Vie De Gervaise

ouvriers  -> faire sentir a ses lecteurs bourgeois l'effroyable oppression de la misère sur les petits gens.  -> procèdes d'écriture 1) conditionner sous un jour pathétique  2) Zola-> tableau très senti de la misère avec série de brèves scène de la vie quotidienne  1] un crescendo pathétique  A) la composition  Texte -> suivant un crescendo  Adverbe de quantité -> aggravation (l.2-4-14-17)  Évocation de 2 années noires + hyver = saison de la faim (l2a5) + pire mois = "ce gredin de décembre" 

roman est une nouvelle forme d’expression du libertinage intellectuel des siècles précédents tout en donnant au mot un sens nouveau. La liberté de pensée et d’action dérive, avec le roman, à une dépravation morale, une quête égoïste du plaisir. La vie en société est présentée comme un jeu de dupe, cynique avec ses codes et ses stratégies à apprendre ; la séduction y est un art complexe que l’on entreprend par défi, désir ou amour-propre ; la femme est identifiée comme une proie qui finit plus ou

par les douceurs de la prison. 1 Geôliers : gardiens de la prison. 14FRLIME-LRM1 Page 3 sur 7 Texte B : Gustave Flaubert, Madame Bovary, partie II, chapitre 6, extrait (1857) Emma a épousé Charles Bovary, un officier de santé. Elle mène une vie plate et médiocre, bien différente du bonheur que lui faisaient imaginer ses lectures romanesques au couvent où elle a fait ses études. Elle sombre peu à peu dans l’ennui et la mélancolie. 5 10 15 20 Un soir que la fenêtre était ouverte, et que

pour soumettre ses poèmes au patron. Celui-ci l'engage à écrire de la prose et fait surtout de lui son chef de publicité. C'est l'occasion pour Zola de rencontrer les auteurs « maison » et les autres, de connaître les coulisses de l'édition. Une vie : travail et vérité Quittant Hachette en 1866, Zola va exploiter cet acquis dans la presse, en collaborant à l'Événement de Villemessant avec une rubrique à mi-chemin entre la publicité rédactionnelle et la critique littéraire, avec aussi un Salon

après l’étude des séquences 1 et 2 du module 4. Supports utilisés „„   Document 1 : « Le Banquet Chrétien au Haut Moyen Âge », article de Jacques Voisenet, revue Sénéfiance, Publications Université de Provence, 1996. „„   Document 2 : « La fête de Gervaise », L’Assommoir, Émile Zola, 1877, réédité par Éditions Gallimard, Collection Folio, 1978. „„   Document 3 : « Les femmes dans les banquets politiques vers 1848 », article de Jacqueline Lalouette, revue semestrielle CLIO, Éditions électroniques,

celui de Gervaise et Coupeau. Elève 1 : Thomas Elève 2 :Nicolas Personnage 1 : Etienne Lantier Personnage 2 : Auguste 8-Une Page d'amour (1878). Veuve d’un homme qu’elle n’a jamais vraiment aimé, Hélène Grandjean est prise d’une passion violente pour le docteur Deberle, son voisin qui l’a secourue lors d’une des crises de sa fille. Elève 1 : Lisa Elève 2 : Julie Personnage 1 : Jeanne Personnage 2 : Hélene 9-Nana (1880). Le destin d'une courtisane, Nana (fille de Gervaise), qui, bien

mimesis peut entraîner.   Le roman est " ce monde créé de toute pièce pour être écrit ". L’idée de création est fondamentale. En effet, dès lors qu’un romancier prend sa plume, il peut donner vie et mort à ses personnages c’est-à-dire qu’il en est le " Dieu créateur ". Georges Semprun dans L’écriture ou la vie dit avec beaucoup d’humour que s’il veut suspendre les gestes et les paroles de son personnage, il peut le faire ; et comme pour illustrer ses paroles, il arrête son récit, " pétrifie " son personnage

mimesis peut entraîner. Le roman est " ce monde créé de toute pièce pour être écrit ". L’idée de création est fondamentale. En effet, dès lors qu’un romancier prend sa plume, il peut donner vie et mort à ses personnages c’est-à-dire qu’il en est le " Dieu créateur ". Georges Semprun dans L’écriture ou la vie dit avec beaucoup d’humour que s’il veut suspendre les gestes et les paroles de son personnage, il peut le faire ; et comme pour illustrer ses paroles, il arrête son récit, " pétrifie " son personnage

Gervaise dura ainsi pendant des mois. Elle dégringolait plus bas encore, acceptait les dernières avanies, mourait un peu de faim tous les jours. Dès qu’elle possédait quatre sous, elle buvait et battait les murs. On la chargeait des sales commissions du quartier. Un soir, on avait parié qu’elle ne mangerait pas quelque chose de dégoûtant ; et elle l’avait mangé, pour gagner dix sous. M. Marescot s’était décidé à l’expulser de la chambre du sixième. Mais, comme on venait de trouver le père Bru mort

l’histoire de la dégradation et de la chute de l’ouvrier parisien, victime des conditions de vie qui lui sont faites. Dans le roman, cette nouvelle forme de fatalité, méconnue jusqu’alors de la littérature, prend bien plus d’importance que l’hérédité dont Zola se promettait à l’origine d’étudier le rôle. Elle est symbolisée par le cabaret du père Colombe qui donne son nom au livre. L’héroïne principale est Gervaise Macquart. « Montée » de Plassans à Paris avec Lantier, son amant, un fainéant, elle se