Victor Hugo Fables Ou Histoires

perspectives : Sociale, avec une tonalité souvent ironique et critique Philosophique, parfois même élargie en sagesse personnelle et en confidences lyriques Par la revendication d’une finalité non morale (qui est sans doute la véritable morale des fables), au profit du bonheur du lecteur. 3) L’écriture classique C’est le siècle où on élabore, fixe et impose les dogmes infrangibles du classicisme français. Les deux figures emblématiques sont : Malherbe par son œuvre et son influence personnelle :

des plaidoyers judiciaires et donc le problème de la littérarité ne se pose pas. Au XVIIIème siècle, la culture de base est plutôt littéraire (enseignement de la rhétorique, du latin), donc des textes scientifiques peuvent être englobés dans des histoires de la littérature, tels les textes de Buffon ou Fabe. Aujourd’hui peut-on s’accorder sur un certain nombre de critères ? - la visée, le destinataire - le locuteur, le scripteur - le travail sur la langue et la forme A. La visée d’un

Ségrégationniste : grandes œuvres à valeur exemplaire, étudiées à l’école. Conception limitée de la littérature. * Intégrationniste : grandes œuvres + œuvres récentes pas forcément textuelles (BD, chansons, roman policier, légende, nouvelle, fables, …). Conception bcp plus large. * littérature à 2 niveaux. Œuvres= exemples à suivre pour comprendre d’autres œuvres * soucis de l’auteur de faire une œuvre, soucis du style, du beau, pas seulement de la communication, recherche, plaisir

naïve de l'insolite. Victor Hugo également, comme William Blake, dans ces instants de transe dessinait avec tout ce qu'il avait sous la main, du marc de café, de la cendre de cigare. Victor Hugo, Champignon Victor Hugo dessinait dans un élan comparable à l'automatisme des surréalistes, « à des heures de rêverie presque inconsciente avec ce qui restait d'encre dans ma plume » confessait-il. Plus romantique dans son œuvre que dans ses poèmes, ses romans ou son théâtre, Hugo dessinait avec ce que

s’apprécier si l’on considère l’œuvre d’un auteur en diachronie et où l’on parle volontiers d’œuvres de jeunesse ou d’œuvres de maturité. Le style se modifie d’autant, se précise ou s’enrichie, les thèmes et les revendications se transforment. Victor Hugo, dans Les Contemplations, consacre le Livre IV, Pauca meae à l’évocation de sa fille qu’il a perdue. D’une peinture du désespoir, il arrive à la résignation en passant par la révolte et finit sur une teinte d’espoir qui se concrétise par la perspective

s’aide d’arguments, c’est-à-dire des éléments de preuve destinés à l’étayer ou à la réfuter. Ces arguments sont eux-mêmes illustrés par des exemples variés : tirés de l’expérience personnelle, des lectures, des divers domaines de la connaissance : sciences, histoire, philosophie… Ce peut être des références à d’autres penseurs ou écrivains (citation), à des anecdotes amusantes ou frappantes (paraboles), à la sagesse des nations (proverbes) à des valeurs symboliques ou culturelles partagées (zoomorphisme, mythes)…

d’arguments, c’est-à-dire des éléments de preuve destinés à l’étayer ou à la réfuter. Ces arguments sont eux-mêmes illustrés par des exemples variés : tirés de l’expérience personnelle, des lectures, des divers domaines de la connaissance : sciences, histoire, philosophie… Ce peut être des références à d’autres penseurs ou écrivains (citation), à des anecdotes amusantes ou frappantes (paraboles), à la sagesse des nations (proverbes) à des valeurs symboliques ou culturelles partagées (zoomorphisme, mythes)

d’arguments, c'est-à-dire des éléments de preuve destinés à l’étayer ou à la réfuter. Ces arguments sont eux-mêmes illustrés par des exemples variés : tirés de l’expérience personnelle, des lectures, des divers domaines de la connaissance : sciences, histoire, philosophie... Ce peut être des références à d’autres penseurs ou écrivains (citation), à des anecdotes amusantes ou frappantes (paraboles), à la sagesse des nations (proverbes) à des valeurs symboliques ou culturelles partagées (zoomorphisme, mythes)

rêvait, soit tout simplement pour le coté extraordinaire de son existence. Le cas du roman d’aventure convient relativement bien à illustrer ce propos, comme par exemple Boréal et Banquise, deux romans du très célèbre explorateur polaire Paul-Emile Victor. Ces deux ouvrages narrent avec précision les expéditions polaires de leur auteur, donnant aussi au lecteur l’opportunité d’un fabuleux voyage. De plus la forte médiatisation de cet homme accroit encore davantage l’attrait que le lecteur à pour ce

(1532) et le Gargantua (1534) de Rabelais. Enfin, la volonté de Victor Hugo d'éduquer le peuple se retrouve dans nombreux de ses textes. Claude Gueux(1834) narre l'itinéraire d'un homme condamné aux travaux forcés pour un vol destiné à faire survivre sa famille affamée. Séparé arbitrairement d'un codétenu auquel il s'était attaché, il finit par tuer son geôlier, parfaitement conscient qu'il sacrifie sa propre vie par cet acte. Hugo reprend la parole à la fin de son texte en s'adressant directement