Vie extraterrestre

de Le Clézio montre cette ville moderne quelque peu inquiétante, désertique, et inhospitalière. Cette cité HLM n’est-elle pas inhumaine ? Ou dangereuse pour l’homme ? Nous pouvons donc nous interroger si l’humain a sa place dans un tel lieu sans vie. Lors de la description de la cité par Le Clézio, on peut remarquer que le champ lexical de la nature est assez présent, seulement, la nature en elle-même est absente de la cité, car elle est utilisée juste pour être contrarié. En effet, lorsqu’il

une vie familiale qui est déjà sociale et la mort est totalement investie par des cérémonies. On s’interroge sur une nature qui est étrangère à l’ordre naturel. Tout être a son origine dans la nature mais l’homme tire la sienne encore d’une autre source : laquelle ? Une solution est donnée dans notre tradition. 1° ce n’est pas dans la nature sensible, le fait qu’il a un corps physique, désirs & besoins, mais dans un autre lieu, l’esprit : l’intelligible, le fait qu’il pense, qu’il a une vie sociale

constante depuis le début de leur production industrielle au milieu du 19e siècle et sont devenus aujourd’hui une composante essentielle de nos sociétés modernes. Utilisés dans une vaste gamme d’applications, ils contribuent à l’amélioration du niveau de vie des pays à tous les stades du développement et/ou au maintien de celui-ci. Pratiquement tout produit artificiel découle d’une certaine manière de l’utilisation de produits chimiques; la demande croissante de matériaux nouveaux ou améliorés notamment

humble en utilisant des matériaux bruts et des techniques artisanales. L’arbre est au cœur de son travail qui symbolise tout le système de la vie. L’arbre est une métaphore, on va voir l’écorce de l’arbre = peau de l’arbre et peau humaine qui est un réseau de nerfs de veines… ce qui symbolise le déroulement de la vie humaine. Destin d’un arbre = destin d’une vie humaine => ex arbre généalogique avec les racines le lignages jusqu’au feuille, image tutélaire de la nature et de la vitalité est au cœur

je possède tous les pouvoir. Tu seras mon messager jusqu’à la fin de ta vie, je t’ai choisis car tu as une âme pure et sain, tu essayeras de rassembler le plus de fidèle à travers le monde pour cela je te donnerais le pour de te déplacer à la vitesse de la lumière. » C’est en effet le plus grand arbre de l’univers, il permet de guérir ses fidèles par l’entremise de ses pommes. Par exemple, un aveugle qui a été toute sa vie et qui n’a pas mérité un tel sors, ce dernier recevra une pomme que le fermier

métaphores : le néant universel est exprimé par l’image concrète de la cendre funéraire unus exaequabit cinis . Dévalorisation des vanités humaines : Sénèque fustige la vanité des occupations humaines par une hypotypose qui est aussi une métaphore : la vie humaine est montrée comme une route, et la foule agitée qui l’emprunte veut en ignorer la destination finale huc vadit turba. Sur la route qui conduit à la mort, elle ne s’intéresse qu’ à certaines étapes (in foro, in theatris, in templis). Toutes les

Le mépris de la vie et consolation de la mort, sonnet V Jean Baptiste Chassignet 1594 Présentation du texte : Auteur : Jean-Baptiste Chassignet 1570-1635, franc comtois, catholique, étude de droits, avocat. Réalisme violent, poésie religieuse. Cherche à persuader le lecteur de se tourner vers Dieu. Genre : poésie, un sonnet. Date : 1594 , l’auteur a 24 ans. Problématique : En quoi la forme fixe du sonnet peut-elle servir une thématique baroque ? Plan de la lecture analytique : I / Un poème

cité existe naturellement; l’homme est par nature un animal politique ». Il est dans la cité naturellement l’état n’existe pas par convention mais à ses racines dans la nature humaine. L’état naturel doit être recherché non dans les origines de la vie humaine, mais dans le but vers lequel elle tend, c’est-à-dire, le bonheur. Nous verrons dans un premier temps comment et en quoi l’homme est un animal social, en second lieu, nous montrerons que le bonheur est une harmonie entre l’unité et la multiple

Un récit lyrique : Le schéma narratif : situation initiale : « rien ne bougeait » jusqu’à la situation finale « au réveil il était midi », la rencontre avec l’aube, la poursuite et la capture constituent l’élément perturbateur, les péripéties et la résolution. Les références spatio-temporelles « alors, midi, encore, première, déjà ; au font des palais, la route du bois, dans le sentier, dans l’allée, en haut de la route, au wasserfall » → indication d’un déplacement dans l’espace et indication

gravite des situations, montrer l’impossibilite d’eviter le mal. Dans notre extrait les hommes sont impuissant de changer quoi que ce soit, ils font les manoeuvres necessaires ,mais la lison se comporte comme une bete effrontee. La machine mene sa propre vie et la concentration est sur ses reactions ,ainsi que sur la neige “revoltee”. La progression de la locomotive a travers la neige et les obstacles qu ‘elle rencontre sont presentes comme une lutte epique d’une machine contre les forces