Verdun Et La Mémoire D La Bataille

ART ET MÉMOIRE. LES MONUMENTS AU MORTS DE LA GRANDE GUERRE Pourquoi une exposition sur les monuments aux morts ? Un rapide historique Une lecon de mémoire Art et symboles Quelques remarques sur les inscriptions Pourquoi une exposition sur les monuments aux morts ? Les monuments aux morts de la Grande Guerre constituent aujourd’hui un élément banal dans le paysage urbain de la France. L’éloignement chronologique de la Guerre, la disparition des derniers « poilus » expliquent sans

adverse. * L’aviation est elle aussi mise au service de l’effort de guerre, pour des missions de reconnaissance mais davantage pour les bombardements qui rythment le quotidien du front. * Après la terre et l’air même la mer devient un champ de bataille. Ainsi l’All déploie de nombreux sous marins, les U-Boats dans la mer du nord et la Mer Méditerrannée. B/ Une caractéristique : les bombardements Sur le front, c’est une géographie étrange et variable, tel un sinueux cauchemar. Entre les deux

affectation ce même 33ème régiment d’Arras. III- Vie militaire : A la déclaration de la guerre le 2 août 1914, de Gaulle rejoint les armées du nord-Est. Blessé trois fois au combat, il est laissé pour mort lors de la bataille de Douaumont, près de Verdun, en 1916, mais il est en réalité prisonnier des allemands. Enfermé dans une citadelle, par les allemands, il tente à cinq reprises de s’évader, mais est chaque fois repris. Il ne sera donc libéré qu’à l’armistice, le 11 novembre 1918

celle d'une guerre d'usure : des centaines de kilomètres de tranchées sont peu à peu creusées. Les hommes n'en sortent que pour des offensives meurtrières qui ne permettent souvent qu'une avancée de quelques kilomètres (300 000 morts lors de la bataille de Verdun entre février et juin 1916 ; 52 000 morts en un mois lors de l'offensive Nivelle en 1917, etc.). L'objectif est alors de faire le maximum de morts chez l'ennemi plutôt que de gagner du terrain. • La vie sur le front devient vite insupportable

préparé une organisation minutieuse destinée à battre la France en six semaines. Comme la frontière Est de la France a été fortifiée par Séré de Rivière (Verdun, Toul et Belfort), il n’y a qu’une solution praticable pour obtenir une victoire rapide :   Passer par la Belgique, voire par le Limbourg hollandais. Schlieffen écrivait dans ses mémoires : « C’est par le secteur Mézières - Dunkerque que nous devons pénétrer dans la forteresse France. Nous devons attaquer sans cesse les Français dans leur

celle d'une guerre d'usure : des centaines de kilomètres de tranchées sont peu à peu creusées. Les hommes n'en sortent que pour des offensives meurtrières qui ne permettent souvent qu'une avancée de quelques kilomètres (300 000 morts lors de la bataille de Verdun entre février et juin 1916; 52 000 morts en un mois lors de l'offensive Nivelle en 1917, etc.). L'objectif est alors de faire le maximum de morts chez l'ennemi plutôt que de gagner du terrain. • La vie sur le front devient vite insupportable

com/bac-francais/mouvements-litteraires.p... 04/03/2014 Mouvements littéraires Page 2 sur 9 littéraires peut sembler arbitraire, de même que le Abréviation "ml" rattachement d’un auteur à tel ou tel mouvement Différe nce particulier. Ce tableau est donc un aide-mémoire. coréfére ncee anaphore t e ntre Sophocle Œdipe roi , Dates importantes XVIe siècle Principaux mouvements littéraires auteurs Ah ! ne me dis pas que ce que j'ai fait n'était et pas le mie ux que je puissefaire

l'internationalisme. B. Les formes de conflits Jusqu'en 1916, on est dans une phase de guerre de mouvement, de 1916 au début de l'année 1918, c'est une guerre de position. En 1918, il y a une guerre de mouvement, 20 000 britanniques meurs le premier jour de la bataille de la Somme. En moyenne, meurt chaque jour 900 français, 1300 allemands et 1450 russes. Il y a 8 000 000 d'invalide et d'infirme que l'on appelle les gueules cassés. Les français défilent le 14 juillet 1919 à la stupéfaction générale. Les bombardements

choisit pour affectation ce même 33ème régiment d'Arras. 1914-1924 : la Grande Guerre La Première guerre mondiale éclate en août 1914. Pour le lieutenant Charles de Gaulle, c'est le baptême du feu. Blessé trois fois, il est laissé pour mort à Verdun en 1916. Fait prisonnier, il est conduit en captivité en Allemagne d'où il tente de s'évader à cinq reprises. A chaque fois, il est repris. Il ne sera libéré qu'avec l'Armistice de 1918. Peu après la déclaration de la guerre, le 2 août 1914, le

peint un enfant mort, la face sur le pavé, sans aucune trace de l’ennemi. Le titre lui-même, « un Taube », veut dire « colombe » en allemand, comme un rappel de la victime innocente de la barbarie. L’artiste dit que « Dieu est absent des champs de bataille ». Il exprime cette idée à travers le vide de l’œuvre. Cette impression se retrouve également dans les soldats morts qu’il représente. D’autres trouvent dans la représentation de la compassion du Christ, de la Vierge ou des saints une échappatoire