Vénalité

l’information comptable était faussée vis à vis des actionnaires. Dans un chapitre « comptabilité truquée », l’auteur s’attaque aux experts comptables et à leur rôle primordial de transmission d’information. Chapitre 6 : Sur la même ligne, il attaque la vénalité des banques, notamment les banques d’affaires (investment banks), qui étaient responsables de la véracité des informations délivérées sur les sociétés et leurs santés financières, mais elles les ont faussées, tout comme le PDG, dans le but d’émettre

parisien où il fréquente Fontenelle. Son sentiment nobiliaire, le préjugé des rangs liés à une dynamique de l’honneur le conduisent à rejoindre une forme de morale stoïcienne. La défense des parlements comme pouvoirs intermédiaires, l’acceptation de la vénalité des charges tiennent à sa vision d’une monarchie modérée. Il a une réputation de libre et bel esprit qui font de lui plus un citoyen qu’un sujet. Sa préoccupation principale concerne l’Etat légitime où les lois s’exercent autrement que comme puissance

6 semaines plus tard : réforme Maupeou : est ce que les magistrats veulent reprendre le service, si oui ok, si non, ils se font racheter leurs charges. C’est une grande réforme de la justice. On établie la gratuité de la justice, on supprime la vénalité de la justice, mais on maintient l’inamovibilité de la justice. On éclate la justice un peu partout en France pour mettre la justice plus proche des justiciables. Qu’est devenue la réforme Maupeou : Quand Louis 16 monte sur le trône, il rappelle

pourrie », « dans un rire abominable ». De fait, la décomposition du corps de Nana, symbolise la décomposition du régime. La référence à la pourriture rappelle un thème développé tout au long du roman : celui de la contamination de la société par la vénalité. Tout s’achète et tout se vend, y compris l’amour, comme en témoigne la présence de ces prostituées dans la chambre. Zola développe ainsi toute une thématique de la corruption, qui est aussi celle de ce régime : « charognes tolérées » (allusion aux

comédie des Plaideurs » : discrédite l’attitude des juges (inhumanité) satire de la justice, pointant du doigt la manie de faur faire toujours des procès. + décalage d’un ton frivole / désinvolte  « le grave magistrat » ironie  Dénonciation de la vénalité des charges de magistrats avec « acheté pour quelque argent » 2) Plaidoyer en faveur de de la Barre  Présentation du prévenu, de sa bonne condition, fait son éloge dû à ses qualités er sa généalogie  « jeune » connotation de l’innocence

traitement des femmes. Dénonce la responsabilité des hommes et la sévérité des jugements (aucune reconnaissance sociale) => impuissance de la Comtesse face aux infidélités de son mari + menace de la mener au couvent Critique des institutions : justice + vénalité des charges procès : caricature de la justice : personnages de farce, bégaiement, juge = pantin Critique d'une justice corrompue : Comte qui ne respecte pas ses règles, personnages qui ne respectent pas leurs contrats => conflit entre loi et désir

« feu invisible ». * Dom Juan ne se repent pas d’où l’impression de malaise (pas de fin à ses passions, aveuglement complet). * Comique : dernière intervention de Sganarelle « mes gages ! mes gages ! mes gages » qui révèle sa cupidité et sa vénalité -> totalement inattendu et en désaccord avec la manifestation du sacré (décalage grotesque). b) Fin très spectaculaire * Effets visuels : * Figures fantastiques impressionnant le spectateur (spectre). * Images du macabre typiquement

Lumières, car il est un texte de combat dénonçant les abus, mobilisant tous les moyens argumentatifs, au nom des valeurs fondamentales des philosophes : la raison et le progrès. I Un texte de combat, qui dénonce les abus de la société : - la vénalité des charges §2 -la collusion médecin-bourreau §1 -l’intolérance religieuse : de la Barre est condamné pour impiété, à des supplices horribles disproportionnés par rapport au « crime » -le sadisme, présenté comme motivation essentielle de la torture :

oppose les parlementaires et les philosophes concernant la justice C.L a victoire fragile de l’autorité royale =>la constitution d’un nouveau Parlement de Paris, la réforme des autres cours souveraines, la réforme judiciaire avec suppression de la vénalité des offices sont autant de coup portés aux parlements mais la plus grave atteinte a lieu en 1771 avec la réforme du Chancelier Maupeou qui met fin, pour un temps, à l’opposition parlementaire. On peut donc dire, que si à la fin du règne de Louis

A)la reforme de 1770-74 le chan a accepte une reforme part le parlement de paris a fin d'instauré une justice rapide et gratuit, la reforme antervene après la fait du parlement bretagne, il reposse sur 2 points 1 la supression de la venalite de charge de la patrimonialite des office de membre, du parlement, pendent le neuvau magistrat benicire de garanti l'ordonnance de l'independance, principe de l'inamovilite pour metre de la presion sur des autres office. Il ne touchera des epice