Verhaeren La Révolte

Symbolisme (art), courant artistique européen des deux dernières décennies du XIXe siècle. En communion avec le mouvement littéraire du même nom qui est particulièrement bien représenté en France (Verlaine, Rimbaud, Mallarmé, etc.) et en Belgique (Verhaeren, Maeterlinck), le symbolisme peut profiter de l'existence de nombreuses revues qui répandent sa nouvelle esthétique : le Symbolisme, la Revue wagnérienne, la Plume, la Revue Blanche, la Pleiade devenue ensuite le Mercure de France. C'est dans ses

l’aventurier éphémère de la poésie avec ses fulgurances et ses révoltes, Paul Verlaine, avec une œuvre plus longue, est associé à la musicalité, au lyrisme mélancolique et à une sorte d’impressionnisme avec son art de la nuance, « Sans rien en lui qui pèse ou qui pose ». (Poèmes saturniens – Les Fêtes galantes – Sagesse…). On peut leur adjoindre Lautréamont (1846-1870) qui laisse inachevé Les Chants de Maldoror, prose flamboyante de révolte contre Dieu et la société que découvriront les surréalistes

Vain débat 13 Louise Labé, Sonnet XVI 20 Alphonse de Lamartine, Le Lac 9-11 Jacques Prévert, Le Temps perdu 12 Pierre de Ronsard, Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle 19 Rutebeuf, a complainte de Rutebeuf 21-22 Emile Verhaeren, Vers le futur 14-15 Paul Verlaine, Chanson d’automne 18 François Villon, Ballade des Dames du temps jadis 5 Zhu Ziqing, La fuite du temps 6 3 Les grands thèmes de cette poésie sont la fuite du temps et l’amour perdu. Suite à une rupture

prose et poésie en vers libre, dans de courtes strophes décalées, comme les courts paragraphes de la Bible, les versets (Cinq grandes odes). Sa poésie est musicale, proche de la parole. Le Symbolisme se poursuit avec Paul Valéry, Paul Fort, Emile Verhaeren, mais les thèmes de la modernité technologique sont davantage présents. Ils ouvrent la voie au poète de la modernité : Guillaume Apollinaire. L’Esprit nouveau : L’expression est de Guillaume Apollinaire : « l’esprit nouveau » désigne le poète,

l’aventurier éphémère de la poésie avec ses fulgurances et ses révoltes, Paul Verlaine, avec une œuvre plus longue, est associé à la musicalité, au lyrisme mélancolique et à une sorte d’impressionnisme avec son art de la nuance, « Sans rien en lui qui pèse ou qui pose ». (Poèmes saturniens - Les Fêtes galantes - Sagesse…). On peut leur adjoindre Lautréamont (1846-1870) qui laisse inachevé Les Chants de Maldoror, prose flamboyante de révolte contre Dieu et la société que découvriront les surréalistes

appelé cycle des barons révoltés. Le cycle du roi est axé sur l’honneur et le respect dû au suzerain. Deux des chansons les plus célèbres de ce cycle sont « La chanson de Roland » et « Le pèlerinage de Charlemagne » Le cycle de Guillaume d’Orange se veut un peu plus drôle et accorde plus d’importance à la famille mais aussi au respect et à la fidélité due au suzerain. Deux des chansons les plus connues sont «Le couronnement de Louis » et « Aliscans » Le cycle des barons révoltés est constitué de plusieurs

époque de pessimisme historique après la défaite et les massacres de la Commune, et sentiment d'étouffement dans le climat d'ordre moral qui caractérise les débuts de la Troisième République. Une sensibilité littéraire et artistique nouvelle, faite de révolte, d'élitisme artistique, de goût de la provocation trouve à s'exprimer diversement dans des clubs cultivant l'esprit « fumiste » (Hydropathes, Hirsutes, Zutistes, Je-m'en-foutistes), des cénacles, des cabarets (Le Chat Noir) et des revues (Lutèce,

d’art 























































 1 MORÉAS JEAN, Manifeste Symboliste, 1886, p1 
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 à la fois subjectif, synthétique, symboliste et idéiste 2 Le symbolisme gardera certains caractères du Romantisme: la révolte contre le classicisme, l’affirmation que l’artiste doit rechercher le Beau artistique sans faire attention à la morale, à la tradition, à l’autorité. Mais, à différence du romantisme, le symbolisme soutient qu’une séparation s’est produite entre l’individu

l’aventurier éphémère de la poésie avec ses fulgurances et ses révoltes, Paul Verlaine, avec une œuvre plus longue, est associé à la musicalité, au lyrisme mélancolique et à une sorte d’impressionnisme avec son art de la nuance, « Sans rien en lui qui pèse ou qui pose  ». (Poèmes saturniens – Les Fêtes galantes – Sagesse…). On peut leur adjoindre Lautréamont (1846-1870) qui laisse inachevé Les Chants de Maldoror, prose flamboyante de révolte contre Dieu et la société que découvriront les surréalistes

libres et la torture des personnes déportées ou résistantes. Cette opposition amène à un appel à la Résistance puisqu’elle donne envie aux lecteurs d’aider ces personnes si différentes mais que la guerre rapproche. La fin du poème pousse même à la révolte : « Il nous faut drainer la colère/ Et faire se lever le fer ». On voit suite à ces deux vers que sa conviction est vraiment forte et qu’il fera tout pour arriver à ce qu’il veut. On conclut par montrer que Paul Eluard n’a rien fait par hasard car