Vidame De Chartres

de la saga A la recherche du temps perdu de Marcel Proust. Dans ces différents textes, comment la description des différents personnages influe-t-elle sur la perception qu’en aura le lecteur ? Tout d’abord, une description élogieuse de Melle de Chartres et de Gueule d’or centrée sur la beauté, le travail et le physique est réalisée. Dans le premier texte nous retrouvons le champ lexical de la beauté féminine qui permet de mettre en valeur la future Mme de Clèves : « la blancheur de son teint »,

Fayette est d'une grande noblesse, mais il est sans argent. Ce mariage de raison, arrangé par sa mère, vaut à Marie-Madeleine une vie sans passion mais sans tragédie ». II. Personnage principal a) J'ai choisi comme personnage principal Mlle de Chartres, qui deviendra la Princesse de Clèves par la suite. On la décrit comme une jeune femme de grande beauté, élevée dans la rigueur et la vertu. b) En ce qui concerne son caractère : elle est influençable (par sa mère), innocente (car elle ne connaît

passions amoureuses et l'hypocrisie. Le personnage principal, Mlle de Chartres, la future Princesse de Clèves, n'a pas encore été décrite. C'est donc dans ce passage qu'elle apparaît sous les yeux de la cour qui la découvre, comme le lecteur, pour la première fois. Problématique : En quoi Mlle de Chartres est-elle une héroïne classique ? Commentaire : I. Une incarnation de la perfection 1. Le portrait physique de Mlle de Chartres Le narrateur reprend au début de la description de terme « beauté »

où apparaît Mlle de Chartres, une fille de seize ans d’une beauté admirable. Mme de Chartres, sa mère, se retire de la Cour avec sa fille après la mort de son mari. Elle éduque sa fille en prenant soins non seulement de former son esprit et sa beauté, mais aussi de lui donner de la vertu et de la rendre aimable. Mme de Chartres la ramène à la Cour pour y trouver quelqu’un qui soit digne de l’épouser. C’est ici que M. de Clèves tombe éperdument amoureux de Mlle de Chartres. Comme il lui déclare

vocabulaire précieux, vocabulaire éthéré, termes vagues, et néologismes précieux sous la forme d’adverbes. Deux exemples de cet emploi du vocabulaire précieux : • « [...] elle loua Monsieur de Nemours avec un certain air qui donna à Madame de Chartres la même pensée qu’avait eue le chevalier de Guise » (Première Partie) • « Je crois devoir à votre attachement la faible récompense de nous cacher aucun de mes sentiments et de vous les laisser voir tels qu’ils sont. » (Quatrième Partie) Résumé

Mme de La Fayette écrit au XVIIe siècle La Princesse de Clèves (1678), un roman appartenant tout aussi bien à l’Histoire et au théâtre, qui raconte l’entrée de Mademoiselle de Chartres à la Cour et les difficultés qu’elle y rencontre à garder sa dignité. L'extrait étudié se trouve au début du roman, alors que Madame de Chartres, qui avait passé plusieurs années hors de la Cour, y retourne, accompagnée de sa fille. Ainsi, nous étudierons comment ce passage illustre-t-il que la Cour, bien que merveilleuse

la transformation de la cour en théâtre. * La « magnificence » sert de décor à la « galanterie » Récit principal : 1ère partie  * Narration de « l’évènement perturbateur » * Description de la cour et tous ses éléments * Mme de Chartres tente d’éloigner sa fille du Duc mais meurt au printemps 1559. 2ème partie * La princesse découvre les souffrances de l’amour (fuite + histoire de Mme Tournon) * M. De Nemours, toujours fou amoureux d’elle, vole un de ces portraits sous

amoureuse de Mme de Clèves pour Monsieur de Nemours . Ce passage est situé dans la quatrième et dernière partie de l’oeuvre , il s’agit d’un dialogue entre Mme de Clèves et M de Nemours. Cette entrevue est organisée par l’oncle de la princesse : le Vidame de Chartres. Dans la phrase précédant cet extrait ,M de Nemours conjure Mme de Clèves de lui expliquer les raisons de son refus de l’épouser. Nous pouvons donc nous demander quelle sera la réponse de Mme de Clèves à cette question . Tout d’abord ,nous essaierons

Cour : un monde d’apparence et d’illusions, ensuite la passion amoureuse et pour finir sa vertu. Tout d’abord, la Cour est d’apparence magnifique. L’incipit décrit une Cour magnifique, presque parfaite. L’atmosphère y semble agréable. Mme de Chartres dit à sa fille à propos de la Cour : « Si vous jugez sur les apparences en ce lieu-ci, vous serez souvent trompée : ce qui paraît n’est presque jamais la vérité » A travers cette recommandation, on comprend que la Cour est un monde où règne l’apparence

jalousie (lettre du Vidame) et c'est à partir de ce moment là que les introspections (analyse du sujet par lui même) se multiplient dans le roman. Le Roi, Henri second, joue le rôle du messager du destin, puisque c'est lui qui ordonne à la princesse « de prendre celui qui arrivait » (ligne 7). Le terme « Quelque chose de singulier » (l.18) souligne une situation exceptionnel. La fatalité a voulu que le Duc soit absent de la Cour au moment où Mlle de Chartres y paraît, et l'idée