Verhaeren La Révolte

19e siècle : Charles Van Lerberghe, Max Elskamp, Emile Verhaeren, Maurice Maeterlinck, … Auteurs, œuvres et mouvements littérairesCite le titre d'un roman de François Mauriac.Thérèse Desqueyroux

L'influence de Stéphane Mallarmé est ici considérable, ce qui entraîne la poésie vers l'hermétisme. Le symbolisme est l'ensemble des gens qui ont cru que le mot sumbole avait un sens. La définition de ce mouvement est introuvable. Mouvement de ruptre, de révolte même, mouvement moderne s'il en fut, entre autre pour son culte exclusif de la littérature, le symbolisme ne se comprend que dans le contexte français des années 1880, c'est-à-dire de la décénnie qui suivit la défaite de 1870 et éclair de la commune

classes nanties. Les flamands sont considérés comme paysans; puis revendiquent la reconnaissance officielle de leur langue: en1980 elle aboutit avec la fondation d’un état fédéral. Deux grands auteurs belges écrivent en Français: Maeterlinck et Verhaeren La notion de littérature nationale est tributaire de cette histoire: une seule littérature en deux langues ou deux littératures distinctes? Le débat Quelle langue utiliser : le Français ou langue wallonne? Débat qui reflète l’importance de l’attachement

scandalisé qu’ont reçu les poèmes de Baudelaire lors de leur publication en 1857. [On pourra, par exemple, faire référence à la poésie de l’ « horrible » que déploient également certains poètes, comme Lautréamont dans ses Chants de Maldoror, ou Verhaeren dans ses Villes tentaculaires.]  La poésie des Fleurs du Mal exhibe « l’horrible »… pour le transformer en « beauté ». Malgré son pessimisme, Baudelaire a foi dans le pouvoir transmutateur de l’art. Il conçoit la poésie comme une « alchimie

découvrent les lieux.) IPHICRATE : Si je ne me sauve, je suis perdu ; je ne reverrai jamais Athènes, car nous sommes dans l'île des Esclaves. ARLEQUIN : Oh ! oh ! qu'est-ce que c'est que cette race-là ? IPHICRATE : Ce sont des esclaves de la Grèce révoltés contre leurs maîtres, et qui depuis cent ans sont venus s'établir dans une île, et je crois que c'est ici : tiens, voici sans doute quelques unes de leurs cases ; et leur coutume, mon cher Arlequin, est de tuer tous les maîtres qu'ils rencontrent

guerre de Cent Ans, le poète François Villon (1431-1463 ?) traduit le trouble et la violence de cette époque. Orphelin d'origine noble et bon étudiant, il est ensuite condamné pour vol et meurtre. Son œuvre à fois savante et populaire exprime une révolte contre les injustices de son temps. Le théâtre religieux se développe tout au long du Moyen Âge, il met en scène les Mystères, c'est-à-dire les fêtes religieuses comme Noël, Pâques et Ascension ; au contraire des genres littéraires précédents plutôt

mort- Ponctuation contribue à créer émotion naissant du silence- " doigt dans le trou de ses plaies " > mort injuste qui frappe l'innocence v. 10-11 E. L'image de l'enfant vivant Contraste : passé heureux, prometteur > fait naître l'émotion, la révolte. v. 8 " toupie en buis ", v.27 à 30 : Grand-mère > souligne l'injustice de cette mort. Indicateur temporel : " ce matin " F. L'expression de l'incompréhension Elle est exprimée sous forme d'allusion ou de façon directe.- v. 28 à 30, v. 34 à 35 >

l’archaïsme. Le Symbolisme va connaître comme une deuxième vie en Belgique ; cela correspond en effet à une période de réveil et de développement d’une littérature de langue française. On nommera Mockel, Charles van Lerberghe, Rodenbach, Maeterlinck, Verhaeren... c. Les principes de la poésie symbolique Les symbolistes ont donné du terme symbole des définitions diverses. Un point commun cependant : le symbole manifeste différents ordres de réalité non réductibles à la réalité brute dont veulent rendre

ou les différentes tentatives (vouées à l’échec) d’échapper au spleen. Ainsi, après le poème « Au lecteur » qui décrit un monde dominé par Satan, Baudelaire emmène le lecteur dans un voyage où la ville, le vin, l’érotisme, l’amour, la femme, la révolte semblent des moyens d’accéder à l’idéal, mais des promesses jamais tenues. Le recueil se clôt alors sur la section intitulée « La mort », nouvelle promesse d’un voyage inconnu. qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté » (« Invitation au voyage

dépend ni de la condition sociale, ni de la vertu. Solitaires, ils luttent avec le destin, social ou personnel - tantôt repliés sur leur déréliction et leur souffrance, tantôt conquérants et amoureux, tantôt désespérés et suicidaires, sublimes et révoltés, passionnés ou mélancoliques. Tantôt adoptant plusieurs de ces postures, vainqueurs ou victimes, pris dans le jeu des passions, affrontant d'effrayantes obstacles, ils se sentent poussés sur leur chemin fatal. Publicado por Toni Maganona Chapitre