Vicaire

correction, la capacité, ou l'incapacité des personnes, comme aussi dans les causes criminelles, on ne pourra appeller, avant la Sentence diffinitive, d'aucun grief, ni de la Sentence interlocutoire d'un Evesque, ou de son Vicaire Général au Spirituel ; & que l'Evesque, ou son Vicaire Général ne seront point tenus de déférer à une telle appellation, qui doit estre regardée comme frivole : mais pourront passer outre, nonobstant toute défense émanée du Juge devant qui on aura appellé, & tout usage

ses sentiments, son parcours de vie, etc. L’extrait donné se trouve à la fin du roman, peu avant son exécution. L’extrait « Le dernier jour d’un condamné de Victor Hugo » […] Oh! qu’on m’aille donc, au lieu de cela, chercher quelque jeune vicaire, quelque vieux curé, au hasard, dans la première paroisse venue, qu’on le prenne au coin de son feu, lisant son livre et ne s’attendant à rien, et qu’on lui dise: - Il y a un homme qui va mourir, et il faut que ce soit vous qui le consoliez

contourner le jugement en produisant des illusions sur lui, puis en quoi le jugement permet de le limiter et enfin si la lutte réelle n’est pas nécessaire pour le rendre sage. On s’appuiera notamment sur la première partie de la « Profession du vicaire savoyard » du livre IV de l’Émile ou de l’éducation de Rousseau, sur une tragédie de Shakespeare, Macbeth et sur un roman de Jean Giono, Les Âmes fortes. Que le pouvoir se sente jugé ne suffit peut-être pas pour le rendre sage car il peut

autorités religieuses car plus modérée et acceptable que l’irréligion de Hobbes, trop radicale pour remporter l’adhésion des esprits européens. L’expression de la conception rousseauiste de la religion se concrétisa dans la « Profession de foi du vicaire savoyard », court texte inséré dans son traité Émile ou De l’éducation (1762). Si la théocratie chrétienne est à exclure, la religion, nous dit Rousseau, apporte à l’homme des bienfaits indéniables, en particulier sur le plan politique. Les qualités

l'empereur est désormais considéré comme sacré, signe de son absolutisme. La tiare → pouvoir spirituel, porté par les évêques chrétiens. Constantin va donner la primauté à l'un d'entre eux et va reconnaître l'évêque de Rome. L'empereur est le vicaire de Dieu sur terre, il a la fois un pouvoir de juridiction et d'administration. Le diadème → représentation divine de l'empereur, montre la perfection de l'individu. Le globe d'or → dans sa main gauche, pouvoir de gouvernement. Sceptre

 le baron était un des plus puissants seigneurs de la Westphalie, car son château avait une porte et  des fenêtres. Sa grande salle même était ornée d'une tapisserie. Tous les chiens de ses basses­cours  composaient une meute dans le besoin ; ses palefreniers étaient ses piqueurs ; le vicaire du village était son  grand aumônier. Ils l'appelaient tous Monseigneur, et ils riaient quand il faisait des contes. Mme la baronne, qui pesait environ trois cent cinquante livres, s'attirait par là une très grande considération, et  faisait les 

une jeune fille « grasse ». Le monde idyllique n’est qu’une illusion, c’est une façon de traduire l’aveuglement des personnages ; - un faux conte de fées : éléments réalistes qui renvoient à la réalité contemporaine de Voltaire ; « Westphalie », « vicaire », « précepteur », « grand aumônier »… Transition : - reprise des codes du conte = complicité avec le lecteur, familier de ce genre au XVIII°s. (grand succès des Contes de Perrault, des Mille et Une Nuits, traduits par A. Galland) - détournement

seigneurs de la Westphalie, car son château avait une porte et des fenêtres. Sa grande salle même était ornée d'une tapisserie. Tous les chiens de ses basses-cours composaient une meute dans le besoin ; ses palefreniers étaient ses piqueurs ; le vicaire du village était son grand aumônier. Ils l'appelaient tous monseigneur, et ils riaient quand il faisait des contes. Madame la baronne, qui pesait environ trois cent cinquante livres, s'attirait par là une très grande considération, et faisait les

et à penser par soi-même.]a - Les lieux communs : les clichés dans les Ames Fortes, la morale stupide dans Le Vicaire :« [...] les sophismes du vice » (52), le discours des sorcières dans Macbethb - La lâcheté : de Macbeth, l'obéissance aveugle aux prophéties, l'Église qui « décide tout »(53), la bêtise des habitants de Châtillonc- La peur : celle du « trimard », la honte du jeune vicaire,!a peur de Macbeth face à safemme, d'où l'idée aussi de complicité par peur ou lâcheté.   II. L’ESPRIT CRITIQUE

artilleur qui lui apprend que l'armée a été balayée. Le lendemain ils partent ensemble vers les bords de la Tamise. Ils se font attaqués par plusieurs tripodes et il plonge dans l'eau pour survivre. Il s'échappe miraculeusement puis il rencontre un vicaire. Ils sont témoins d'une autre arme martienne,la Fumée Noire qui tue ceux qui la respire. Ils s'abritent dans une maison. La fumée dissipée ils partent jusqu'à une autre maison où ils décident de se reposer. Soudain ils entendent des bruits étranges