Vendémiaire Apollinaire

Commentaire de 1909. Ce document est un poème de Guillaume Apollinaire, «1909 » extrait du recueil Alcools. Le titre de cette œuvre (1909) peut être perçu comme une référence à Marie Laurencin, peintre liée aux cubistes et aux artistes d’inspiration bohême avec qui le poète entretiendra une relation tumultueuse pendant cinq années. En quoi ce poème présente-t-il de manière expressive un portrait mélioratif de la Femme ? Dans un premier temps nous verrons comment le poète nous fait découvrir sa vision

travers les entrées et sorties d’une galerie de personnages : Louis Aragon, Marcel Duchamp, Tristan Tzara, le mécène Jacques Doucet, etc. qui côtoient Victor Hugo avec Juliette Drouet, Arthur Rimbaud, Joris-Karl Huysmans ou encore Guillaume Apollinaire au détour d’une phrase ou d’une anecdote. Cette intertextualité dresse un tableau des références de l’auteur, mis sur le même plan que ses propres écrits également évoqués à plusieurs reprises : il en résulte que l’arrière-plan littéraire est

guerre la plus cruelle qui soit. C'est dans son œuvre la petite auto, tiré de son recueille de poèmes Calligrammes, qu'Apollinaire, un poète et écrivain français, nous raconte les premiers pas de celle-ci. Nous verrons d'abord le voyage qu'effectue Apollinaire puis le monde bouleversé de l'époque. Enfin nous terminerons sur l'initiatique voyage que voltaire nous fais partager. I Le voyage : Déjà dans le titre « la petite auto », le texte connote le voyage grâce au moyen de locomotion qu'est l'auto

Musset : "Tristesse"), le regret : "Demain dès l'aube" de Victor Hugo ("Vois-tu je sais que tu m'attends.", "je ne puis demeuré loin de toi plus longtemps", "Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit"), l’amour : "Le pont Mirabeau" de Guillaume Apollinaire ("Et nos amours"), la nature : "Demain dès l'aube" de Victor Hugo ("J'irai par la forêt, j'irai pas la montagne.") 2/ Quelles nouveautés la poésie romantique apporte-t-elle en ce qui concerne les thèmes et la technique d’écriture poétiques

entre 1902 et 1908 une grande partie de ses travaux au fur et à mesure de leur production. Peut-être contenaient-ils encore quelques traces du sentimentalisme du Jardin de ma mère, peint en 1905, ou de ces Gamins au soleil (1907) que Guillaume Apollinaire qualifia de « baignades du soir postimpressionnistes ». Sans interprétation abusive, on peut assimiler la destruction de ces dessins à un acte proprement artistique : en s’attaquant à ses tentatives désuètes, Léger brutalisait déjà la tradition

Automne malade I/ Des thèmes traditionnels   1/ L'automne, un thème lyrique   Le thème de l'automne, de l'agonie de la nature n'est pas nouveau : il a été exploité par de nombreux poètes lyriques avant Apollinaire. Aussi est-ce tout naturellement qu'il s'y attache, lui qui a aimé Ronsard et qui doit tant à Verlaine. L'imminence de la mort, suggérée dès le début par les vers 1 et 2 : « Automne malade...Tu mourras », est plus bouleversante, plus pathétique que la mort elle-même.   C'est aux yeux du

“Zone”, Apollinaire Apollinaire est poète du 20e siècle. Sa pensée s’inscrit dans le mouvement avant-gardiste. « Zone » est composé pendant l’été de 1912 à la suite de la rupture de Guillaume Apollinaire avec Marie Laurencin. Il figure en tête du recueil Alcools mais il est en fait le dernier en date des poèmes du recueil et il présente des différences profondes avec les autres car il met en œuvre une nouvelle esthétique. Il faut noter que ce poème est composé pendant la Belle époque et même si

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finit par « La joie venait toujours après la peine » il y en a un oxymore ici, « La joie » et « la peine » qui sont deux sentiments contradictoires ce qui met l’accent sur la souffrance du poete apres la perte de son amour. Deuxième strophe, Apollinaire se rappelle de la liaison avec Marie comme on peut le voir à cause de l’ accumulation dans cette strophe « Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe  Des éternels regards l'onde si lasse» La métaphore

poésie apporte beaucoup, elle pousse le lecteur à la réflexion. La musique créée par le rythme des vers, les sonorités et les rimes rend le texte plus beau et plus attrayant. Fermes les yeux et écoute ce poème « Sous le pont Mirabeau » de Guillaume Apollinaire «  Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse » Tu ne peux pas dire qu’il n’est pas agréable à entendre. Oui tu as raison mais je n’aime pas trop les poèmes