Vers Une Société Sans Prison

La violence chez les jeunes Introduction : La violence chez les jeunes est un phénomène de société grandissant. Les jeunes y sont baignés dés la plus tendre enfance. La télévision, les quartiers, les origines, la socialisation, sont des facteurs souvent dégagés pour étudier d'où provient ce phénomène. I. Les différents types de violence  a. la violence verbale De nos jours la violence verbale est considérée comme une violence grave, réprimandée par

punition est-elle nécessaire à la justice ? Le droit pénal, par définition, est fondé sur la peine. Une peine est une souffrance qu’on inflige. Est-ce bien de faire du mal à quelqu’un ? Est-ce intelligent ? Utile ? À qui ? Personne n’ose plus dire que la prison permet aux bandits de s’amender. Elle ne sert qu’à une seule chose qu’elle réussit d’ailleurs fort bien : punir. Même les plus timides réformateurs se heurtent à cette évidence, adoucir les cruautés de l’incarcération s’oppose forcément à son principe

corpusFrançais1re ES1re L1re SLes questions sur un corpusÉcriture poétique et quête du sensInédit2011 Question Documents A – Alfred de Musset, « Le mie prigioni » (« Mes prisons »), Poésies nouvelles, 1850. B – Guillaume Apollinaire, « À la Santé », Alcools, 1913. C – Albertine Sarrazin, Poèmes, 1969. D – Vincent Van Gogh, Cour de prison, 1890. > Les textes du corpus ont de nombreux points communs. Vous en dégagerez quatre avec précision et vous indiquerez lesquels sont illustrés par le tableau de Van

catholique de Madagascar Excellence- Responsabilité-Foi Séminaire interdisciplinaire Ironie dans la société : les déviants à la charge de l’Etat Encadreur : Madame RAKOTOMALALA Nathalie Mars 2014 Repoblikan’i Madagasikara Fitiavana-Tanindrazana-Fandrosoana Université catholique de Madagascar Excellence- Responsabilité-Foi Séminaire interdisciplinaire Ironie dans la société : les déviants à la charge de l’Etat Encadreur : Madame RAKOTOMALALA Nathalie Mars 2014 REMERCIEMENTS :Nous

livre de poche ». Sa première parution date de 1834. Le narrateur est extérieur au récit, il n'est pas un personnage. Le point de vue du narrateur est externe. L'action se situe au 19ème siècle vers les années 1830 , dans la maison centrale de Clairvaux, une ancienne abbaye utilisée comme prison. Le personnage principal est Claude Gueux. C'est un homme de peuple, intelligent, habile. Il est courageux, et montre une très grande générosité envers les autres. Grâce à son air pensif et son air

l’aube au soir, faire éternellement/Dans la même prison le même mouvement » (v.5-6). Leurs tâches sont donc très répétitives, épuisantes et même dangereuses. Mais ces conditions de travail ont des conséquences sur ces enfants. Le poète les décrit avec réalisme. Effectivement, les enfants subissent des conséquences physiques : « …que la fièvre maigrit » (v.2). Les enfants sont également fatigués : « …ils sont déjà bien las » (v.13). Et dans le vers 12, l’auteur fait une métaphore de la cendre :

PÉNITENTIAIRE EST-IL RÉFORMABLE ? par Claude d’HARCOURT Directeur de l’Administration pénitentiaire Séance du 19 juin 2006 Compte rendu rédigé par Élisabeth Bourguinat En bref Sartre, Foucault, Deleuze, ont frappé la prison d’indignité. Même ceux qui considèrent que la prison est une bonne solution ne veulent pas savoir ce qui s’y passe. Ceux qui font tourner le système pénitentiaire sont traités comme des intouchables. Or, peut-on faire évoluer un système sans en donner l’envie aux acteurs eux-mêmes

quoi la prison ne punit elle pas toujours efficacement toutes les infractions? La société les hait. Ils sont marginaux. Et pourtant, ils sont omniprésents dans notre société. Ils ont volé, détourné, trafiqué, même tué ou violé. Dans notre politique actuelle, où 'la sécurité passe avant toute chose', nous avons tendance à penser que la prison est la seule solution pour tous les délinquants et criminels. Mais est-ce vraiment une solution efficace? I quelle est la situation en prison aujourd'hui

Page 1 / 42 « Libération n’est pas délivrance » Victor Hugo Page 2 / 42 sommaire I - Introduction 4 II - Chronologie de la politique d’insertion dans le milieu pénitentiaire A)1788-1944 - Naissance de la conception moderne de la prison B) 1945-1980 - Élaboration et mise en place des grands principes C) Depuis 1981 – La réforme de la politique de réinsertion 5 5 6 7 III – L'insertion A) définitions B) La disqualification sociale C) La désinsertion D) La désaffiliation

comme la médecine de la méchanceté » Il s’agit donc dans la théorie platonicienne de rendre moralement meilleur celui qui commet un méfait afin de contribuer de manière positive à la qualité de sa propre vie. 3) Promouvoir le bien commun de la société : Selon l’argumentation utilitariste, la peine est nécessaire dans le sens où elle est le seul moyen de promouvoir le bien commun. a) Un moyen de dissuasion : La théorie pénale de Bentham repose sur le principe de maximisation de l’utilité