Vengeance

volonté qui est le désir d'un bien accompagné de raison, la colère est irraisonnée. Elle est un désir de vengeance, secondaire à une marque de mépris, et, comme tout désir de vengeance, elle s'adresse toujours à quelqu'un en particulier : On n'agit jamais avec colère contre une personne sur qui l'on ne peut exercer sa vengeance. Le plaisir qui l'accompagne vient de l'espoir de cette vengeance. Par mépris, il faut entendre le dédain, la vexation et l'outrage. Le mépris n'assigne aucune valeur à

yeux grands Comme la nuit la folie Deux yeux de petits enfants: Ils ne me quitteront pas. Oradour je n'ose plus Lire ou prononcer ton nom. Oradour honte des hommes Oradour honte éternelle Nos coeurs ne s'apaiseront Que par la pire vengeance Haine et honte pour toujours. Oradour n'a plus de forme Oradour, femmes ni hommes Oradour n'a plus d'enfants Oradour n'a plus de feuilles Oradour n'a plus d'église Plus de fumées plus de filles Plus de soirs ni de matins Plus de pleurs

la femme possède un rôle primordial, très important. En effet, les 4 femmes mise en scène dans ces romans ont pour but de séduire, elles ont un pouvoir de séduction. Dans l’extrait de Carmen, de Prosper Mérimée, dans Nana d’Emile Zola, dans La Vengeance d’une Femme de Barbey d’Aurevilly et finalement dans la nouvelle Les Yeux d’eau de Rémy de Gourmont, ces femmes font tout pour montrer leur élégance et leur sensualité à travers leur profession. Nous répondrons donc à la question, quels sont les

Bérénice et Titus. Nous pouvons aisément remarquer que le temps de parole des 2 acteurs sont à peu près égaux, Titus commençant la scène par une tirade mais se termina par une tirade de Bérénice où on peut constatez la présence d’une envie de vengeance et d’une grande tristesse. Nous allons observer la naissance de tragédie dans cette scène : Cette discussion entre Bérénice et Titus est très importante pour le reste de l’histoire ; la fatalité de la décision de Titus a entrainé leur séparation

petite fille d’Hélios (soleil) aida Jason à conquérir la Toison d’or contre Hélios. Epouse répudiée de Jason qui lui préféra Créüse, elle se vengea en égorgeant leurs deux fils : Méméros et Phérès. Apres avoir tué ses enfants, Médée Kali poursuit sa vengeance, afin qu’elle soit totale, contre Jason qui lui a été infidèle. Elle exhume les corps enterrés en Grèce de ses jeunes fils, afin de les emmener dans le fleuve du Gange, en Inde, pays qui la vue naître. Elle s'aperçoit alors qu'elle est suivie par

ancien, dont on trouve les premières expressions dans les codes d’Hammourabi en 1750 av JC, a cet époque ce fut à notre connaissance la première ou l’état su se substituer à la vengeance privé en instituant des motifs d’incrimination ainsi que des peines resotant d’infraction. Auparavant les clans usait de la vengeance privé, les victimes d’une offensse determinait la mesure de la riposte, et, malheuresement, elle était souvent disproportionné. L’aparition de la justice publique ou l’Etat determine

spectre qui est d’exécuter sa vengeance, Hamlet se trouve piégé dans un dilemme exposé dans le célèbre soliloque « être ou ne pas être », qui en effet change la tournure que prend la pièce. Dans cette tirade, Shakespeare arrive donc à donner un aspect tridimensionnel à Hamlet. Le lecteur est capable de lire des pensées du prince que le prince même ne réalise pas. Hamlet se trouve donc au milieu d’un carrefour de problèmes ; non seulement il doit exécuter la vengeance de son père, mais il est aussi

Électre paraît. Oreste souhaite la saluer sans attendre, mais le Précepteur lui conseille d'aller honorer la tombe de son père. Électre apparaît, et fait une adresse pathétique au ciel, avant de supplier les divinités infernales d'assouvir sa vengeance. Le Chœur des vierges qui l'accompagne partage sa douleur, plaint sa vie d'opprimée, ainsi que son désespoir devant le retour toujours différé d'Oreste, malgré ses exhortations. Chrysothémis, sa jeune sœur, fille plus docile et préférée de Clytemnestre

Ainsi on nous montre ici une certaine qualité de ce créateur « toi qui élevas avec moi les vains murs de Troie », ils sont dans un premier temps montré comme des êtres bons, créateur de la vie et de la culture mais également rongé par une vengeance et notamment pour Neptune. Le texte utilise d’ailleurs des personnifications pour donner vie aux éléments naturels. On prend par exemple Neptune qui est décrit comme ayant un "trident pointu", sachant que Neptune n’est autre que le dieu grec Poseidon

Stradella. Il n’hésite pas à critiquer et à donner son avis ou même partager ses pensées et ses réflexions, au beau milieu de son roman. Le sénateur est trahi, et fait appelle a Torcello, le frère d’Ortensia, pour qu’il les retrouve et accomplisse la vengeance dont il rêve depuis leurs disparition. Très vite le grand frère retrouve sa sœur et l’abat froidement à coup de poignards, c’était sa victoire personnelle. Sandro parvient à s’échapper et il prend refuge dans l’ermitage du père Ugolino et de son