Victor Margueritte

implantée. Mince, de haute taille mais de santé fragile, le roi est blond et élégant. Son caractère est volontiers emporté, et il a le sentiment très vif de son autorité. Peu expansif dans ses témoignages d'affection, il semble avoir été très attaché à Marguerite de Provence, qu'il épouse le 27 mai 1234, alors qu'il vient d'atteindre sa majorité. Le couple aura onze enfants ; le roi restera toujours attentif à leur éducation. Il demeure également proche de ses frères : Robert, auquel il confie l'Artois ;

Marguerite de NAVARRE est appelée également marguerite d’Angoulême. Elle est née le 11 avril 1492 à Angoulême et est morte le 21 décembre 1549 à Odos-en-Bigorre. Elle est la sœur de François 1er de plus Elle joue a un rôle capital au cours du XVIe siècle : Elle exerce une influence en diplomatie, elle manifeste une certain intérêt pour les idées nouvelles. Elle est aussi connu pour être une des premières femme de lettres françaises. Marguerite de Navarre est l’auteur de L’Heptaméron qui est un recueil

Le roman entre dans une ère de changement au XXe siècle. Des auteurs tels que François Mauriac, Albert Camus, ou Marguerite Duras participent au bouleversement de ce genre littéraire. En effet, alors que le XIXe nous offrait des romans aux descriptions interminables, et dont on connaissait parfaitement les personnages, le siècle suivant nous montre des figures qui n'ont rien d'héroïque, qui sont énigmatiques, mystérieuses, et dont on ne sait pratiquement rien. La nouvelle façon de concevoir le

six d'entre elles siégeront désormais parmi les quarante Immortels … « Lorsque Helene Carrere d’Encausse est venue me voir pour me proposer d’entrer à l’Académie, j’étais stupéfaite. Elle m’a convaincue avec un argument sans appel : depuis Marguerite Yourcenar, première femme académicienne en 1980, il n’y en a eu que quatre autres. Soit Cinq au total contre qques 700 hommes depuis que Richelieu a créé l’Académie en 1635. Vraiment, le compte n’y est pas. »

peut même être repoussée comme nuisible à celui qui s'y engage. Pascal en fait une priorité : « Il faut se connaître soi-même ; quand cela ne servirait pas à trouver le vrai, cela sert au moins à régler sa vie : il n'y a rien de plus juste. » Marguerite Yourcenar en parle comme d'une expérience essentielle : « Le véritable lieu de naissance est celui où l'on a porté pour la première fois un coup d'œil intelligent sur soi-même : mes premières patries ont été les livres. »[1] On peut cependant penser

la sœur du prince Marguerite d'Alençon l'Epître du Despourveu pour implorer une place en son hôtel et une pension. Le poète officiel La verve de Marot, son savoir, le nom de son père lui valent en 1519 d'être choisit par Marguerite comme valet de chambre, il restera à son service jusqu'en 1527 et ne le quittera que pour celui du roi mais elle restera sa protectrice et son amie même aux heures les plus dures de sa carrière. C'est dans le cercle de Marguerite que Marot va réellement

livre préféré. C’est un roman des origines, fondateur qu’elle réécrit sans arrêt. I. CADRE SPATIO-TEMPOREL 1. Cadre temporel On est dans les années 25-30 en Indochine qui était une colonie active jusqu’en 54. Suzanne a 17ans, Joseph 20. Margueritte Duras est née en 1914, elle rencontre le chinois quand elle a une quizaine d’année. Elle arrive à Paris en 32. Dans le roman, une seule date est indiquée, elle correspond à la jeunesse de la mère : 1899. 2. Cadre spatial C’est un mélange de

voir, le récit semble n’être raconté par aucun individu identifiable, la narratrice s’effaçant derrière ses personnages ; cependant, le lecteur se sent très proche du personnage central, résultat immédiat de la focalisation interne sur la veuve. Marguerite Yourcenar réussit en effet à faire de son histoire tirée, d’un fait divers du vingtième siècle, une figure de la mythologie grecque, et du récit « une tragédie en cinq actes dans la tradition de Racine[6] ». Il est vrai que « cinq actes ponctuent

L’Amant, de Marguerite Duras ; étude de l’incipit. 1 Un jour, j'étais âgée déjà, dans le hall d'un lieu public, un homme est venu vers moi. Il s'est fait connaître et il m'a dit : « Je vous connais depuis toujours. Tout le monde dit que vous étiez belle 5 lorsque vous étiez jeune, je suis venu pour vous dire que pour moi je vous trouve plus belle main- tenant que lorsque vous étiez jeune, j'aimais moins votre visage de jeune femme que celui que vous avez maintenant, dévasté.

peut même être repoussée comme nuisible à celui qui s'y engage. Pascal en fait une priorité : « Il faut se connaître soi-même ; quand cela ne servirait pas à trouver le vrai, cela sert au moins à régler sa vie : il n'y a rien de plus juste. » Marguerite Yourcenar en parle comme d'une expérience essentielle : « Le véritable lieu de naissance est celui où l'on a porté pour la première fois un coup d'œil intelligent sur soi-même : mes premières patries ont été les livres. »1 On peut cependant penser