Vidame De Chartres

Honoré, qui s'est inspiré de l'histoire de sentiments et qui mets en scène des adolescents dans cette même situation. Junie (la princesse de Clèves) change de lycée après la mort de sa mère et habite chez sa tante, avec son cousin Matthias (le vidame de Chartres) qui lui fait rencontrer ses ami(e)s, elle se fait ensuite draguée pour tout ceux-ci. Elle va finalement avoir une relation amoureuse avec Otto (le prince de Clèves). Mais son professeur d'italien, Mr Jacques Nemours, fait alors des avances

évidente : de la première partie à la deuxième, c’est un récit de M. De Clèves ; de la deuxième à la troisième partie, un récit du vidame ; de la troisième à la quatrième partie, les conséquences de la mort du roi. Ainsi, le texte suit une ligne simple. On peut également remarquer que ce récit forme une boucle : le roman commence par l’apparition de Melle de Chartres et se termine sur sa disparition. Soulignons également que Mme de La Fayette ne s’éloigne pas de ses sujets pour s’intéresser à ce

observe plusieurs « hasards » qui ne le sont pas réellement. Mme de Lafayette impose ses volontés et le texte dégage une certaine force comme si l'auteure avait le destin de ces personnes entre les mains. La lettre, originellement destinée au Vidame de Chartre, amène la Reine Dauphine à penser que Monsieur de Nemours s'est éprit d'une femme. Sa curiosité l'entraine à demander l'aide Mme de Clèves : « Allez lire cette lettre, lui dit-elle ; elle s'adresse à Monsieur de Nemours et, selon les apparences

désastre de la visée amoureuse de la princesse (ses passions), mais c’est aussi un roman classique qui se fait ressentir par la mode de l’époque la préciosité ( évident car l’auteur a fréquenté les salons toute sa vie).RÉSUMÉ : mademoiselle de Chartres arrive à la cour d’Henri II où l’on parle d’elle que pour ces eloges après voir été élevé par sa mère en respectant les règles de la cour au XVIe siècle. Elle rencontre le prince de Clèves dont elle va rapidement officialiser ses fiançailles. mets

20ème siècle), ces textes sont tous des extraits de romans. Chacun nous montre un personnage à un moment décisif de son existence. Dans l’extrait de La Princesse de Clèves (Mme de LaFayette) ont peut supposer que la rencontre entre Melle de Chartres et le vidame sera déterminante pour la suite du roman. C’est aussi une rencontrer que nous montre le texte de l’Abbé Prévost (Manon Lescaut) : Le personnage qui raconte sa propre histoire revient sur le jour où il a rencontré une jeune femme à Amiens et

pas en ouverture du portrait qui commence par une sorte d’énigme, par une formule impersonnelle qui rappelle celle des contes de fées : « Il parut alors une beauté à la cour » (l 1)Il y a un effet d’attente voulu par la narratrice puisque Mlle de Chartres n’est désigné que par son apparence avec la métonymie « une beauté »Article indéfinie « une » prolonge le mystère sur son identité L’adverbe : « alors » traduit le bouleversement que constitue l’apparition de

l’être -registre épidictique -portrait idéalisé, peu de détails -métonymie répétée « une beauté » -termes laudatifs « grâces » 3) Le regard de la cour -champs lexical de la beauté, règne du paraitre -« il fut surpris » le lecteur voit par les yeux du vidame -opposition entre les termes vagues « tout le monde », « on » qui désignent une masse anonyme et le caractère unique et connu de la princesse II. Une jeune femme sous la conduite de sa mère 1) Une femme de vertu -« le bien, la vertu, le mérite »

politique, de présenter les divers personnages de la Cour. L’arrivée de l’héroïne = élément perturbateur ; va susciter l’étonnement. Etape 3 : LECTURE Etape 4 : En quoi le portrait de Mlle de Chartres va susciter l’intérêt au point de mobiliser l’attention de tous ou En quoi le portrait de Mlle de Chartres est-il caractéristique de l’héroïne classique ? Etape 4 : PLAN Une présentation méthodique du protagoniste Une SE révélatrice Placé sous le signe de la vue : « il parut

lieu dangereux, soumis à l'omniprésence d'un jeu d'influence entres les différentes personnalités de la Cour et où chacun est constamment sous le regard des autres. Dans cette partie du roman, Mme de Lafayette souligne aussi la fonction de Mme de Chartres qui est responsable de sa fille et lui apprend tout ce qu'elle doit savoir sur l'amour et la Cour: « elle faisait souvent à sa fille des peintures de l'amour ». Après, l'évènement correspondant au noeud tragique peut être attribué au coup de foudre

Madame de Chartres, qui avait eu tant d’application […] » à « […] quand on était jeune. » (p. 28-29). Situation du passage : 1ère partie, présentation de la Cour (nouvelle historique), arrivée de Mlle de Chartres (nouvelle galante), scène de 1ère rencontre chez le joailler avec Monsieur de Clèves (elle rougit du désir qu’elle suscite). Ce dernier loue sa beauté à la Cour sans connaître son identité le soir même chez Madame, sœur du roi ; Madame de Dampierre reconnaît alors Mlle de Chartres et la nomme