Vibrio

✓ Danger sévère (+++): met en danger la survie du consommateur, exemple: empoisonnement à syndrome paralytique (inclut les maladies causées par Clostridium botulinum, Salmonella typhi, Listeriamonocytogenes, Escherichia coli 0157:H17, Vibrio cholerae, Vibrio ulnificus,); ✓ Danger modéré (++): peut causer des maladies sévère ou chronique (inclut les maladies causées par Brucella spp, Campylobacter spp, Salmonella spp, Streptococcus type A, Yersinia entercolitica, le virus de l’hépatite A,

ces agents survivent sur les produits, ils peuvent menacer la santé du consommateur et provoquer une intoxication alimentaire. L’eau peut propager de nombreux microorganismes, comme les souches pathogènes suivantes : Escherichia coli, Salmonelle, Vibrio cholerae, Shigella, Cryptosporidium parvum, Giardia lamblia, Cyclospora cayetanensis, Toxoplasma gondii, ou encore les virus de Norwalk et de l’hépatite A. Selon la nature de l’agent pathogène, une contamination même mineure peut résulter en une intoxication

Bacillus, phage Tbilissi pour le diagnostic des Brucella. Ils permettent l’étude épidémiologique grâce à la lysotypie qui caractérise les différents lysovars d’une même espèce bactérienne (épidémies dues à Listeria monocytogenes, Vibrio cholerae). Ils représentent une voie thérapeutique prometteuse, surtout après que les bactéries aient développé, pour la plupart, des résistances aux différents antibiotiques. Ils sont utilisés comme vecteur et

et al. 2000). Le taux moyen de mortalité de listériose humaine est 30% (Wagner, 2008). Il est plus élevé que celui des autres pathogènes contaminants (Mead 1999 ; Mead 2006) tels que Salmonella enteritidis (0,38%), Campylobacter spp. (0,02-01%) et Vibrio spp. (0,005-0,01%). 6. 2. Listériose animale 15 Synthèse bibliographique La listériose affecte différentes espèces animales, elle peut évaluer sous des formes cliniques de façon sporadique ou endémique. Elle peut être également retrouvée en portage

Coproculture classique ou standard | Coproculture orientée | Autres germes commensaux peuvent devenir pathogènes dans certaines circonstances | Salmonella Shigella Echerchia coli | Yersinia enterocolitica Campilobacter Clostridium dificile Vibrio choléreae | Pyocyanique Streptocoque hémolytique Staphylocoque aureus | Les principaux caractères biochimiques des salmonelles et shigelles Bactéries | glucose | lactose | H2s | gaz | app | indole | urée | citrate | manitole |

l’origine d’intoxications graves. Les shigelles meurent à relativement court terme hors de l’intestin : leur présence dans l’eau potable indique donc une contamination très récente. Les shigelles présentent une résistance croissante aux antibiotiques. Vibrio cholerae V. cholerae est une bactérie flagellée à Gram négatif, anaérobie facultative. Il s’agit du vecteur du choléra. Elle se multiplie très rapidement dans l’intestin et produit une entérotoxine très active. Sans traitement, le choléra est mortel

gastro-duodénaux). Brucellose Campylobacter (dans les sépticémies). Vibrio chlerae (bacille du chléra). Francisella. -Bacilles aérobies gram+ : ¤ Bacillus anthracis (responsable de la maladie du charbon). ¤ Corynebacterium

Thiobactériacées, Méthanomonadacées Thiobacillus, Hydrogenomonas, Carboxydomonas Caulobactériacées, Sidérocapsacées Caulibacter, Siderophacus Pseudomonas chimio-organotrophes Pseudomonadacées Pseudomonas, Xanthomonas, Azotomonas Spirillacées Vibrio, Cellvibrio, Cellfalcicula (aérobies) ; Desulfovibrio, Spirillum (anaérobies). Azotobactériacées Azotobacter, Beijerinckia, Derxia Rhizobactériacées Rhizobium, Chromobacterium, Agrobacterium. Achromobactériacées Achromobacter, Flavobacterium

surface (cours d’eaux, lacs, mers). Or une augmentation de la température de l’eau modifie les conditions de vie des microorganismes qui y vivent. eauUne augmentation de quelques degrés peut favoriser la prolifération d’amibes, de bactéries (comme vibrio), d’algues et phytoplancton toxiques, et la libération de toxines. La qualité des eaux de baignades s’en voit altérée, de même que la salubrité des produits de la mer. Lors des pics de chaleur, de plus en plus fréquents en France, il y a moins d’eau

celles de Shuval et al. (41) demontrerent qu'une bacterie marine, soit une souche de Vibrio marinus, etait responsable de l'action virucide de l'eau marine et que la flltration ou le chauffage de l'eau a 900 C lui faisait perdre cette propriete virucide a l'egard du polioviruS. Lorsque cette bacterie etait ajoutee a l'eau marine sterilisee, l'action virucide de l'eau se retablissait, ce qui indique que Vibrio marinus excr~te un agent virucide encore inconnu. Matossian et Garabedian (44) ne purent