mode de vie, dû à une empathie forte et de la compassion envers les animaux leur bien-être ou encore leur santé. Il est donc nécessaire de nous demander

2 : « Les produits « sans gluten « ne sont pas meilleurs pour la santé », Sud-Ouest, 26 janvier 2016 �  Document 3 : Pascale Santi, « L’obsession du manger sain », Le Monde, 22 mars 2012 �  Document 4 : Montage de documents. Sarah Finger, « Le véganisme, sacerdoce à ronger », Libération, 16 juillet 2015 ; photographie « Menu de lapin » Faites une lecture minutieuse des quatre documents avant de chercher à répondre aux questions et prenez connaissance des objectifs placés ci-dessus. Ne traitez

dont l’intérêt grandissant par les consommateurs ne se dément pas depuis les débuts des années 2010. Ce phénomène évolue au grès de plusieurs autres tendances de consommation, toutes proches et compatibles dans leurs philosophies. Les adeptes du veganisme, des circuit-courts alimentaires et bio, des déplacements doux,… sont de plus en plus nombreux et sont même devenus une cible privilégiée des entreprises dites “traditionnelles”. Cette nouvelle manière de consommer, d’avantage centrée sur l’être

de la nourriture. Alors ici on ne parle pas des sdf’s ou des clochards mais vraiment des gens qui ne sont pas dans le besoin et qui disent non au gâchis et à la surconsommation. Le mot « freegan » vient de « free » ce qui veut dire gratuit et « veganisme », végétarien au départ c’était des gens qui ne récupérait que des produits végétariens. Le mot français pour un freegan est un déchétarien. Ce mouvement est né aux Etats-Unis et existe déjà depuis 2003 et aujourd’hui il est arrivé jusqu’en Europe

D’un point de vue social et démographique, on observe de nouveaux comportements dans la société pouvant nuire à l’industrie du veau et de la viande en général, il s’agit du développement prononcé ces dernières années, notamment chez les jeunes, du véganisme et du végétarisme. Ces appels à ne plus consommer de viande sont évidemment une menace directe pour l’entreprise et ses éleveurs. Les moins de 35 ans consomment en moyenne trois fois moins de viande de bœuf en morceaux que la population plus âgée

s’adresse aux clients actuels comme aux futurs prospects, elle s’équilibre entre réassurance et séduction. 4 Constats SWOT / Diagramme Moff a. Diagnostic externe • Contexte de crises et polémique (Affaire Findus, Vache Folle …) • Montée du veganisme (appuyés par les cancérologues et les nutritionnistes) • Baisse du nombre de gros consommateurs de viande rouge • Environnementalistes considèrent l'élevage bovin comme une source de pollution. • Concurrence boucheries artisanales. • Industrie de

L’abolitionnisme, dans le monde anglo-saxon, est étroitement lié à la théorie des droits : la question n’est pas d’améliorer les conditions de l’utilisation des animaux mais de supprimer celle-ci, y compris –dans le cas toutefois extrême du véganisme- pour la compagnie. L’intuitionnisme (ressentir spontanément que faire souffrir un être vivant sensible n’est pas moralement acceptable), l’éthique de la sollicitude et de la vertu etc…Présentation est faite de la situation française, qui se

fr/societe/article/2013/10/10/les-habits-neufs-du- fordisme_3493616_3224.html https://www.lesechos.fr/thema/transformation-industrie-data/limpression-3d-ou-le-nouveau- fordisme-1032457 https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/ford-a-lheure-du-veganisme-automobile- 1030806https://www.lesechos.fr/thema/transformation-industrie-data/limpression-3d-ou-le-nouveau-fordisme-1032457https://www.lesechos.fr/thema/transformation-industrie-data/limpression-3d-ou-le-nouveau-fordisme-1032457https://www.lemonde

conciles, comme l'Église copte orthodoxe, il y a de nombreuses et longues périodes où s'alimenter en produits issus du règne animal est strictement interdit (végétalisme), et même de se vêtir ou d'utiliser un quelconque produit issu du règne animal (véganisme). En revanche, contrairement au christianisme orthodoxe, pour ce qui est du catholicisme par exemple (à l'opposé du catharisme), qui lève tout interdit alimentaire (que ce soient celui des Juifs (porc par exemple) ou celui des païens (les Egyptiens