Veni Vidi Vici

Dai voie bună, voia bună creşte. / Dai dragoste şi dragostea sporeşte (Arghezi) epanadiploza: Nu te iubesc atâta cât ştiu să te iubesc? (Eminescu) refrenul: b) construcţii sintactice devenite figuri prin utilizare contextuală: asindetul: veni, vidi, vici; acţiune fulger polisindetul: şi lui Ştefăniţă vodă îi era prea drag, şi-ţinea prea bine, şi tot la masă îl punea, şi să giuca în cărţi cu dânsul, şi la sfaturi (Neculce) elipsa: şi nebuna de mătuşa Mărioara, după mine; şi eu fuga iepureşte

verba » : « Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là »). Aisance et puissance : la comparaison du vers 19 souligne la facilité du triomphe ; il a le dernier mot ; succession de verbes au passé simple (« vint », « saisit », « déchira » ; cf. « Veni, vidi, vici » de César). C'est un démystificateur qui met fin à la supercherie (« mit à nu », v. 20) : il voit et dévoile, par opposition au peuple qui « croyait au personnage ». Une parole concise mais forte : opposition forte entre « tu […] es » et le

répondre le responsable sedēre sedeo sedi sessum être assis la session tenēre teneo tenui tentum tenir la rétention timēre timeo timui --- craindre timoré valēre valeo valui --- être bien portant la validité vidēre video vidi visum voir visionnaire 12 la prohibition VOCABULAIRE DE BASE Les verbes de la 3e conjugaison : thème terminé par une consonne ou par -u  DẺRIVẺ infinitif ind. prés. 1 sg. ind. pft. 1 sg. supin traduction addĕre addo addidi additum

l’isocolon figure de style de répétition qui consiste à former un nombre égal ou quasi égal de syllabes dans une unité d'une période, généralement parce que ces groupes de mots utilisent la même structure syntaxique; proche du parallélisme « Veni, vidi, vici » — Jules César la palilogie répétition d'un mot pour l'accentuer « Oh! le long, long cou » — Molière la paronomase répétition visant à rapprocher des paronymes au sein du même énoncé « Qui se ressemble s'assemble » — Proverbe

points centraux de cette anthologie se situe alors là : tu découvriras, et je puis t’assurer qu’elle te plaira, la réflexion d’un des plus grands auteurs littéraire toutes époques confondues. Je parle bien sûr de Victor Hugo. Le poète, dans « Veni, vidi, vici », reprenant ainsi la célèbre phrase de Jules César, nous donne le jugement de sa vie puisqu’elle est à son crépuscule. La mort est ici vue comme une délivrance : les soucis et ennuis de la vie quotidienne sur la Terre sont pour lui un supplice

marteau ». .Mais il faut là encore être clair et concis. « Tout ce qui n’ajoute pas diminue, dit Quintilien, et une passion qui décroît est bientôt éteinte ». De même Cicéron : « rien ne sèche si vite qu’une larme ». Il faut savoir terminer. : Veni, vidi, vici. Rien n’est plus insupportable que les avocats qui ne savent pas « sortir leur train d’atterrissage » et qui font attendre interminablement la chute 8 http://www.asmp.fr - Académie des Sciences morales et politiques. Plaider c’est l’art

morphologiques ou morphèmes |— La Bruyère | | |l’isocolon |figure de style de répétition qui consiste à |« Veni, vidi, vici » | | | |former un nombre égal ou quasi égal de syllabes|— Jules César

répétition de « t'as raison ». Puis l'accumulation de termes pour qualifier les pères est encore plus négative, ponctuée d'adverbes qui renforcent le discours comme « jamais » ligne 26. – Référence ironique à la célèbre phrase de Jules César veni, vidi, vici  (« je suis venu, j'ai vu, j'ai vécu ») en « venus, vaincus » qui montre leur caractère misérable, passif, incapable (« Ils ne pouvaient pas aller plus loin ») Critique d'autres domaines s'accélère: « soldats gratuits » --> la guerre; « héros

Rome. Ayant dû combattre un allié des Pompéiens, le roi du Pont (en Asie Mineure), il l'emporte après quelques heures d'un combat éclair, et envoie à Rome ce message très court, mais plein d'orgueil : « Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu » (« Veni, vidi, vici » ). En 46 et en 45, il bat les fils de Pompée et les ultimes défenseurs de la République, en Afrique du Nord, puis, définitivement cette fois, en Espagne. De retour dans la capitale, il célèbre ses triomphes. Portrait du vainqueur César

l’isocolon figure de style de répétition qui consiste à former un nombre égal ou quasi égal de syllabes dans une unité d'une période, généralement parce que ces groupes de mots utilisent la même structure syntaxique; proche du parallélisme « Veni, vidi, vici » — Jules César la palilogie répétition d'un mot pour l'accentuer « Oh! le long, long cou » — Molière la paronomase répétition visant à rapprocher des paronymes au sein du même énoncé « Qui se ressemble s'assemble » — Proverbe